Konoha : Lycée Daiki
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Konoha : Lycée Daiki


 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Réassort du coffret Pokémon 151 Électhor-ex : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez | 
 

 La Princesse et la Poupée~ [finished!]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Alice SternAlice Stern
Poupée masquée



La Princesse et la Poupée~ [finished!] _
MessageSujet: La Princesse et la Poupée~ [finished!]   La Princesse et la Poupée~ [finished!] Icon_minitimeDim 6 Juin - 0:37

~Alice Stern~
[ - ]Prédéfini [ x ]Inventé

La Princesse et la Poupée~ [finished!] Img-193616zgxm6

Age
18 ans
Date de naissance 6 janv.

Surnoms Mademoiselle en possède déjà une collection bien fournie, mais n'a rien contre le fait de rallonger un peu la liste~

Sexe [ x ]♀ [ - ]♂

Nationalité
Anglaise

Groupe Hide Cool

Sous les jupes de la d'moiselle~
Eh bien sous ses jupes, cette poupée à la peau de porcelaine cache (ou laisse voir, selon l'humeur) une silhouette fine et élancée, au maintien droit et aux formes résolument courbes, aucunement perturbées par un muscle ou une once de graisse malvenus. Le corps n'est pas sans force pour autant: en souvenir d'années passées dans la rue, errant, fuyant ou escaladant les façades à la recherche du point le plus élevé de la ville se sont gravées une souplesse et une endurance plus élevées que la moyenne, et souvent utiles en cas de pépins.

Décolorée par ses soins, une abondante cascade de soie blanche ondoie joliment autour de son visage, dévalant son dos et envahissant ses épaules; visage où deux améthystes perçantes et attentives s'appliquent à mettre en place cette expression énigmatique si propre à leur propriétaire, par un regard appuyé et insistant et des paupières noircies qui ne cillent jamais. Le mystère est maintenu et épaissi par les mèches immaculées, et l'absence quasi permanente de bouche visible: il faut toujours qu'Alice soit en train de mâchouiller quelque chose -en général une sucrerie-, c'est un geste aussi vital que de respirer. Cette manie, comme l'ensemble du visage finalement, insère quelque chose de timide, un aspect enfantin à cette apparence de poupée, contredit par l'assurance inébranlable qu'elle inspire.

Continuant sur la voie de l'excentrisme, on trouvera le plus souvent la jeune fille dans des tenues extrêmement soignées, aux coupes et aux accessoires désués à souhaits. Côté couleurs la sobriété est de mise, même si ça ne l'aide pas tellement à se faire discrète, puisqu'elle donne toujours l'impression de sortir d'entre les pages d'un vieux roman poussiéreux, ou de s'être perdue dans une réserve de costumes anciens, ce qui n'est pas si loin de la réalité finalement...

Le secret de l'améthyste~
Illusion. Un art qu'Alice manie à la perfection puisque sa personnalité même en est une. Ou plutôt l'une de ses personnalité, la première.

La première, conforme à l'image qui est donnée d'elle par son apparence. L'incarnation de l'espièglerie. La petite fille angélo-démoniaque.
Car en effet toutes ses actions et pensées sont d'abord tournées vers le jeu. N'importe quel inconnu à portée de main peut être son jouet ou la victime d'un de ses perpétuels tours. Des attitudes gamines aux longs discours incohérents et incompréhensibles, on se croirait tombés dans une cour de maternelle.
Ses jeux sont aussi, et surtout même, animés par un don inné de comédienne, prolongement d'une certaine capacité de manipulation. Lorsqu'il s'agit de se donner en scène, Alice ne s'interdit rien, du déguisement le plus ridicule aux exagérations les plus poussées.

En dehors du jeu, bien que celui-ci se veule perpétuel, la fausse personnalité de la jeune fille l'affuble d'une curiosité rare, capable de la pousser à prendre en filature la mort elle-même, lui faisant enregistrer la moindre donnée sur un parfait inconnu qui aurait intéressé son regard, à s'incruster dans les conversations ou à harceler les gens.

