Konoha : Lycée Daiki
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 Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune]

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Shuichi SatoShuichi Sato




Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune] _
MessageSujet: Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune]   Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune] Icon_minitimeSam 12 Juin - 20:49

Il s’assit par terre, serrant la paume de sa main sur son torse tout en grimaçant. Quel imbécile il faisait ! Quelle idée avait-il eu de venir ici à cette heure ? Ah oui, l’insomnie… Cela faisait plusieurs jours qu’il n’arrivait plus à fermer l’œil que une heure ou deux par nuit et qu’il se retrouvait donc à une heure du matin à tourner en rond dans sa chambre en silence pour ne pas réveiller ses colocataires ou à vadrouiller dans les couloirs. Mais il ne s’était jamais aventuré en dehors du bâtiment, trop risqué. S’il se faisait prendre dehors au lieu d’être à l’intérieur de son lit, il ne savait pas ce qui lui arriverait. A la limite, ce qui lui arrivait à lui lui inspirait l’indifférence que lui inspirerait une vielle chaussette trouée abandonnée au bord d’une route, se faisant piétiner par les roues des voitures qui passaient par là, mais il ne voulait pas que les gens qui l’avaient recueilli aient des ennuis, il ne pourrait pas supporter de leur en attirer alors qu’il ne leur servait déjà à rien, ce n’était absolument pas envisageable. Et pourtant… Pourtant il était sortit ce soir là, et maintenant il se retrouvait assis par terre, le dos contre le tronc d’un arbre, à essayer de stopper le saignement sur son ventre.

Il s’était réveillé cette nuit là à minuit et demi, après une simple heure de sommeil agité de cauchemars. Toujours les mêmes, des cauchemars où il voyait ce qu’il n’avait pu voir, les scientifiques lui ouvrant le ventre, sortant ses entrailles de leur prison de chair, les libérant dans de petites bulles de sang. Il les voyait examiner ses intestins et ses autres organes avant de remettre le tout dans son corps, moment du cauchemar où il se réveillait en sursaut, bien que sans un bruit, en sueur, la respiration tantôt difficile, tantôt extrêmement rapide selon les cas. Même s’il se serait bien passé de voir ses images, il en était heureux en quelques sortes. Sans doute était-ce le prix à payer pour qu’il n’oublie pas à quoi ressemblent les couleurs, à quoi ressemblent les humains, à quoi le peu de ce qu’il a pu voir ressemble. Il ne se rappelait que de peu d’images datant de l’époque où il pouvait voir, ses rêves étaient en somme une espèce de pense bête lui permettant de visualiser encore certaines choses, ne serait-ce qu’en esprit. Ces nuits là, il restait allongé dans son lit pendant un temps variant d’une demi-heure à une heure, tremblant, ressassant ce qu’il venait de voir. Le retour dans le noir le plus complet alors qu’il venait de passer une heure avec des images devant les yeux lui semblait pénible, il avait du mal à se refaire de nouveau à l’idée qu’il ne verrait de nouveau plus jamais alors que quelques secondes plus tôt encore des images animées dansaient dans sa tête. Une fois totalement conscient, il se levait et marchait en silence dans cette chambre qu’il connaissait maintenant par cœur pour l’avoir parcourue des centaines de fois, s’aventurant parfois même hors de la chambre, longeant le couloir qui y menait de long en large, s’arrêtant, s’asseyant quelques minutes puis repartant de plus belle, recommençant encore jusqu’à l’heure où tout le monde se levait.

