Times. { PV: Elvira }

Invité

Ayant conscience qu'il ne devait mieux pas encore fréquenté les autres clan, Waito décida de ne rien faire de spéciale en cette journée comme par habitude ensoleillé. Celui-ci n'aimait pas la chaleur, que se soit humaine ou atmosphérique peut être était-ce parce qu'il était née en Hiver ? Cela pouvait être très probable. Il marchait plutôt vite, les yeux légerment ouvert, la démarche élancée. Il n'avait aucune envie de parlé ou rencontré des gens, c'était surement le garçon le moins impulsive des Kaguragi, enfaite il ne l'était pas du tout. Pendant toute la journée, il n'avait quasiment rien fait et sa matinée fut plus que maussade, il n'avait pas dormit de la nuit c'est qu'il faisait souvent des nuits blanche mais c'était sa vie après tout. Il c'était levé, les paupières lourdes et il c'était dirigé à sa cabine pour prendre une douche et se changé. Il avait mit un gilet de sport noir à rayure blanche et un jeans en toile de couleur noir, ses chaussures était noir. Il était treize heures vingt cinq et il n'avait toujours rien à faire, il marchait bêtement dans la rue et se mis à allé dans les ruelles, il avait un bouteille de lait dans les mains (allez savoir pourquoi) et il s'arrêta devant une boite en carton et il la souleva et vit un petit chat sauvage, il le regarda inexpressif et le petit animal herrisé les poiles, Waito le pris de ses grande mains pleine d'éraflure, il connaissait ce chat et ses griffures venaient de lui. Il le tenait par une patte, le chat avait miaulé dans la main quand il vit le lait et Waito lui donna.

« Ce serait chiant qu'il ai du poison hein ? Allez bois. »

Il se fichait totalement si se chat mourrait demain ou dans la journée, il se fichait totalement de ça. Mais pourtant il lui donné à boire, le chat ronronna et parti aussi vite qu'il avait bu. Waito se leva, et resta quelque temps sur place à regardé cet endroit, il posa la boite de lait vide et continua sa route. Il fixait l'horizon, seul dans les ruelles qui l'empreinter il se laissa vagabondait et décréta froidement qu'il voulait resté ici. C'était une maison qui était entre deux ruelles, elle était très veille et inhabité, il l'observait longuement et s'assoyait sur les marches par la suite, il y avait très peu de personne qui empreinté cette ruelle, ce qui l'amusa enfaîte.

Malgré sont visage inexpressif, il ferma les yeux et attendu que quelque chose se passe. Pour dire vrais, il s'ennuyait mais n'avait rien envi de faire. Il se laissa allée avec son imagination puis soudainement il ouvrit sa sacoche noir et en sortit un bloc et un crayon. Il dessinait, il n'avait rien d'autre à faire que dessiner. Il avait son regard morne, vide habituel et il respira juste comme il fallait, il donnait des coups de crayons sur la feuille et représenta une personne... Une petite fille devant une maison. Ah ! C'était cette maison là, elle était comme rénovée. La petite souriait et une autre personne fit son apparition: une fille, une adolescente. Elle ressemblait beaucoup à la petite fille, elle... Elle ne souriait plus, elle était vide. Il eut un gros blanc sur le coup et Waito pris la feuille et la chiffonna de ses mains, comme déconcerté et pourtant indescriptible étant inexpressif, il jeta la feuille. Son regard avait viré au rouge, il ferma les yeux comme toujours à rien faire, il sourit. Ce n'était pas un sourire qui pouvait être heureux ou autrement, c'était plus un sourire hypocrite sans aucun sentiment.

« C'est con. »

La Chance...
Ou le Hasart...
Se retrouver ici, et pas ailleur...
Encore une fois, tomber au bon moment...

