Les trois continents [Jun]

Long silence. Très long silence. Trop long silence insupportable, et Vitanny se demandait pourquoi elle avait posé son cul sur cette chaise dans cette salle de classe. Assis à son bureau, loin, à l'autre bout de la pièce, un homme les surveillait, prof de géo, les cheveux grisonnants et la barbe naissante. Il n'avait pas l'air dans son assiette. Il avait même l'air particulièrement crevé, et c'était sans doute pour ça qu'il avait décidé de donner aux élèves une interrogation écrite.
Enfin, ça, c'était que des suppositions. Parce qu'à la base, Vitanny n'était pas dans ce cours là. C'était pas sa classe. C'était pas son prof. Elle était entrée là par hasard au début du cours pour échapper à un pion qui tenait absolument à lui faire la morale. La raison était simple, Vitanny n'allait presque plus en cours, et ça commençait à devenir sérieusement problématique. Quelle meilleure cachette qu'une salle de classe alors ?

Le regard bleu tranchant de la jeune fille parcourut la pièce, regardant les visages plus ou moins attentifs et concentrés des élèves. Ils étaient tous un peu plus jeunes qu'elle. Probablement 17 ans, ou 16.. Et visiblement la perspective de se taper une sale note à cause d'une interro surprise ne les ravissait pas. Comment les en blâmer.
Un bruit sec et peu sonore rompit le silence. Personne ne broncha. A nouveau le bruit sec retentit, un peu plus fort, suivit d'un autre, et encore un autre... Vitanny tapotait le bord de sa table du bout des ongles, le menton posé dans la paume de son autre main, regardant droit devant elle d'un air vide. Elle se faisait chier, forcément. Quelle idée aussi de rester là. Pourquoi est-ce qu'elle n'était pas simplement sortie au bout que quelques minutes ? Sans doute parce qu'il n'y avait rien à faire d'autre dehors.

Elle avait bien croisé un mec sympa, l'autre jour. Kuragari Heikichi. Un grand mec au regard pas si différent du sien. Et du même gang qu'elle. Mais elle n'avait pas prit son numéro...
En parlant de gang.
Dans un soupir, la jeune blonde remonta légèrement le coin de son t-shirt blanc (chose oh combien surprenante puisque Vitanny ne mettait jamais de blanc, c'est trop salissant) et regarda d'un air distrait le tatouage du biohazard. De ce côté là, c'était un bordel pas possible. Pire que la deuxième guerre mondiale. Bon, peut être pas pire, mais à l'échelle de Konoha, les récents évènements avaient largement chamboulé le schéma clair et précis que la jeune fille s'était dressé de la situation.
Trois gangs. Mais deux d'entre eux semblaient s'allier pour ne faire qu'un (les gentils soit disant qui criaient vengeance à tout bout de champ) et un troisième qui n'avait ni queue ni tête. Enfin, question tête, c'était celle de l'ancien leader des Hide qui était tombée au milieu d'une mare de sang devant le lycée, lâchée par un type qui voulait la renaissance des Kuragari. Et ça, c'était clairement un acte de provocation dont Vitanny n'était pas sûre de comprendre le but, d'autant plus que son acteur était masqué et n'en avait parlé à aucun de ses camarades. Enfin, ceux sensés être ses camarades.
La blonde féline devait-elle s'en sentir vexée ? Elle n'en savait rien. Et le pire c'est qu'il n'y avait personne dans les environs pour discuter de ce problème épineux.

Les ongles de Vitanny tapaient la table de plus en plus nerveusement. Pour un peux elle aurait laissé un sifflement de frustration s'échapper d'entre ses lèvres. Kuragaris, que faites vous...

Le bruit qu'elle faisait devait devenir agaçant. Quelques regards se tournèrent vers elle, et on se demandait sûrement d'où elle sortait. Mais ça n'avait pas d'importance, tellement pas d'importance.