C’est ce qu’il avait fait cette nuit là, à quelques gros détails près. Il était directement sortit de la chambre pour se promener dans le couloir, où une fois encore il changea de ses habitudes et n’y resta que quelques minutes. Il en avait rapidement eu marre et avait délaissé le couloir pour l’extérieur. Il s’était baladé dans l’enceinte de l’établissement pendant une heure ou deux jusqu’à ce qu’il sente une odeur particulièrement agréable. Des fleurs. Il n’en avait jamais vu en vrai, de belles fleurs aux belles couleurs, les seuls végétaux qu’il avait vus de ses propres yeux étaient de simples plantes vertes en pot qui étaient la seule décoration des bureaux des scientifiques. Et encore, il n’y avait mis les pieds qu’une seule fois. La toute première fois de sa vie où il avait rencontré des fleurs réelles il n’était déjà plus en mesure de les voir. La seule image qu’il avait d’eux était celle qu’on lui avait décrite ainsi que les contours fragiles et mobiles qu’il avait touchés. Mais la chose qui l’avait le plus attiré chez les fleurs, ce qui l’avait le plus marqué était leur odeur. A défaut d’être pourvu d’une quelconque vision, il avait un odorat particulièrement bien développé, et de ce fait il pouvait sentir les fleurs beaucoup plus loin que ne le pouvaient les humains ordinaires. Ce qui s’était passé cette nuit là pour qu’il se retrouve là-haut à saigner avait pris un tournant définitif au moment où il avait sentit un doux parfum lui emplir les narines : l’odeur de roses. Il avait mémorisé le parfum d’une bonne dizaine de fleurs pendant les deux étés qu’il avait passé à aider ses parents adoptifs, et il arrivait sans aucun problème à associer le nom d’une fleur avec son odeur. Son esprit avait fait le rapprochement entre les fleurs et ces gens qui avaient pris la peine de s’occuper de lui et qu’il avait l’impression de trahir à ce moment même. Si on le retrouvait à flâner dehors en plein milieu de la nuit, sans doute se ferait-il exclure et apporterait-il des problèmes à ces gens. Qu’allaient-ils pouvoir faire de lui ? Il serait plus une gêne qu’autre chose. Il l’était déjà, alors tout du moins en serait-il une plus grosse. Il avait grandement hésité à ce moment là à rebrousser chemin et à a retourner parcourir le couloir, mais il en était incapable, cette senteur était trop enivrante, trop fascinante pour qu’il puisse se résoudre à rentrer maintenant, et ce même s’il était conscient qu’il aurait très bien y retourner demain. Il avait donc décidé de continuer son chemin sans se retourner. La seule chose qui l’avait surpris, et ce agréablement, était la multitude d’odeurs de roses qui se dégageait de l’endroit à présent assez proche. Au fond, l’odeur était la même, mais plus il sentait et plus il percevait les nuances précises dans toutes ces odeurs. Aucune n’était la même, mais aucune n’était réellement différente. Cela l’avait définitivement poussé à aller jusqu’à l’endroit où se trouvait les fleurs.

Plus il se rapprochait de l’endroit, plus l’odeur devenait forte et enivrante. Elle était là, tout autour de lui, et c’est comme ça qu’il sut qu’il était arrivé. Il s’était d’abord allongé au milieu d’une allée, les mains sous la tête, à respirer ce doux parfum. Puis, il avait bougé et s’était approché d’une bordure de l’allée où il se trouvait. Il avait tendus le bras pour en toucher une, jusque là tout était parfait, il n’avait fait aucune bourde, personne ne l’avait vu et il n’avait rien cassé. Malheureusement, ce fut lui-même qu’il cassa quelques minutes plus tard. Alors qu’il longeait l’allée en rasant les fleurs de près, ne se préoccupant pas des épines car son t-shirt recouvrait ses manches, il oublia que son ventre lui n’était pas protéger et que sur son ventre se trouvaient ses anneaux. Il n’avait pas sentit, ou du moins avait fait semblant de ne pas sentir, les griffures que lui infligeaient les épines des roses, mais il n’avait pas pu continuer à faire semblant quand une branche d’un rosier se pris dans l’anneau sans qu’il s’en rende compte et qu’elle tira sur l’anneau d’un de ses tétons, le lui arrachant à moitié, lui élargissant le trou et lui déchirant la chair. Voila comment il s’était retrouvé à trois heures du matin le téton droit à moitié en charpie à saigner assez fortement, assis dehors contre un rare arbre de l’endroit sans pouvoir rien faire. Tout ce qui lui était passé par la tête à cet instant était de s’asseoir et d’attendre. Attendre quoi ? Sans doute un miracle. Le miracle que le saignement s’arrête seul. Où peut-être celui qu’un jardinier le trouve dans la matinée en s’occupant des fleurs. Il y avait forcément un jardinier qui s’occupait de ces fleurs quotidiennement, n’est ce pas ?


Dernière édition par Shuichi Sato le Jeu 17 Juin - 22:40, édité 1 fois
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Shizune TakaeshimaShizune Takaeshima
Épine empoisonnée




Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune] _
MessageSujet: Re: Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune]   Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune] Icon_minitimeMer 16 Juin - 23:24

( Sorry mais j'ai vraiment pas d'idées là, j'éditerais si il faut plus tard ^^)

Je m'appelle Shizune Takeshima !
Ma vie n'est pas des plus roses, mon enfance non plus. Je suis née d'une mère bonne à être enfermée dans un asile et d'un père lâche bon à être brûler vif ou électrocuter sur la chaise électrique !! Bon on va dire que d'un coté je ne suis pas des plus "normales" des femmes . Petite j'étais solitaire, indifférente et complètement dans ma bulle sombre, adolescente j'ai tuer ma mère et maintenant adulte que vais-je faire ? Bref passons, après m'être enfuit j'ai été recueillit et j'ai pu faire des études de médecine. Maintenant j'ai postulé dans le lycée Daiki pour être infirmière et la réponse fut positif ! Donc me voilà à Konoha .