La journée n'en était qu'a la moitié de sa couse éternelle quand Elvira décida de sortir. Le matin avait été harassant et le travail pleuvait sur les élèves qui s'abandonaient souvent à la colère, le stress et la fatigue. La fin d'année approchait.
La jeune fille s'étira. Elle avait été assise toute la matiné et les fourmis lui mordaient les pieds. Cette pause de midi était une chance à saisir pour se dégourdir. Elle fila donc, telle une flèche préssée d'arriver à sa cible, vers le Hall d'entrée pour se promener dans les vieilles ruelles de la ville qu'elle arpentait occasionnelement. Les passants devenaient de plus en plus rare au fur et a mesure qu'elle s'enfonçait dans les étroites ruelles.
Sa solitude l'emportait toujours dans des coins silencieux et sombres, là où elle aimait se reposer. Le calme.
Là encore, elle se laissa guider et suivit une route qu'elle n'avait encore jamais emprunter. Le jour disparaissait, au fur et à mesure qu'elle marchait, derrière les immense murs qui cindaient la rue.
Un chat s'enfuit à son approche, en lançant un miaulement peureux.
"Encore un qui me fuit", songea-t-elle en riant silencieusement.
Mais son attention se reporta ailleur.
Elle n'avait pas entendu le bruit de pas qui était devant elle.
Elle n'avait pas vu non plus le jeune homme qui se promenait lui aussi.
Seul. Seule.
Elle l'observa discrétement. Son visage inexpressif dégageait une sensation étrange qu'Elvira n'arrivait pas à interprèter.
Serait-ce la peur ? Ou une menace ?
Elle se faufila derrière un pan de mur, hors de vision du garçon.
Un kuragari. Aucun doute.
Sa posture, son expression, ses gestes...Tout en lui soufflait le nom de ce clan.
Que faire ? Le rencontrer, ou passer son chemin ?
Solitude ou réponse ?
Solitude ? Ou ami....
Elvira ne bougea pas. Elle écouta le jeune homme.

-Ce serait chiant qu'il ai du poison hein ? Allez bois.

Elle jeta un coup d'oeil. Le chat qu'elle avait croisé étair devat lui, en train de boire du lait que le jeune homme lui avait apparement apporté.
" Que fait-il là ? ce n'est pas ici le repert des kuragaris..."
Elvira continua de l'observer. Il alla s'assoir sur une marche, sortit un bloc de papier et un crayon, et se mit à dessiner. Malheureusement, Elvira ne pu voir ses dessins. Elle se contenta donc d'attendre qu'il bouge. En attendant, elle allait refléchir.
Solitude ou réponse ?
Quelques minutes plus tard, le jeune homme releva la tête. Il observa longuement l'endroit où se trouvait Elvira, sans la voir cependant.
Solitude....
Continuer le chemin seule, sans jamais le comprendre ?
Ou se montrer...
Comprendre la vie. Apprendre une réponse...
Elle bougea de sa cachette.
"Me voila", se dit-elle à elle même, comme une réponse à une question muette que lui posait son chemin...
Elle se montra enfin au jeune homme.
Plus sûre que jamais.
Determination.
Elle veut toujours des réponses.
Elle espérait qu'elle en aurait une fois de plus.

-Salut, lança-t-elle au garçon.

Invité

Depuis tous ce temps qu'il lui avait fallut à passé ici, à ne rien faire et à attendre que quelque chose se passe. Waito commençait à s'ennuyé mais sans plus tout de même, il était à l'abris du soleil c'était évidemment tout ce qu'il l'importait à ce moment même. Il se remit à fouiller dans sa sacoche, qu'il avait toujours en sa compagnie, et il en sortit un livre. Quand il allait commencer à lire, il sentit une présence du mois qu'on l'observé et pourtant il fit comme de rien était et commença à lire son livre.

