De bon matin... (PV Waitoto & Yuuhi-chan)

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Réveil matinal, comme d'habitude. Yuki grogna avant de finalement s'avouer vaincue et de se diriger vers la douche. Une fois sortie séchée et habillée, c'est d'un pas trainant qu'elle sortit de l'internat, et traversa le parc verdoyant en direction du lycée. Ce chemin n'était pas le seul, et certainement pas le plus court, mais l'extérieur ainsi déserté de ses élèves, à peine en train d'émerger ou déjà en cours, était agréable à la jeune fille et elle en profitait avant que ce moment de solitude arrive à son terme.

Petite halte dans le hall d'entrée, ce matin très illuminé par le soleil à peine plus haut que l'horizon, mais annonçant d'emblée la chaleur de la journée. Les escaliers, en face, l'attendaient, elle entreprit d'en monter les marches, lentement. Nul besoin de se presser, elle était en avance.

Plusieurs élèves la dépassèrent sur le chemin du deuxième étage, qu'elle n'eut pas à atteindre. En effet elle vit les élèves de sa classe redescendre alors qu'elle ne s'aventurait pas encore dans le couloir. Elle se dit que son professeur devait être absent, et sans prendre la peine de le vérifier d'elle-même ou de demander à l'un des étudiants qui descendaient, fit volte-face pour repartir dans l'autre sens.

N'ayant aucune envie de retourner dehors, où le moindre banc devait être maintenant investi d'élèves désœuvrés. Finalement elle stoppa sa marche sur le pallier du premier étage. Les salles de classe qui s'y trouvaient n'était jamais utilisées, ou bien très rarement. Elle se risqua dans le couloir.

Parmi les différentes portes qui s'offraient à Yuki, l'une céda sous l'impulsion de sa main sur la poignée. Elle y entra et ferma derrière elle, sans trop se demander si elle en avait le droit, s'assit sur une des tables près de la fenêtre. Sortant une feuille et un crayon bien que ne sachant trop quoi faire avec, et regarda par la fenêtre le ciel de plus en plus bleu au fil des minutes.

Des pas résonnèrent dans le couloir, Yuki releva les yeux mais ne s'affola pas pour autant, et se mit même à ignorer la source du bruit alors qu'il s'approchait à pas feutrés. Cependant elle ne put plus rester si indifférente lorsque la poignée de la porte bougea.

Invité

Il devait être six heure du matin, il faisait noir dans la chambre et le rideau était entre ouvert, l'on voyait juste les ombres des branches de l'arbre devant la fenêtre. Le garçon qui se trouvait dans cet chambre était positionné dos contre mur, le regard inerte et un couteau à la main. Il jouait avec en attendant la lumière du jour, il observait la lune qui avait la forme d'un croissant, elle brillait de sa couleur blanche. Le jeune garçon à qui on avait donné le prénom de Waito, regardé ce spectacle qui pouvait en attendrir plus d'un. Le jeune garçon avait l'air ailleurs, il ouvrit la fenêtre, et un se pencha en avant pour regarder le petit monde étant du bas, il vit des gens marchaient et ils ressemblait bien à des fourmis. Et cela l'amusait, sans qu'il ne ressente quoi que se soit, le regard dénudé d'expression, Waito s'assit sur le bord de la fenêtre, et touche une branche de l'arbre pour ensuite allé dedans. L'arbre était très proche de Waito alors il pouvait sans problème y grimppait. Il marcha sur les branche et resta assis sur lune d'entre elle pendant deux heures. Il n'avait rien fait durant ces deux heures, il avait observé l'horizon. Il avait l'air d'un fou, mais cela, il s'en fichait royalement. Il se leva de l'arbre et de la branche marcha jusqu'à qu'il puisse sauté par la fenêtre pour atterrir à sa chambre. Il c'était déplacer jusqu'à la salle de bain, il avait tournée le robinet sur le froid et légèrement sur le chaud, il n'aimait pas la chaleur pour certains raisons qui resteront les siennes.

Waito se déshabilla tranquillement et se mit sous l'eau froide dont un soupçon de chaleur, les yeux fermés il se savonna le corps assez vite, là ou il fallait et se sécha après s'être mouillé abondamment pour que tout la mousse parte, il avait les cheveux humide et son corps était "sec", il mit son caleçon et au dessus son bas, un pantalon bouffant, il boutonna sa chemise à motif écossais près avoir mis un haut blanc sans manche et porta son collier en forme de larme dont un liquide était à l'intérieure. Il l'observa quelque temps, et mis ses chaussettes puis ses chaussures. C'était une journée qu'il sentait déjà longue... Il se leva et rentra dans son dortoir, il avait encore les cheveux un peu mouiller alors il continua de glander sur son lit, les yeux au plafond, un serviette en coton autour du cou, il resta de longues minutes à regardé le mur de marbre, blanc. En attendant, il était seul et n'avait rien à faire alors il ne faisait rien, quoi de plus logique pour lui. Il ne faisait que expiré et inspiré, regardent nulle part, il finit par trouvé quelque chose à observé qui ferait au moins quelque chose; les nuages - le ciel. Ils bougeaient, eux, doucement mais surement.