Ma première nuit au lycée est catastrophique, je me retourne encore et encore, chaud, froid, chaud, froid .. J'arrive pas à m'endormir, ma tête tourne vers mon réveil qui indique minuit pile . Je soupire, me lève, attrape rapidement un short et un débardeur, j'enfile des baskets, prends mon sac (toujours ma trousse de soin dedans, on sait jamais^^) et me voilà dans le couloir du lycée en pleine nuit. J'avance vers la sortie sans faire de bruit et je sors . Arrivée dehors j'entends des bruits de pas, un sourire en coin je suis la "personne" dont malheureusement je ne vois pas le visage .

A première vu celle-ci ce dirige vers la Roseraie, mon endroit préféré, je sens déjà que je serais souvent ici pendant mon temps libre ! Un rayon de lune vient éclairer le visage du ... jeune homme, ainsi puis-je distinguait ses traits et son corps, je l'admire et le dévisage avec rapidité mais précisions . Continuant de le suivre en secret et sans bruits je le vois ce stopper et des goûtes de sang par terre, je cherche une quelconque blessure avec des yeux inquiets et me dirige sans attendre vers celui-ci.


"Hey toi, où est tu blessé ?!!"
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Shuichi SatoShuichi Sato




Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune] _
MessageSujet: Re: Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune]   Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune] Icon_minitimeSam 19 Juin - 21:37

Cette vieille amie... On pouvait dire qu'elle ne lui avait pas manqué. Il s'était très bien passé de cette douleur, ô combien familière, lui labourant les chairs ses deux dernières années. Il la connaissait par cœur, cette légère impression de fraicheur, cette douleur qui vous retourne l’estomac à vous en faire vomir ce qu’il contient, même s’il ne contient pas grand-chose. Il avait déjà vu l’intérieur de son corps, ce qui se trouvait sous sa peau, cette viande rouge si ressemblante avec la viande qu’on lui servait parfois et qu’il avait déjà vu avant d’être cuite, quand il apprenait à faire la cuisine, mais que l’on avait pourtant pas le droit de consommer parce qu’elle était de provenance humaine. Il n’avait jamais compris cette logique : manger la viande des animaux en tous genres mais pas la viande humaine. Aussi étrange que ça lui avait paru sur le coup, il avait déjà souhaité goûter cette viande, la sienne ou celle des scientifique peu lui importait, mais cette idée lui avait tellement fait peur qu’il s’était empresser de l‘effacer de son esprit et de se forcer à l’oublier. Mais à présent qu’il y repensait et qu’il sentait de nouveau sous ses doigts la structure de la chair fraîche et tendre, il ne pouvait empêcher l’envie de faire à nouveau surface, et il n’avait même plus envie de repousser cette idée, elle ne le dérangeait pas plus que ça, et ce grâce au recul qu’il avait pris avec l’âge : il détestait les scientifiques, et si les manger avait pu les faire disparaître alors il l’aurait fait… Et pour ce qui était de manger sa propre chair… Il n’aimait pas son corps, se fichait totalement de ce qu’il pouvait lui arriver et trouvait qu’il était plus une nuisance qu’autre chose, se faire disparaître rendrait sûrement service à certaines personnes. Qu’avait-il fait depuis qu’il était sortit de sa prison ? Il avait été quémander le couvert et le gîte chez deux personnes d’un âge déjà avancé, il avait été une gêne pour eux pendant presque deux ans, leur avait coûté de l’argent pour le nourrir, et voila maintenant qu’il enfreignait le règlement de l’école et se promenait dehors en pleine nuit, et comble de son imbécillité il se blessait par-dessus le marché ! Non, vraiment, il n’avait rien à faire là.