La deuxième chose qui l'arrêta sur le coup fut le chat de tout à l'heure, il était assoiffé ce qui faisait sourire Waito bien que ce sourire était sans aucun sentiment. Il avait deux autres petite boite de l'ait, il en sortit une et le chat miaulait en l'observant et ronronna à la suite, Waito lui donna. Le petit chat était de couleur tigré, il devait avoir un mois et c'est pour cela qu'il buvait rien d'autre que du lait et la personne qui lui donnait n'était que Waito, il s'intéressait à la petite vie de ce petit chat dont tout le monde n'en avait rien à faire, sur le coup cela l'avait amusé mais avec le temps il allait souvent lui donné du lait, à chaque moment qu'il avait un peu de temps mais...

Pouvait-on dire qu'il c'était attaché à cette petit chose ? On ne savait pas car dire que cela ne lui ferait rien s'il mourrait, c'était... Etrange. Quand le petit chat avait fini la boite de lait, le jeune garçon le prit dans ses main et joua avec la bête, il était totalement indifférent à la personne qui se trouvait à quelque patté de lui, celui-ci avait son doigt dans la bouche du chat qui le mordillait. Waito était à présent assis et regardait toujours le petit chat et le repos à terre quand celui-ci en montra le besoin et il partit c'est aussi à ce moment que la personne sortit de sa cachette, c'était une jeune fille.

« Salut » lui lança-t-elle

Elle avait de long cheveux ondulé de couleur châtain/roux, elle avait un visage doux et avait l'air d'être une jeune fille très gracieuse et bonne, elle avait de grand yeux vert émeraude et elle était de nature élancé, elle était dans la taille moyenne et portait une robe rose pâle avec un petit chemisier rose foncé. Waito l'observé, et elle le salua gaiement, lui ne fit rien. Il l'observa toujours autant, c'était presque dérangeant quand on voyait qu'il était inexpressif.

« Je peux savoir qui tu es ? »

Elle s'avança, silencieuse, d'un pas assuré.
Kuragari...
Ce mot résonnait dans sa tête, tel un écho qui se répercute sur un millier de parois.
Amis ou Ennemi ?
Ou rien ?
Elle avança encore, et, dans un moment de doute, faillit reculer et s'enfuir. Eviter tout contatc avec les auteurs de ces crimes afreux.
Reculer...
Non, sa fiérté était en jeu. Son honneur qu'elle avait promis de ne jamais mettre en doute et ne jamais l'oublier. Elle continua alors son chemin, le visage fermé.

-Je peux savoir qui tu es ? lança le jeune homme, avec un ton provoquant.

Ne pas oublier...
C'est un Kuragari.
Sa prommesse de considérer frère n'importe qui...Même ses ennemis...
Un dilemme. Profond.
Ecouter son coeur ou son esprit ?
Amis ou Ennemi ?
Elle s'arrêta à quelques mètres du jeune homme qui la fixait avec un regard glacial. Peut-être même flamboyant. Elle le comtempla ainsi pendant une longue minute, et lui addresse finalement un grand sourire. Partit comme s'était, autant en profiter et en savoir un peu plus.

-Je suis une jeune fille qui se promène, lui dit-elle calmement. Pourquoi en dire plus si je ne te connais pas moi -même ?

Rester neutre.
Comme toujours.
Ne faire confiance qu'a soit même.
Ne dépendre de personne.
Même pas de soit...
Elle sourit de nouveau, emportant dans ce sourire toute trace d'inquiètude ou de doute, et attendit une réaction.

Invité

- Je suis une jeune fille qui se promène, lui dit-elle calmement. Pourquoi en dire plus si je ne te connais pas moi -même ?

Oui, elle était bien arrogante sur le coup du moins... C'était ce que pensais Waito, un sourire sans aucun doute machiavélique se forma sur ses lèvre, il s'avance et la regarda. Il n'était plus qu'à quelque centimètre de son visage et gardant son sourire, il lui souffla à l'oreille son nom, c'était simple et facile à retenir: I'm Waito. Il aimait cette façon dont elle lui avait répondu mais il se fichait bien qu'elle sache son nom ou non. Il la scrutait, son visage était très expressif et doux, ses cheveux dansaient avec le vent. De sa grande main frêle et joviale, il pris une mèche de ses cheveux dans sa main la caressa longuement et s'accroupis en la tirant doucement pour qu'elle face de même.