Pas un bruit ne se faisait entendre dans la salle de classe, pas un élève ne chuchotait, on aurait pu entendre une mouche voler si les fenêtres n’était pas fermé faisant passer la salle de classe pour un four crématoire, encore un caprice du professeur pour tenter de marquer son autorité. Ce silence digne de celui des enterrements ne dérangeait pas Tsubasa au contraire cela l’arrangeait car il ne venait pas en cours pour étudier comme tout élèves normalement constitué mais pour finir sa nuit enfin plus exactement la commencer car depuis qu’il avait rejoint les Hide ses nuits étaient plus du tous les mêmes que celle de l’époque où il était encore a Tôkyô ; il les passait plutôt dehors à arpenter les rue plutôt qu’être chez lui à dormir dans son lit. Il ne comprenait pas trop pourquoi il devait arpenter les rues et encore moins pourquoi il ne devait pas le faire seul.

On avait tenté de lui expliquer la situation mais lui et les histoires de luttes de pouvoir ça faisait deux, pas pour rien que sa moyenne d’histoire oscillait entre 20 et 42/100. Dans ce qu’il avait compris c’est que le précédent chef des Hide avait été assassiné par un gang nouvellement installé et cela lui suffisait comme information : rivalité entre clan, devoirs familial tout ça n’avait aucune importance seul lui importait de suivre le chemin qu’il s’était imposé.

Littéralement affalé sur sa table et écrasé à la fois par la fatigue lié au manque de sommeil et à la chaleur dans la salle Tsubasa observait ses camarades de classes à en juger par leurs expressions ils étaient bon pour une interro surprise de la part du professeur. Ce professeur là dès que Tsubasa l’avait vus il l’avait parfaitement cerné, le genre à cheval sur la discipline, pour qui les élèves doivent étudier et rien d’autre, il lui rappelait Morooka son professeur principal quand il était au collège, une véritable peau de vache, si il s’était totalement écouté ce dernier aurait reçu une droite mais il ne l’avait pas fait par respect pour sa mère qui l’avait inscrite dans ce collège.

Donc visiblement il y avait interro, ce qui n’enchantait guère Tsubasa n’ont pas parce qu’il n’avait pas révisé même si c’ était pas le cas mais juste car cette interro le priverait de précieuse minute de sieste, cela l’exaspérait et il laissa volontairement un long soupir d’agacement ,clairement audible aussi bien par le professeur lui-même que le reste de ses élèves mais il s’en fichait car nouvellement arrivé il ne connaissait personne et puis il n’ était pas là pour se faire des amis mais juste parce que son paternel l’avait envoyé ici.

Mais autre chose perturbait le jeune homme dans sa sieste et ce n’était pas la chaleur, ni même le professeur ni une mouche d’ailleurs comment aurait il put en avoir avec les fenêtres fermé mais c’était un bruit sec et sonore, ce bruit semblait venir de derrière lui et était tout juste audible mais suffisamment pour que ça dérange Tsubasa, il se retourna et se contenta de jeter un regard noir a la personne derrière lui en guise d’avertissement mais sans prendre la peine de voir de qui il s’agissait avant de s’affaler de nouveau pour reprendre sa sieste.

*Mais c’est quoi ce lycée où on ne peut même pas faire une sieste tranquille oyaji, la prochaine fois que l’on se voit je te dirai clairement ce que je pense de cette idée tordu que tu as eu de m’envoyer ici.*

Mais le bruit ne cessais pas au contraire, il devenait de plus en plus fort de moins en moins supportable, Tsubasa en avait marre, ce bruit devenait insupportable, il ne parvenait plus à faire une sieste, il se tourna vers la personne responsable de ce vacarme avant de lui dire sur un ton exaspéré et légèrement agressif en chuchotant :

« Hoy, tu ne pourrais pas arrêter ce bruit, il y en a qui voudrait faire semblant d’écouter le cours tout en faisant une sieste. »

Le regard bleu et dur de Vitanny se posa sur la tête ébouriffée du mec qui venait de se tourner pour lui sommer d'arrêter. Le genre d'attitude à ne pas avoir. On ne dérange pas une lionne plongée dans ses reflexions. Surtout quand le sujet de ces réflexions est principalement la guerre des gangs qui déchire les environs.

-Ta gueule.

