Les cours s’étaient terminé pour le pause de midi enfin Kusari avait faim et ce n’était pas pour rien il n’avait encore rien mangé il monta seul sur le toit espérant ne trouver personne pour l’embêter, donc arriver sur le toit il regarda en passant la tête si personne n’était là. Coup de bol pas l’ombre d’un rat sur le toit. Mais pour quoi une telle envie de se retrouver seul. En faite depuis qu’il avait rejoint les Kazuki, Kusari se sentait qui devrait faire face à des problèmes du genre surtout qu’il avait déjà eu des problèmes avec certain membres des Hide et qu’il avait formé une alliance avec les Kazuki. D’après ce qu’il avait compris, Yumi Nara était devenue le chef à la fois des Hide et de l’alliance. Bien que Kusari jouisse, si l’on peut dire, d’une réputation bien ancré de ses agissement envers les gangs, son désir de prendre part à la guerre des gangs ne fait pas partie de ses priorités, et il redoutait que la dite chef viens le voir pour lui demander de les aider.

Néanmoins Kusari posa son étui de sabre au sol et commença son repas un bento préparé par ses soins vu que son grand-père ne sait pas cuisiné. Après le bon repas Kusari joignit les mains et remballa son plateau il se mit à regarder le ciel sans penser à quoi que se soit. Il adorait ces courts moments de détente. Regardant un petit agenda il vu qu’après les cours il devait allez au club de kendo. Intéressant, tant qu’il est en mouvement ses « alliés » et les Kuragari ne l’embêteront pas, d’ailleurs s’il le pouvait il ferait pour évité le combats, pas qu’il soit faible mais juste qu’il ne veut pas se battre pour un rien. Mais alors il devrait laisser tombé les personnes pour qui il a de l’affection, c’est pour ça qu’il ne combat que par grande nécessité.

Après quelques minutes de rêverie Kusari entendit la porte d’accès au toit s’ouvrir. Il dans un râle de soupir et sur un ton sarcastique.

Génial ce superbe moment de tranquillité était trop beau pour durer qui donc va le gâcher en premier ?

Kusari balança sa tête vers la porte. Sa main était placé prêt de son étui prête à s’en saisir si le besoin s’en faisait sentir

Leiko était encore seule, décidément, elle n’était pas faite pour avoir une centaine d’amis. Une petite poignée et encore. Elle soupira et afficha un air triste. Elle n’avait jamais eu d’amis, elle ne connaissait donc pas ce sentiment. Et avec la guerre des clans de ce lycée, cela ne lui facilitait pas les choses. Elle se sentait vraiment seule en ce moment. Et comme à chaque moment de solitude, Leiko se réfugiait sur le toit, un coin calme et désert. Là elle pouvait observer les nuages, les oiseaux et penser à sa solitude. Elle passa devant des groupes d’élèves, cachant ses yeux, comme à son habitude. Elle réfléchissait à cette guerre, pour finir, il n’y avait plus qu’un intérêt commun entre les Hides et les Kazukis : vaincre les Kuragaris. Pour elle, cette guerre était stupide, elle ne comprenait pas les raisons des Kuragaris, pourquoi faisaient-ils du mal aux autres ? En tout cas, elle savait que Yumi Nara était devenue la Chef des Hides et également chef de l’Alliance entre Hide et Kazuki depuis la mort d’Hana. Leiko n’avait pas connu Hana mais elle avait eu des échos sur la personnalité de cette chef exeptionelle.


La jeune fille arriva bientôt au pied de l’escalier menant au toit. Elle espéra qu’il n’y aurait personne pour troubler la douce tranquillité du toit. Elle grimpa calmement les escaliers, toujours dans ces pensées. Elle s’arrêta au milieu de l’escalier, de manière à pouvoir reprendre son souffle. Elle inspira une grande bouchée d’air et se remit à monter l’escalier. Elle arriva enfin devant la porte du toit, elle la poussa et découvrit qu’il y avait déjà quelqu’un sur le toit. Un jeune homme aux cheveux blanc et aux yeux bleus gris, justement, comme ceux de Leiko mais en plus foncer. La jeune fille observa l’élève assis sur le toit. Habillé d’un pantalon ¾ noir et d’une chemise à manches courtes bordeaux. Il était assez grand, enfin, plus grand que Leiko en tout cas. A l’arrivée de Leiko, le jeune homme avait attrapé à la hâte un Boken. Leiko baissa les yeux d’un air gêné, elle n’avait pas envie de déranger le jeune homme dans ce moment de solitude, aussi Leiko voulut tourner les talons mais fut complètement incapable de bouger.