Il l'avait tiré au sol avec une seule mèche de cheveux et l'avais tiré doucement pour qu'elle n'ait pas mal. Il était à présent accroupit à terre. Le sourire de Waito faisait presque froid dans le dos, son attitude rebelle et charmeuse était quelque peu inconvenable pour la gente féminine qui ne pouvait qu'être charmé mais lui, il se fichait totalement de son attitude avec les autres. Être soit même ? C'est si important que ça ? C'est ce qu'on se posait souvent comme question et Waito, cette question... Il la prenait à la légère. Ses yeux noir continuait de fixai son jolie visage, frêle. Il avait l'air de savoir ce qu'il faisait, la mèche de cette jeune fille promeneuse se trouvait toujours dans sa paume, il la tenait fermement et son sourire s'agrandissait à chaque instant qu'il pouvait la garder en main.

Puis d'un coup sa bouche se tordit, il fit une moue et lâcha sa mèche pour se relever. Il sentait une présence et fit comme de rien était. Y avait-il quelqu'un qui els épiais ? Peut-être, peut-être pas. Allez chercher tous les gens qui se trouvent dans des ruelles, qui vous observe et qui parle sur vous ? Ca ne l'intéressait aucunement. Le seul problème de Waito était de savoir pourquoi il avait eut cette impression, comme un coup d'électricité dans son corps qui lui fit bougeait tous ses membres. Il avait son casque autour du cou, on entendait bien la musique, c'était du rock - hard rock. Dans l'air toujours inexpressif du visage de Waito.

On se sentait comme mal, il avait perdu son sourire et sa bouche était entrouverte. On pouvait se sentir à l'aise comme mal auprès de sa personne, aujourd'hui, il faut croire que ce n’était pas le bon jour pour lui parler. Il avait une aura malfaisante et on se demandait bien comment cela se faisait alors qu'avant il était... Doux. Bien qu'il calcul tous ses mouvement, les gens... C'était étrange et il se sentait légèrement mal à l'aise et c'était rare.

« Enchanté. »

Il avait oublié, être enchanté de rencontré une personne: formule de politesse.

[HS: Désoler pour le temps que j'ai pris à te repondre: manque d'inspi U_U]

Le règne du silence s'avançait...
Bruyant de sentiments...
Lourd de pensé..
Attendre

Un sourire. Un pas. Un visage.
Lentement, sans aucune hésitation, il s'avançait avec le vent, ses mains aussi calme que devait être son esprit. L'avait-elle contrariée ? Ou au contraire, comprenait-il la réponse d'Elvira comme étant un au revoir ? Un sourire était affiché sur son visage qui semblait moins dur qu'il l'était il y a quelques secondes à peine. Un sourire qui se voulait peut-être menaçant, mais qui rassurait la jeune fille.
Seul quelques centimètres séparaient leur deux visages, à présent. Elvira se détendit soudainement, comme si elle savait déjà ce qu'il comptait faire. Elle espèrait simplement au fond d'elle même qu'il ne lui ferait rien de mal.
Le Mal.
Comme si elle pouvait ressentir encore ce Mal.
Il était calme. Elle était calme.
Pas deux sourire. Un seul sourire.
A cet instant, il semblait que leurs pensés étaient unis. Ils n'étaient pas deux, mais un seul dans deux corps. Elle sentait déjà son geste avant qu'il ne s'approche. Elle voyait déjà ce qu'il voulait avant qu'il ne le lui dise.