Réponse subtile, très subtile. Et classe aussi, tout à fait dans le style de Vitanny. Elle cessa de tambouriner du bout des doigts sur sa table en simili bois, et passa une main dans sa crinière blonde un peu en pagaille. Une question lui effleura l'esprit en regardant le garçon qui venait de lui adresser la parole. Est-ce que tous les élèves avaient un rôle à jouer dans ce combat ? Est-ce que la lutte les concernait tous, et ils s'étaient tous enrôlés dans un camp ou dans un autre ? Peut être pas. Cela valait la peine de poser la question. Même si le contexte n'était pas très approprié.

-Attends, hé. Tu es de quel gang ?

Une sorte de sourire étira les lèvres de Vitanny. Pas le sourire presque sadique qui naissait sur son visage lors des rush d'adrénaline dans ses veines, au milieu d'un combat. Non, quelque chose d'un peu plus léger et curieux, qu'elle n'avait pas l'habitude d'expérimenter.
Est-ce que cela voulait pour autant dire qu'elle découvrait une nouvelle facette d'elle même ? Non, probablement pas. Vitanny se connaissait bien, elle savait qui elle était. Cette question et ce sourire presque anodin n'étaient que la résurgence d'une vie antérieure, sans doute. Pure curiosité et semblant de sympathie. Cela lui rappela un garçon qu'elle avait croisé dans l'amphithéâtre une fois. Comment s'appelait-il déjà ? Julian ? Quelque chose comme ça peut être...Elle n'en était même pas sûre, elle avait oublié. Les jours avaient passé, les mois aussi, et tout ce qui n'avait pas d'importance avait été oublié.

Le professeur ne sembla pourtant pas aimer le petit interrogatoire que menait Vitanny, et le lui fit savoir d'un geste simple. Il se leva et tendit son bras, doigt pointé vers la porte de sortie. Oups, quel dommage. Un sourire foncièrement hypocrite étira cette fois les lèvres de la jeune fille qui fit semblant d'ignorer l'enseignant, continuant d'observer ce qui était désormais son nouveau centre d'intérêt.

-Alors ? Kazuki ? Hide ?

Elle s'était penchée un peu plus en avant pour parler d'une voix légèrement plus basse, comme si ce qu'elle disait était confidentiel. Bon, c'était en effet pas une super idée de mettre sur le tapis les histoires de gang en plein milieu d'un cours où toutes sortes d'élèves étaient mélangés. Elle reconnaissait même un ou deux Kuragaris. Mais la curiosité et l'ennui la poussaient à être un peu imprudente. Et puis dans le fond, ce n'était qu'une simple question. Une simple et innocente question.

[HRP : oh chouette je peux dès le début péter un câble merci ^v^]

Suite à ses propos la jeune fille derrière lui répondit en lui disant Ta gueule, juste deux mot, c’est fort peu, mais suffisamment pour faire sortir Tsubasa hoirs de ces gonds et le ton inventif employé avait rajouté de l’huile sur le feu .Ces deux mot à eux seul formait un ordre celui de la fermer, si pour certain comme les militaires obéir aux ordres signifie pour Tsubasa cela s’apparentait à un suicide.

Pendant un court instant Tsubasa chercha à se contrôler en serrant le poing, après tout il était nouveau dans ce lycée un passage chez le principal dès la première semaine c’ est pas qu’il y a avait de mieux .Mais rien à faire il se passa ce qu’il se passa à chaque fois qu’on lui disait de la fermer sur ce ton , il se leva brusquement de sa chaise qui tourna sur elle-même, faisant un tour, puis un deuxième avant de tomber avec fracas ,il se tenais désormais debout le poing serré avant de dire à haute voix sur un ton franchement :

« Tu as un problème ! Tu veux te battre !!! »

Le prof surpris de le voir se lever lui qui avait paru tranquille durant les autres jours de la semaine, certes dormant toujours durant les cours mais ne dérangeant jamais les cours commença à essayer de le remettre à sa place tout en lui indiquant la porte mais cette démonstration d’autorité rendis encore plus furieux Tsubasa qui ne laissa pas le temps au professeur de commencer son discours et lui dit sur le même ton qu’a la jeune fille :

« Ta gueule le vieux débris, tu restes en dehors de ça sinon je te crève. »