Entre deux Alice, cette fierté et cette dignité plus qu'encombrantes, accompagnées d'un comportement tête et butté, à en rappeler ces enfants gâtés et odieux. Mais ces défaut-là, elle ne saurait se résoudre à les supprimer de son illusion, puisqu'ils y sont aussi nécessaires qu'ils ne s'en laisseraient jamais déloger. En effet, que la jeu soit toujours de rigueur ou non, ils empêchent au masque d'Alice de tomber, s'accrochent à cette fausse image et ne tolèrent pas de s'en écarter, même si c'est dans l'intérêt de celle qu'ils camouflent.
Cependant ce système de défense, comme on pourrait le qualifier, possède aussi un tranchant offensif. Et un -double- tranchant particulièrement répugnant aux yeux de la poupée. Un tranchant incarné dans sa langue, qui fige son corps, comme s'il trouvait trop déshonorant de s'en servir lorsque la rage prenait le dessus sur toute autre conscience, qui impose le sang froid le plus rigoureux tandis qu'il crache son venin à tout va, puis qui une fois épuisé s'estompe et laisse Alice dans le dégout le plus profond d'elle-même, lui faisant prendre le même inutile résolution à chaque dérapage. Lorsque la peau du personnage déteint trop sur la personne, on ne joue plus.

La deuxième, la vraie personnalité, tellement effacée derrière l'illusion, ne tient plus à grand chose. Timidité, secret et fidélité. Les trois dernières notions qui font encore vraiment partie d'elle. La première n'a de cesse que de sa cacher derrière le masque que la deuxième rend parfaitement opaque et imperméable, même si la dernière, au contraire, se laisse entrevoir à travers le rôle. Ainsi services rendus et anciennes amitiés, même ténues, même sans importances, ne tomberont jamais dans l'oubli.

Enfin, ni vraiment de l'une, ni de l'autre des Alices, une habitude prise de longue date de bucheuse acharnée, et un goût peu appuyé pour la solitude et le silence. Si ces derniers sont parfois inévitables, il lui faut toujours quelque chose à qui s'adresser, une peluche qui traine dans son sac, son violon, une fleur piétinée et sa cour de brins d'herbes...

Mosaïque biographique~

Notre narrateur s'excuse par avance de ses précisions floues et de l'usage, aussi involontaire qu'abusif, de nombreuses élipses, mais le sourire sadique de la belle Alice, tout autant que la lame du couteau où il se reflétait, est très convainquant dans son genre, et l'empêche ainsi d'étaler son omniscience aux yeux avides de tous ces charognards de lecteurs un peu trop curieux~ ♥

Faux départ?
On ne peut pas dire qu'Alice, dont le nom même est une façade, sorte d'un conte de fées, suggestion faite par son illusion. C'est pourtant la vision qu'elle en donne lorsqu'elle en parle. Occultant l'absence obstinée d'une mère dont elle n'a jamais entendu que du mal, l'inutilité d'un père qu'elle n'avait jamais vu marcher droit, on n'apprend d'elle que l'existence et la présence de ce frère, punk des orteils au bout de la crête, mais plus fréquentable et fiable que n'importe qui.

Parce que c'est lui le premier a l'avoir touchée à sa naissance, un début d'année glacé dans une petite clinique de Londres. Lui, il était déjà grand, du haut de ses huit ans, et sûrement plus responsable que la femme qu'il ne voulait pas laisser s'approcher du berceau, et de cet homme qui n'était même pas venu. Finalement, la femme était partie peu après, et ils étaient rentrés, dans l'appartement crasseux de l'homme, squattant en attendant de trouver mieux.
Parce que c'est lui qu'elle suivait tout le temps, même lorsque, pas beaucoup plus tard, il s'aventurait dans les quartiers les plus malfamés -mais les plus amusants- de la ville, se faisait les amis les moins recommandables -mais les plus sympathiques- et partait jouer toute la nuit dans des bars d'ivrognes et autres rebus irrécupérables, la laissant sous la garde douteuse du barman au comptoir.
Parce que c'est avec lui qu'elle pouvait discuter pendant des heures, de choses absurdes, de choses inconnues, de refaire ou défaire le monde, de ce dont les gens parlaient, donnant lieu à des débats enflammés des plus comiques entre cette fillette déguisée en poupée et ce junky philosophe, peut-être entre deux voix d'une même conscience tant ils étaient proche.
Parce que c'est lui le seul à qui elle parlait sincèrement, même après avoir construit cette carapace autour d'elle, lorsqu'elle s'était rendue compte qu'être honnête avec tout le monde était une méthode efficace pour s'attirer des ennuis et se faire marcher dessus.