"I'm Waito"

Waito.
L'instant d'après, le garçon avait tendu lentement sa main, sans aucun tremblement, et avait attrapé une de ses mèches de cheveux. Aussi doux que la main d'une mère. Aussi rassurant que la prèsence d'une force supèrieur. Toujours Calme.
Elvira le suivait des yeux, le fixait, et le laissait agir.
Unique.
Pas Kuragari.
Pas Kazuki.
Un esprit.
Lentement, il s'accroupi, toujours en tenant fermemant la mèche. Un seul mouvement qui entrainait l'adolescente avec lui. Elle le laissa faire, et se retrouva accroupie à son tour.
Un mur se ferma au dessus d'eux. Dans ce toucher, des millions de mots jaillissaient et s'emmèlaient, à un tel point que aucun d'entre eux n'étaient visible.
Elle était en sécurité. Lui aussi.
Sou sourire grandissait à vue d'oeil. Il laissait appraître la tranquilité de Waito. Il était serein. Tout comme elle.
Jusqu'à ce que...
Noir.
Il n'était plus que du noir.
Il se releva dans un tourbillon, sans laisser le temps à Elvira de comprendre ce changement si soudain.
Le mur se détruisit. Leurs esprits se sèparèrent.
Ils étaient deux.
Autour de lui, une large ombre s'étendait. Son calme et sa tranquilité s'étaient envolés dans un souffle, et son sourire s'était évanouhie avec eux. Ses yeux la fixait toujours. Mais ils étaients froids et reflètaient à présent un danger.
Pour lui.
Mais surtout pour elle.

"Enchanté"

Un simple mot était sorti de sa bouche. Et son calme revint soudainement. Quoiqu'une sorte d'ombre planait au dessus de lui. Elvira ne le lacha pas du regard. Son sourire était toujours présent, mais s'était transformé en un sourire de vainqueur. Comme si elle avait gagné une bataille. Mais elle ne comprenait pas.
Elle repris ses moyens.
D'un geste sûr, elle s'avança à son tour vers lui, aussi lentement, attrapa sa main et la serra tendrement un bref instant et lui murmura à son tour son prénom près de l'oreille.
Calme de nouveau.
Elle suivait les mouvements du vent.
Puis, une seconde après, elle s'éloignait déjà ;seulement de quelques sentimètre,et sans lacher sa main; comme repoussé par cet ombre qui tournait autour de lui, mais qui semblait cependant plus faible.
Il parraissait y avoir une fissure, mais le doute subsistait tout de même. Elle ne le lachait pas des yeux et suivait tout ses mouvements.

"Que fait un Kuragari dans ce coin ?"

C'était un Kuragari, aucun doute.
Elle lachait enfin sa main.
S'inquièter ou pas ?
Rester calme.
Toujours

Invité

Quelle heure était-il à présent ? Et bien il était dix-sept heure. Cela faisait deux heures environs que Waito était dehors, il ne faisait ni chaud ni froid, le temps varié du sec au froid printanier. Dans les ruelles, où se trouvait donc Waito et cette jeune fille, qui, elle se nommait Elvira... Les mœurs des enfants que nous entendions loin dans les rues, faisait légèrement tremblé Waito. Ils chantaient une chanson, et quand on entendait leur voit cela se voyait: ils venaient d'une chorale. Waito marchait un peu plus dans la direction de Elvira, elle était calme et ne parlée par plus que celui-ci, elle le scrutait légèrement de ses yeux vert/bleu, turquoise ? Ils étaient beaux. Waito se penchait légèrement vers elle, un sourire légèrement hautain pour certain, agréable pour d'autre et il se mit à rire gaiement. Bien que, connaissant le jeune homme ce genre de sourire, rire est seulement une feinte pour ne rien laisser paraître de soi-même, Waito était tellement calculateur... Tellement charmeur. D'un ton presque neutre il se mit à parlé mais après dire on ne pouvait comprendre que ci la personne était à quelque centimètre de lui -comme Elvira- il parlé de ce sentiment qui l'avait légèrement frustré l'instant précédemment.