Le professeur pris peur et se désintéressa de lui pour reprendre le cours normal. Puis quand la jeune fille lui demanda de quel gang il était cela Tsubasa se calma légèrement pas suffisamment pour qu’il se rassoit et récupérer cet attitude blasé qui lui servait de masque mais suffisamment pour qu’ils n’en viennent pas aux mains. De quel gang il venait certainement encore une de ces personnes qui ne vit qu’ à travers un groupes comme une très grandes parties de ces lycéens , il ne pouvait pas tout bonnement exister par eux même comme il faisait lui : peu importe le gang si on venait à lui chercher des crosses ou à être un obstacle à son train de vie il s’en débarrasserai quitte a commettre un meurtre il répondit d’un ton aussi agressif que précédemment mais moins virulent mais bien acide :

« Quand on a un semblant de politesse, on se présente ne première avant de questionner son interlocuteur sur son identité ou appartenance. »

Ce n’ était peut-être pas sa meilleure idée de parler ainsi à quelqu’un mais il était à bout la nuit avait été dure avec entre les autres Hide tentant de lui expliquer la géopolitique de la ville et de leur tentatives raté de lui inculquer quelques notions de responsabilités lié à son appartenance et les quelques bagarres de la nuit contre des jeunes délinquant n’appartenant à aucun clan de Konoha
La chaleur ambiante de la salle de classe et le manque de sommeil en avait rajouté une couche pour qu’il oubli toute notion de civilité

Il avait bondit sur ses pieds, éjectant sans ménagement la chaise sur laquelle il était assis jusque là. Ce type était monté sur ressors ou quoi ? Avisant le poing qu'il avait serré dans un accès de colère, Vitanny jugea bon de reculer légèrement son visage, parce qu'on n'est jamais trop prudent. Pas envie de se prendre un coup lancé au hasard, même si aux yeux de la jeune fille, son interlocuteur réagissait de manière disproportionnée. Surtout qu'après lui avoir demandé de fermer sa gueule, elle s'était ravisée et lui avait posé une question honnête. Enfin...''honnête''... Vitanny n'était pas très sûre de savoir ce qu'était une question honnête dans le fond. Ce devait être quelque chose comme... une interrogation faite sans arrières pensées. Oui, ce devait être quelque chose comme ça, et ça correspondait bien à son état d'esprit du moment.

Après avoir agressivement demandé à la jeune fille si elle voulait se battre, ce qui n'était pas vraiment le cas soyons clair sur ce point, le jeune garçon aux cheveux ébouriffés s'en prit au prof qui tentait de ramener le calme dans son cours. L'insulte vieux débris arracha un sourire moqueur à Vitanny, qui trouvait l'expression pittoresque et juvénile, bien trop juvénile. Ne pouvant se retenir de faire une commentaire, la blonde glissa entre ses lèvres rouges et fines :

-Non non, on ne dit pas ''ta gueule vieux débris ou je te crève'', on dit ''ta gueule enfoiré de raclure de merde sinon je raccourcis ton espérance de vie médiocre''...

Le garçon se réinstalla sur sa chaise. Un bon point pour elle, il se calmait. C'était plutôt un bon point parce que Vitanny n'avait pas vraiment envie de se taper quelques heures de colle supplémentaires, auxquelles elle serait forcée d'aller dans l'objectif évident de ne pas se faire renvoyer. Le lycée Daiki était le seul bahut Japonais où elle accepter d'étudier (si on pouvait appeler ça étudier) et la perspective de se voir refuser l'entrée d'un endroit si...divertissant ne l'enchantait pas. Elle essayait donc de se faire un peu plus petite ces derniers temps, se retenant de casser des trucs en passant dans les couloirs par exemple, ou de péter le nez de ceux qui la regardent de travers. Il n'y avait pas à dire : c'était moins drôle, mais un peu reposant.

Mr Touffe de cheveux en pétard, alias le mec assis devant Vitanny, reprit la conversation qui avait été un peu perturbée par le professeur, signalant à la blonde qu'il n'avait pas l'intention de décliner son identité si elle ne le faisait pas.
Oh, un petit malin. Il était hors de question que Vitanny le lui dise, il risquerait d'avoir : 1/ peur, ou 2/envie de lui péter la gueule, ou 3/ il se braque et ne répond à aucune de ses questions.
La féline jeune fille renversa la tête en arrière, détendant les muscles de sa nuque qui la faisaient souffrir. Elle planta à nouveau son regard dans celui du garçon, regard glacé, dur, et peu sympathique à son égard.