Et puis surtout parce que c'était lui qui lui avait mis ce précieux violon entre les mains.


Dissonance
Elle s'ennuyait, Alice, lorsqu'il faisait jour et qu'elle devait veiller sur la maison pendant que les deux hommes de sa vie -l'un exécrable, l'autre élevé au rang de demi-dieu- attendaient que Morphée ne les relâche dans le monde des vivants, une bonne gueule de bois en cadeau. A part son frère et ses amis plus que douteux, le monde extérieur était un vaste océan dans lequel elle n'avait pas franchement envie de se baigner. Pourtant, il fallait bien qu'elle trouve quelque chose à faire. C'est donc ainsi qu'on la vit, comparable à une petite souris curieuse, se faufiler chaque matin entre les jambes des passants qui s'en allaient travailler.
Et à force de ses fugues quotidiennes, l'alternative à son ennui s'imposa, grande comme les marches monumentales de la bibliothèque.

Quelques années après, plusieurs centaines de livres plus tard, ayant d'abord pris l'habitude d'aller à l'école, puis de ne pas y aller, toujours soigneusement barricadée derrière son illusion de jeune fille enjouée et amicale, bien que parfois un peu bizarre, Alice se vit porter aux nues par ses professeurs, avant de les faire déchanter assez rapidement. Certes, elle était la meilleure, et sûrement la seule folle à considérer le travail comme un loisir, mais elle ne voyait pas non plus l'intérêt de venir honorer les esclaves de son masque de sa présence. A cette époque encore, la solitude lui était plus agréable que cette cour de gens qui venaient la féliciter, l'admirer ou la haïr -le dernier cas étant le plus répandu-. Conséquence: heures supplémentaires forcées.

C'est en même temps que ces interminables retenues que la musique arriva, s'incrusta en elle pour ne plus jamais vouloir la quitter. Fait inévitable en y repensant, ayant été élevée par un irréductible musicien et bercée depuis l'âge de la couche par les joutes sonores des instruments, chaque soir.

Et elle arriva sous la forme insolite et raffinée d'un violon.
Vu leur situation, le frère et la soeur n'avaient jamais eu l'occasion de s'échanger de réels cadeaux. Celui-ci était donc le premier, atterri sur le lit un certain 6 janvier. Pour une fois l'aîné avait trouvé le réveil avant la petite. La conversation qui suivit le présent fut sans doute la plus curieuse de toutes celles que les deux ont jamais pu tenir:

-Euuh... Oui?
-Bon anniv' frangine.
-Merci...
-Avec le groupe on commence à gagner un peu d'sous, alors voila.
-Ouais... Ben ça fait bizarre.
-Je savais pas trop quoi prendre, tu demandes jamais rien.
-Mais là, je peux pas l'utiliser.
-Besoin de savoir en jouer pour qu'il te plaise?
-... Non.
-Bah voila.

Et il était reparti se coucher, avec le sentiment du devoir accompli. Alors qu'il avait peut-être fait plus que ça.

Depuis cette fête d'anniversaire aussi spéciale que courte, il ne se passait pas une minute sans qu'elle ne jette un oeil à l'étui qui avait remplacé le livre dans sa main, main désireuse de l'ouvrir, mais main timide, terrorisée par la maladresse qui pourrait la prendre au plus mauvais moment et mettre fin à tout. Les seules occasions où elle ne tremblait pas à l'idée de toucher le trésor étaient dans cette salle exiguë où elle passait désormais le plus clair de son temps, maintenant que plus aucun professeur n'était prêt à lui pardonner ses tendances absentéistes ou les jeux farceurs dont ils étaient de plus en plus souvent les victimes. Là, elle le caressait, l'astiquait longuement, lorsque les minutes se faisaient trop sournoises et s'allongeaient tant qu'elles pouvaient. Jusqu'au passage de l'un de ces rares adultes compréhensifs, auquel les courbes vernies de l'instrument n'avaient pas échappé en passant devant la porte ouverte de la prison de la poupée.
Il lui demanda si elle savait en jouer: non. Il lui demanda si elle l'aimait: oui.
Par un miracle de rhétorique, il convainquit ses confrères et collègues de laisser sa nouvelle protégée passer ses heures d'inactivité forcée -ce qui représentait beaucoup d'heures- dans la salle de musique de l'établissement.
Elle jouait sans plus aucune fausse notes à la sortie du collège.