« C'est ruelles... Sont-elles sure ? »

C'était cela qu'il n'arrêtait pas de se demandé, il s'amusait encore avec la mèche d'Elvira, mais elle le savait aussi bien que lui... Il n'allait pas lui faire du mal. Ou ce n'était pas pour aujourd'hui, du moins pas encore. Et il n'avait aucune raison de le faire, non ? Elle était plaisante à vrais dire, elle posait quelque question, elle s'intéressait c'était même plutôt flattant. Cependant, c'est question l'importait légèrement mais de la compagnie... Cela ne lui était pas de refus puisqu'il ce fichait des gens, du moins la plupart, qu'il côtoyait. Ah oui... Qu'il est détestable dans sa vrais nature, le p'tit Waito. Il tourna autour d'elle et mis sa tête sur son épaule, son visage était prés du sien et son souffle pouvait la frôler. Elle lui avait posé une question à laquelle, il n'avait point répondu.

S'il n'y avait pas un petit peu de mystère, il n'y aurait plus cette touche de piquant à l'histoire, non ? Il avait toujours l'air triomphant avec son petit sourire au coin qui lui était quelque peu... Hautain. Mais cela, comme dit précédemment, dépendait de comment on le prenait. Waito avait l'air quelque peu exténué, ses yeux était fermé... Comment pouvait-il être si zen ? Était-il humain ? Oui et non, il avait perdu de cette humanité avec le temps, il l'avait bel et bien perdu... Or, il voulait la retrouvé malgré tout. Les trait de son visage ce resserré son sourire changé peu à peu et disparu à la fin, un air plutôt inquiet, plutôt triste masquait à présent son visage décolorée par l'ombre dans laquelle il se trouvait. Ses yeux s'ouvrirent et se reprenant peu à peu, son sourire revenant... L'ombre commençait à s'estomper, le soleil triompher et Elvira et lui-même se retrouvèrent éclairée par une couche de lumière insupportable.

« Je n'aurais pas pensé qu'il fasse aussi chaud. » Soupira-t-il longuement par la suite.

Puis il leva son visage, lâcha la mèche de la jeune fille et il s'assit au porche de la maison, là ou pouvait resté un peu d'ombre, là ou il pouvait être à l'abri de cette chose appelé soleil. Haïr la chaleur était une chose, ne pas supporté le soleil en était une autre.

Sentir...
Le danger ?
Ou la peur ?

Le temps passait, et la la lune commençait à faire son apparition au delà des toits des maisons. A son inverse, le soleil entammait sa longue descente pour laisser sa place à son frère, lentement. Mais le froid ne respectait pas les règles imposé au retour de la nuit. Il faisait au contraire de plus en plus lourd, comme si le soleil, au lieu de diparaitre, grimpait au ciel pour envahir les humains de sa lumière. Ce qui était loin d'être
agréable. Mais s'il fallait le supporter...
Elvira et Waito se tenait toujours l'un en face de l'autre, sans rien dire, et sans bouger. Le jeune homme tenait toujours la mèche d'Elvira dans sa main, comme si le fait de la lacher signifiait un désastre qu'il voudrait éviter. Cette mèche était l'unique contact qu'il avait, et l'adolescente n'aurait jamais osé le rompre. L'humeur du jeune Kuragari semblait changeante... Le silence qui régnait entre eux était imposant, et parraissait indestructible. Mais il était rassurant. Comment expliquer le pourquoi ? Peut-être parce qu'Elvira trouvait son interlocuteur agréable. Et peut-être aussi que par ce silence passait des millions de sentiments que la jeune fille aimait écouter...

-Ces ruelles... Sont-elles sure ? demanda soudainement Waito en guise de réponse.