Waito était attentif à cela et les observa sans arrière pensé, puis il se redressa, il était dix heures vingt et cela faisait quatre heure qu'il ne faisait rien. Ça aurait pu paraitre long mais pour lui c'était comme s'il avait passez une heure devant la télé, au moins là c'était plus intéressant. C'était son avis après tout. Il se redressa de son lit, les jambe allongé à terre et le visage inexplicable sombre, il se leva avec la tête qui tourna un peu, un main sur le crâne, il se mit à marché jusqu'à qu'il trouve quoi faire. Il atteindit le couloir et marcha jusqu'aux escaliers, il se tenu à la rampe et se rendit compte que personne n'était là et d'ailleurs c'était mieux ainsi, dans l'état ou il était... Il ne faisait pas attention à ce qu'il faisait. Le soleil battait son plein, il mit sa main devant lui pour pouvoir faire de l'ombre à ses yeux. Il marcha un peu plus vite qu'avant, et vit un porte, les yeux légerment ouvert. C'était une classe, il n'y avait aucun bruit et il tourna la poignet et vit que la porte n'était pas verrouillé, il ne se posa pas de question et entra. Inexpressif comme toujours, il vit une jeune fille qui le regardé comme surprise.

« Tu es ? »

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Cela faisait bien quelques heures que la solitaire machouillait son crayon, le regard planté dans l'azur du ciel, à toiser l'éclatant soleil et encourageant les minuscules nuages qui venaient le défier. Une infinité de minutes au terme desquelles le silence du couloir fut dérangé par des pas des pas égarés, où la pognée de la porte tourna afin de la laisser pivoter sur ses gonds. Yuki fit redescendre ses yeux jusque dans la salle où sa quiétude matinale s'apprêtait à être brisée.

Une silhouette se glissa dans l'entrebâillement, et rien qu'à l'observer on pouvait deviner qu'il ne s'agissait pas d'un professeur, d'un surveillant où d'un adulte quelconque. Etonnée de voir qu'elle ne semblait pas la seule à fouiller les coins les plus improbables du lycée en quête de tranquillité, la jeune fille tenta de distinguer le nouveau venu. Son regard tourné vers elle lui était complètement opaque. Innexpressif. Aucune émotion d'aucune sorte ne pouvait s'y déchiffrer. Son visage fin, presque fragile était lui aussi peint d'une expression des plus neutres. D'une voix qui faisait penser à un policier ou autre personnage du genre, demandant automatiquement son identité à quiconque le croisait, sa question se limitait au seul nombre de mots nécessaires pour la comprendre:

-Tu es?

Toujours son crayon à la bouche, mais son air légèrement surpris ayant disparu sous son habituel masque d'indifférence, Yuki jaugea l'inconnu du regard, et ce pendant plusieurs minutes. A la fin de son examen visuel elle dut trouver qu'il n'y avait aucune mal à ce qu'il connaisse son nom, et le lui donna sans enthousiame ni réticence.

-Yuki Hakuya.

Peu curieuse de connaître celui qui l'empêchait maintenant de regarder la suite du combat soleil contre nuages, mais assez désireuse de retrouver sa chère solitude, l'étudiante décida de commencer la conversation par là, afin d'enchaîner sur un moyen d'esquiver cette présence, ou de la faire partir.

-Et toi?

Ni son ton si son expression n'était vraiment convaiquants, puisque ils ne transparaissaient pas une véritable envie de parler. Mais Yuki ne faisait pas partie du club de théâtre après tout, et on ne lui en voudrait pas pour ça. Elle avait posé sa feuille sur la table où elle était assise, derrière elle, et s'occupait les mains en jouant avec le crayon, en attendant une réponse. Mais finalement avant qu'elle n'arrive, elle ne put s'empêcher d'enchaîner, une indécelable note d'exaspération dans sa voix égale, indiquant qu'elle était tout de même assez agacée de se voir ravir son calme, son silence et sa solitude, chaque fois qu'elle trouvait un petit moment à leur consacrer.

-Mais quand même, je pensais être la seule pomée à me balader dans les endroits déserts pour avoir la paix...

† Angel of *Hide* †

Plus de réponse depuis longtemps.
Je verrouille.

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