Concon ébréché
Forte de ses progrès, et fière d'avoir enfin pu faire quelque chose du cadeau de son frère, l'envie de montrer son enthousiasme à la personne la plus concernée se fit vite sentir. Mais celui-ci, au succès toujours plus important, avait disparu depuis quelques soirs. La dernière fois qu'elle lui avait parlé, il avait évoqué un ami en vadrouille autour du monde, et une ville japonaise où, d'après lui, on savait s'amuser sans trop de contraintes. Sans tenir compte des maigres et improbables informations qu'elle détenait, elle n'attendit pas plus longtemps pour se lancer à sa poursuite.
Konoha se cachait derrière son horizon.

Seulement, une fois parvenue de l'autre côté de cet horizon, les problèmes pratiques se firent connaître. Sans parler du fait d'être perdue sans connaître sa destination précise dans une ville qui lui apparaissait comme un labyrinthe, Alice n'eut pas le temps de se rendre compte du plus gros obstacle, d'ordre linguistique, avant de foncer sur quelqu'un dont elle n'arracha que des bredouillements incompréhensibles, puis de comprendre qu'elle n'obtiendrait aucune indication comme ça. Ce qui ne l'empêcha pas de recommencer, quelques minutes plus tard, après avoir heurté cette jolie passante à la chevelure blonde.

Ca avait commencé comme dans les romans à l'eau de rose: l'une un peu déroutée courant dans tous les coins, l'autre au milieu de son chemin, le choc, et un violon tombé à terre.
Seule Alice n'aura pas été capable de tenir son rôle.

Peut-être perturbée par son retour un peu trop brusque sur terre -dans tous les sens du terme- ou par la vue de son bien le plus précieux gisant à terre, la poupée laissa son illusion se dissiper, le temps de se relever vivement et de serrer l'instrument contre elle. Par chance, lui ne s'en tirerait qu'avec une légère égratignure derrière le manche. Pour elle, les séquelles seraient plus importantes. Oubliant toutes les répliques composées par avance pour ce genre de situations, elle resta bête un moment, laissant un vide incompressible sur le brouhaha de la foule environnante. Enfin, une succession interminable d'onomatopées confuses, débouchant sur un timide "merci", et, dans un éclair de lucidité, une bribe d'illusion, destinée à arborer, de nouveau, cette assurance amicale si sécurisante.

Finalement l'incident s'était terminé par une sympathisation, l'inconnue répondant par un anglais surprenant. Même après, en rentrant en Angleterre, Alice mit un point d'honneur à conserver ce lien avec le Japon. Elle ne savait pas vraiment si cette Yumi était ce qu'on appelait une "amie", elle-même n'ayant jamais considéré quelqu'un en tant que tel, ou si l'importance qu'elle donnait à présent à une autre personne que son frère était réciproque, mais elle ne pouvait pas s'empêcher de continuer. A raison de quelques messages occasionnels qu'elle attendait parfois comme le messie, c'était une amitié fragile et ténue, le genre de choses que la jeune fille se plaisait à défendre.

Et puis, depuis quelques mois, les nouvelles se faisaient inquiétantes. Première étrangère à entrevoir, même l'espace d'une seconde, l'envers de son masque, elle s'était prise d'une affection particulière pour elle, indescriptible, qui la poussait à s'inquiéter, à rêver d'une nouvelle excursion vers l'est. Rêve qui devint urgence lorsque, plus que l'arrivée déroutante de ce gang et toutes ses conséquences, une impression effrayante, pressentiment issu d'un silence à peine plus long que les précédents. Entre la curiosité qui était la sienne, le sentiment terrifiant de savoir que quelque chose se passait et la volonté farouche de protéger cette maigre relation, Alice n'attendit ni confirmation de ses doutes, ni réponse inespérée, un seul but en tête. Tout au long du voyage qui la ramènerait aux grilles de Daiki, elle caressait l'unique éraflure dont avait jamais souffert son violon, matérialisation de son lien, préoccupée au plus haut point derrière un masque calme et posé. Que les Hides attendent, qu'eux et leur princesse l'attendent et ne disparaissent pas dans les ténèbres les plus violentes.