Sa voix s'était calmée, semblerait-il. Elle soupira. La colère était un sentiment qu'elle n'apreçiait guere, surtout quand cela venait des autres. Ce n'est pas qu'elle avait peur, juste qu'elle n'aimait pas.
Quelle question...Si il avait un doute sur la sécurité des ruelles, alors pourquoi si balader tranquillement ? *
Peut-être....pour la même raison qu'Elvira. Pour le danger et les sueurs qu'elles apportaient. Pour la liberté de ses mouvements, aussi...Ces ruelles étaient l'endroit parfait pour ceux qui voulait être seul et loin de tout. Cependant, si le souhait de la jeune fille ce soir là était de se retrouver seule, elle était tout de même contente d'avoir rencontrée de la compagnie. Même si ce gars se révélait être le pire des tueur. La façon dont il se comportait lui plaisait, même si cela était étrange de tenir dans sa mains aussi longtemps une mèche de cheveux. Qu'importe, c'était une compagnie des plus plaisante.
Il leva les yeux vers les toits. Le soleil commençait à faire son apparition de ce côté-ci. Un soleil orangé et éblouissant. Elvira essaya quelques instants de profiter de sa lumière reposante, avant de fermer les yeux et de laisser la dernière chaleur de la journée l'envahir. Elle n'aimait pas avoir chaud. Au contraire, elle detestait. Cela la mettait mal à l'aise et souvent, il lui arrivait d'voir des malaise. Mais la chaleur que le soleil offrait en soirée était diffèrente. Elle était chaude, elle aussi, mais elle ne brulait pas. Elle apportait de la chaleur au coeur qui lui demandait. Et Elvira avait bien besoin de cette chaleur. La solitude ne lui pesait pas, mais elle n'aimait pas se sentir vide. Et son coeur l'était malheureusement, quoi qu'elle désir...Elle se laissa vider complétement et profita de cette source de chaleur. Elle sentait tout près d'elle la présence de Waito qui tenait toujours la mèche entre ses doigts.

-Je n'aurais pas pensé qu'il fasse aussi chaud, lacha-t-il dans un soupir.

Il lacha ensuite la mèche. La jeune fille ouvrit les yeux, comme si elle avait reçu une décharge éléctrique. Elell le regarda de ses grand yeux froid. Lui, souriant, allat s'assoir sur un porche tout près de là.
Le suivre ?
Rester là à comtempler ?
Elle ne bougea pas. Comme pétrifié. Elle le suivit du regard, puis referma ses yeux en souriant pour terminer sa comtemplation aveugle de cette énorme étoile. Vide. Elle n'entendait, ni ne voyait plus rien. Ou plutôt...elle ne voulait ni entendre ni voir. Seulement sentir.
C'est d'ailleur avec ce sens qu'elle perçu la présence d'une autre personne, un peu plus loin. Une présence désagréable. Un autre élève du lycée ? Sans rouvir les yeux, elle baissa la tête lentement, suivant la descente du soleil. Lorsque le dernier rayon disparut enfin, puis, tout aussi lentement, elle ouvrit ses paupières. La présence était toujours là, tapie dans un coin sombre. La jeune fille 'loublia pour se concentrer à nouveau sur le jeune Kuragari. Il la regardait, souriant. Elle alla le rejoindre.
Une fois assis, elle regarda le ciel, plongée dans ses pensées.

-Les ruelles ne sont dangereuses que pour ceux qui attendent de les avoir franchie pour respirer de nouveau, dit-elle dans un souffle, sans vraiment réflèchir.

Puis, toujours souriante, elle le regarda de nouveau et lui demanda presque en murmurant :

-Pense-tu en faire parti ?

Invité

Les ruelles ne sont dangereuses que pour ceux qui attendent de les avoir franchie pour respirer de nouveau, dit-elle dans un souffle, sans vraiment réfléchir.

Pense-tu en faire parti ?

Et toi ?

J'aime énormément la solitude, j'aime énormément pensé. Mais ce que j'aime le plus c'est la beauté caché de tout petite chose que personne ne voit qui se trouve dans des endroits comme celui-ci.