Ses ongles se plantèrent instinctivement dans sa chair, façon inefficace et totalement débile de soulager la douleur quelques secondes. Il avait enlevé ses gants qui gisaient maintenant au sol, tels deux bêtes inertes, pour mieux empêcher le sang de couler, mais il portait à présent sa main à sa bouche, léchant le sang qui s’y trouvait en frissonnant, ce n’était pas la première fois qu’il goûtait son sang, loin de là, il avait même pris l’habitude de lécher chacune de ses plaies pendant de longues minutes pour arrêter tout saignement, sans vraiment être sûr de l’efficacité de sa méthode. Cette fois ci, ses frissons étaient dus au fait qu’il buvait pour la première fois son sang en ayant en tête l’idée de manger de la viande humaine. Bah, ça lui passerait, il ne s’en inquiétait pas, et même si ça ne lui passait pas il ferait avec sans s’en soucier pour autant. Il porta sa langue sur ce qui était il y a encore quelques minutes son téton mais qui n’était plus à présent qu’un bout de chair à moitié arraché, pendouillant. Un nouveau frisson le parcouru quand le bout de sa langue râpa la chair, un frisson autant d’étonnement que de douleur. Il n’avait pas pensé au fait que trifouiller la chair de sa langue pourrait lui faire encore un peu plus mal, la salive piquant la chair. Il ôta alors celle-ci, la laissant retourner dans sa bouche avec un peu de sang, léchant plusieurs fois ses lèvres où le gout du liquide rouge était encore un peu présent.

Il reposa la paume de sa main contre l’endroit d’où provenait le saignement, après avoir enfin songé à enlever l’anneau qui avait labouré sa chair. Qui aurait cru qu’un simple bout de ferraille pourrait être aussi dangereux même après tant de temps. Il laissa mollement retomber sa tête contre le tronc de l’arbre, laissant le temps passer, espérant qu’il aurait le courage de se lever d’ici quelques heures, ou bien que quelqu’un le trouve avant qu’il ne se soit vidé de son sang, bien qu’il n’y ait pas trop de risque de ce côté ci. Certes, il saignait plutôt abondamment, mais le saignement finirait bien par diminuer et par s’arrêter, il ne se faisait pas trop de soucis là-dessus. Même s’il avait entendu sa respiration et le bruit de ses pas, même s’il avait sentit une odeur étrangère, troublant celle des fleurs, la voix d’une personne, à priori de la gente féminine, l’avait fait sursauter. Réflexe humain, et ce même s’il était incapable de voir quoi que ce soit, il avait redressé la tête et l’avait tourné en direction de l’arrivante, comme pour la regarder et l’identifier, mais il en était malheureusement incapable. A en juger par le timbre de sa voix, elle était plus âgée que lui, et le simple fait qu’elle dise « où es-tu blessé » au lieu de « tu t’es fait mal ? » comme l’auraient dit la plupart des jeunes de cet établissement renforçait le sentiment qu’il avait d’être son cadet. Un membre du personnel sans doute. Quelque part, il était rassuré qu’on l’ai trouvé si tôt, et qu’on allait sans doute le soigner, mais il était inquiet concernant son hypothèse qui disait qu’elle faisait partie du personnel. Elle allait sans doute avertir le directeur de l’établissement ou quelque chose du genre et il se ferait certainement renvoyé. Mais qu’allait-on bien pouvoir faire de lui bon dieu ?! Rien. Il ne servait pas à grand chose, tout comme certaines autres personnes. Il n’avait pourtant pas l’impression que cette personne lui voulait quoi que ce soit de négatif, au contraire, mais il préférait se méfier.


"Qui… Êtes-vous ?"

La question le démangeait depuis qu’il avait sentit sa présence, peu avant qu’elle ne lui adresse la parole, et il n’avait pas pu se retenir de la poser plus longtemps. Autant être direct et savoir à qui il avait à faire, ça pourrait lui éviter certaines surprises plus tard, il saurait au moins à quoi s’attendre. Daignant enfin retirer sa main de dessus sa poitrine, dévoilant sa blessure, qui saignait encore abondamment, il se tût alors, trouvant que la position de sa blessure était assez évidente et qu’aucune précision n’était nécessaire. « Moins il en fait mieux il se porte » avait-il déjà entendu à la télévision, ça lui correspondait très bien, s’il pouvait éviter de parler, alors il le ferait autant que possible.
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Altaxar HashimotoAltaxar Hashimoto
Etudiant




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MessageSujet: Re: Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune]   Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune] Icon_minitimeJeu 19 Aoû - 14:36

Pas de réponse ? Je verrouille What a Face

Si vous voulez reprendre, n'hésitez pas à me MP Wink
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MessageSujet: Re: Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune]   Sometimes I need to remember just to breathe [PV Shizune] Icon_minitime

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