Derrière le masque? Haha!

Nom Question facile u_u
Age Trrrès bonne question (A)
Niveau RPG Question piège!!
Comment avez-vous connu le fo'? Deux folles furieuses m'ont convaincues de venir les remplacer pendant qu'elle sont allées se la couler douce dans les profondeurs oubliées des Enfers Twisted Evil
DC Daiki? Non m'dame!
Suggestions ou remarques? Le temps de poser ms valises et je promets d'y réfléchir~
Codes?
Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
http://urban-paradize.forum-actif.net/forum.htm
Kae SarutobiKae Sarutobi
¦ L'Anti-Thèse HexaDécimale ¦




La Princesse et la Poupée~ [finished!] _
MessageSujet: Re: La Princesse et la Poupée~ [finished!]   La Princesse et la Poupée~ [finished!] Icon_minitimeDim 6 Juin - 5:06

C'est booooo o_O ! Bienvenue =3
Revenir en haut Aller en bas
Yumi NaraYumi Nara
Angel of Hide



La Princesse et la Poupée~ [finished!] _
MessageSujet: Re: La Princesse et la Poupée~ [finished!]   La Princesse et la Poupée~ [finished!] Icon_minitimeDim 6 Juin - 12:28

ReBienvenuuuue maa Princesse! =D
Et merci de ton retour alors. Wink

J'avais déjà eu l'avant premère de ta fiche.
Mais rien que pour le plaisir de répèter, c'est parfait.
Alors il n'y a aucun problèmes;
Tu es validée. =D

J'espère que tu prendras toujours autant plaisir à t'amuser ici.
Et que tu te plairas toujours sur le fo'.

Si jamais tu as un problème, tu sais à qui t'adresser. Wink

Au plaisir de Rp avec toi.

Bon jeu! =D
Revenir en haut Aller en bas
https://lycee-daiki.keuf.net
Alice SternAlice Stern
Poupée masquée



La Princesse et la Poupée~ [finished!] _
MessageSujet: Re: La Princesse et la Poupée~ [finished!]   La Princesse et la Poupée~ [finished!] Icon_minitimeDim 6 Juin - 12:42

Merkiiiiiiiiiiiii Kae, merkiiiiiiiiiii ma déesse ♥️~

Bien sûr que j'vais m'amuser! Cool Les gris n'ont qu'à bien se tenir bwahahahaha
Revenir en haut Aller en bas
http://urban-paradize.forum-actif.net/forum.htm
Elvira HaïstukoElvira Haïstuko




La Princesse et la Poupée~ [finished!] _
MessageSujet: Re: La Princesse et la Poupée~ [finished!]   La Princesse et la Poupée~ [finished!] Icon_minitimeDim 6 Juin - 15:34

Bienvenue sur le fo' =D
Bwahaha, encore un nouveau membre à martyriser Twisted Evil
Revenir en haut Aller en bas
Aellia KaedeAellia Kaede
Démone aux Multiples Facettes ♦




La Princesse et la Poupée~ [finished!] _
MessageSujet: Re: La Princesse et la Poupée~ [finished!]   La Princesse et la Poupée~ [finished!] Icon_minitimeDim 6 Juin - 16:46

Bonjour & Bienvenue =D

Bravo, ta fiche est très bien faite =)

Merci de ton isncription.
En cas de soucis, n'hésite pas à nous contacter ; )

Passe un agréable moment sur le forum
& Bon Jeu parmi les Hide =3
Revenir en haut Aller en bas
http://journaldebord-x.skyrock.com
Contenu sponsorisé




La Princesse et la Poupée~ [finished!] _
MessageSujet: Re: La Princesse et la Poupée~ [finished!]   La Princesse et la Poupée~ [finished!] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

La Princesse et la Poupée~ [finished!]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Konoha : Lycée Daiki :: Avant le RPG :: Présentation des Personnages. :: Hide Validés-
Theme by Lollipop - Do not rip - All rights reserved - ©2010
* Konoha : Lycée Daiki © Copyright 2010. Ce forum a été crée et ouvert par Aellia & Yumi le 29 janvier 2009. L'intégralité de ce forum appartient à ses créatrices; toute copie totale ou partielle est interdite et sera punie. Merci de respecter leur travail.
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forumactif.com