Rêves-tu ?

Oublier…

Si sa vie se résumait à rester là et attendre que le sort de la mort vienne l’abattre, elle attendrait. Si sa vie devait être ce quelle doit être, écrite depuis le jour de la naissance, elle la subirait. Mais si sa vie c’était d’oublier toutes ses choses qui l’on rendu heureuse, malgré sa solitude, alors elle se lèverait et courait vers le future pour trouver de nouveau souvenir. Les rêves sont pareils. Pourquoi faut-il chercher à les réalisé, si on en a à chaque fois des nouveau qui viennent ? Il suffirait de les oublier et de continuer à avancer avec ceux qui daignent la suivre…

Rêver…

C’était si simple et compliqué à la fois…On ne peut rêver sans espoir, on en peut espérer sans rêve…Un cercle vicieux qui parcourt les siècles. Toujours le même ? Toujours cette stupide envie de changer. Etait à cela que servait les rêves ? Ou alors tout simplement à donner suffisamment de courage pour continuer de vivre, en évitant les obstacles du monde ?
Doucement, la jeune fille leva les yeux au ciel. Assise sur le porche de la ruelle, elle regarda avec ses grand yeux gris le monde d’en haut. Celui où naissaient les rêves, et l’espoir. Celui d’où l’on venait, et que l’on rejoindra tôt ou tard. Elle ferma les yeux quelques instants, la tête toujours levé vers les étoiles qui scintillaient de tout leur éclats. On se demande toujours comment un aveugle faisait pour savoir exactement où aller. On se demandait ce qu’il voulait dire lorsqu’il parlait de « sa vision parfaite ». Un aveugle qui avait une vision. C’était stupide de dire ça. Mais peut-être était-ce totalement vrai. Il suffisait de fermer les yeux pour s’en rendre compte. Ecouter sentir, toucher…Et aussi, comme disait les vieux philosophes « voir avec son cœur ». Une phrase pas si stupide que ça, finalement…
Dans son nouveau monde, Elvira vit de nouvelle étoiles plus belles que jamais jaillirent une à une sur ce fond habituellement noir. Un nouveau ciel, un nouveau rêve.

Rêves-tu ?

Pourquoi pas ? Le rêves n’avait jamais tué qui que ce soit auparavant. Il n’était pas interdit, et ne le serait certainement jamais. Il est comme la rivière, rien ne l’arrête, même pas un barrage, il finira toujours par trouver un moyen de s’échapper et de devenir encore plus fort. Fière et sauvage. Qui peut se vanter d’avoir dompté le rêve ?

-Comme tous les autres, je suppose, répondit-elle finalement, sans révéler sa véritable pensée. Je ne suis pas quelqu’un de « spécial », et je ne le serais jamais.

Spécial…

Que voulait-il dire ce mot ? Différent ? Supérieur ? Faible ? Plus fort ?
Si c’était diffèrent, alors elle était spécial, ainsi que tout les autres. Et ce mot perdrait sa signification.
Supérieur…On ne pouvait être plus puissant qu’un autre sans être spécial. Mais ce mot pouvait tout de même cacher une faiblesse…L’aveugle était-il spécial à cause de cette faiblesse ? Pourtant, il a entre ses mains une chose que jamais de personnes normal auront. Son monde le rend plus fort que n’importe qui, et se dresser contre lui, c’est se dresser contre sa volonté inébranlable. Incassable. Infaillible.
Finalement, était-il préférable d’être spécial ?
Encore une question…Une de plus…Et elle n’aurait jamais la réponse, a l’évidence.
Que de question…
Trop de question…
Pour vivre…
Si la vie, c’était de poser des questions alors elle vivait plus que les autres…

Etudiant

Pas de réponse ?

Je verrouille What a Face

Si vous voulez continuer, Mp moi Wink