-Si j'avais voulu que tu le saches, je te l'aurais dit. Laisse moi préciser que j'évite de dire qui je suis même à mes alliés. C'est par simple curiosité que je te demande ça, parce que ta tête ne me dit rien, et j'aime bien savoir où je mets les pieds. Pour éviter de marcher dans la merde, tu vois.

L'allusion était trop tentante pour que Vitanny ne retienne le flot de paroles qui glissait entre ses lèvres comme une mélodie feutrée. Elle ne parlait pas fort, elle n'en avait pas besoin. Les gens autour d'eux chuchotaient à peine. Il étaient peut être inquiets de voir une situation dégénérer. Il y eut des bruits de pas dans le couloir. Les pions étaient encore à sa recherche.

Lorsque Tsubasa eut réagi au quart de tour au propos de la jeune cette dernières recula son visage visiblement elle souhaitait pas se prendre un coup, peut être souhaitait elle évité la bagarre, Tsubasa ne comprenait pas ça , pour lui rien ne remplaçait une bonne bagarre, les mots sont trompeur , la seul moyen d’obtenir la vérité était ne faisant parler les point, il pensait que lors d’une bagarre on peut facilement lire les sentiments de son interlocuteurs : c’ était certes simpliste comme façon de penser mais c’est comme ça que Tsubasa fonctionnait.
Lorsqu’ils agressa verbalement le professeur en le qualifiant de vieux débris la jeune fille lui corrigea ses propos, il lui jeta un regard noir ce qui lui permit aussi de la détailler plus amplement, elle était visiblement plus âgé que lui d’un ou deux ans probablement, ses yeux bleu avait une lueur dans le regard bien diffèrent de ceux des autres étudiants ou même des voyou avec qui il avait échangé des coup, ce regard lui rappelait les yakuza lui ayant collé une raclé mémorable il y a de ça plusieurs mois ,il n’aimait pas ça et il répondit sur un ton sec et à nouveau agressif :

«Hé la vieille, tes leçons de discours, garde les pour tes marmots, j’en ai pas besoin »

Lorsqu’il se réinstalla sur sa chaise, se calmant un peu et donc desserrant son poing et refusant de donner son identité, cette dernière refusa de se présenté elle aussi, trahissant alors les règles élémentaires de politesse mais ce n’est pas lui qui allait dire quelque chose, qui était-il pour parler de politesse, lui qui était le premier ne pas la respecter.
Il se contenta d’ hausser les épaules d’un air je m’en foutiste avant d’ajouter sur ton détaché qui ne ressemblait que trop peu à l’impulsif qu’il était :

« Dans ce cas-là je ne vois pas de raison de te parler, j’ai pour principe de ne discuter qu’avec les personnes dont je connais l’identité. »

Il se retourna vers le tableau ,faisant à nouveau face au professeur qui sembla suite à l’altercation entre Tsubasa et la jeune fille derrière lui de faire une interro-surprise décidant de faire son cours ce qui arrangeait bien les élèves et sur Tsubasa qui pouvait à nouveau continuer sa sieste mais avant ça il sorti un cahier et un stylo par principe pour pas que l’enseignant perturbe sa sieste plus que nécessaire, ce n’ était plus dans les habitude de Tsubasa de noter le cours .Il griffonna en bas d’une feuille de son cahier.

Citation :: Ce ne sont pas des choses dont on parle en cours, trop risqué surtout quand on ne connait pas tout le monde dans la classe.SI tu veux avoir une réponse de ma part, rejoins moi à la pause déjeuner dans le gymnase .

Puis il arracha cette page de son cahier avant de la rouler en une boule compact et la fit glisser sous la table de la «jeune fille derrière lui en faisant attention à ne pas se faire remarquer par qui que ce soit.

[Désolé pour le pitoyable post mais pas trop d’inspiration là.]