« Il ne manquait plus que ça… » Pensa-t-elle.

Elle sentit bientôt le rouge lui monter aux joues. Une situation d’inconfort durant laquelle la jeune Hide sentit ses joues lui brûler. Elle baissa les yeux en restant sur le pas de la porte. Elle tenta de sourire mais ses lèvres refusèrent catégoriquement de lui obéirent. Un tremblement instantané vint la secouer et la jeune fille reprit conscience de ses actes. Elle releva lentement la tête, à la manière d’une gamine qui venait de se faire gronder pour une grosse bêtise, découvrant ainsi le jeune homme en train de l’observer attentivement. Elle se remit à rougir et pris un air gêné. Elle crut pendant un bref instant que le jeune homme aux cheveux blancs était capable de lui en elle, comme si elle n’était qu’une vulgaire feuille de papier. Elle s’apprêta à reculer, toujours son air gêné sur le visage. Elle s’arrêta et fixa le jeune homme du toit, le sourire aux lèvres. Un sourire crispé d’une gêne incontrôlable. Pendant ce combat contre cette gêne, le jeune homme sourit en observant la jeune Hide. Aucuns sons ne perturbèrent ce long moment d’observatoire entre les deux adolescents. Leiko chercha une excuse à lui dire. Une excuse bidon. Une excuse gentille. Une excuse qui dirait tout et rien à la fois. Le jeune garçon reposa son sabre en bois par terre après avoir finit de regarder cette fille fragile aux yeux bleus mélangés à du gris et à la pâleur couleur neige.

- Désolée… De t’avoir déranger, finit par lâcher Leiko.

Kusari voyant une petit fille rougissant et essayant de cacher cette gêne c’était raté apparemment, Kusari s’aperçu après un long silence pesant Kusari finit par ce se demander s’il ne venait pas tout simplement d’intimider la jeune fille il faut dire qu’elle ne semblait pas à l’aise elle se serait sentie mieux s’il n’était pas là. Kusari reposa son sabre de bois au sol, voyant que la jeune fille était tout sauf belliqueuse. Enfin un peu de douceur dans se monde brute barbare. Elle finit par bredouiller une petite phrase

Désolée… De t’avoir déranger.

Non en faite tu me dérange pas vraiment j’ai cru que tu étais l’un de ces délinquants en puissance qui était encore venu me dire de prendre part au combat.

Se releva et se dirigea vers la jeune fille du haut de ces 1m80 il semblait impressionnant il finit par lui tendre la main. En lui disant sur un ton sympathique.

Je m’appelle Kusari Kitani, mais appel moi Kusari, et je vais nous faire gagner du temps. Oui je suis un étranger, oui je porte un nom Japonais, oui c’est ma vrai couleur de cheveux et non je ne suit pas bagarreur même si je me ballade avec un boken.

Kusari empoigna la main de la jeune fille qui semblait être d’une grande timidité voyant que cela la gênait plus qu’autre chose. Il préférait la lâcher. Il continua.

Si tu veux peux me tenir compagnie. Je fais partie des Kazuki, mais s’il y a a bien un membre que se refuse le plus souvent à se battre c’est moi je n’apprécie pas la violence.

Kusari alla se rassoir à la place ou il était, pour lui, la jeune fille semblait être un peu craintive à son égard en même temps avec la technique d’approche de Kusari tellement « agressive », beaucoup de personnes réagissaient comme elle. Kusari finit par la regarder elle était encore de l’autre côté Kusari avait un peu l’impression d’être en face d’un petit chaton, qu’il devait d’abord rassuré avant qu’il n’aie confiance. Il finit par dire avec un grand sourire.

T’es à croquer petite, mais tu sais je ne vais pas te manger pour autant hahhahahahaaa….

Kusari se mit à rire il trouvait sa phrase marrante. En fin avec Kusari c’est chose était monnaie courante, mais la jeune fille allait-elle approcher ou s’enfuir à toutes jambes. La réflexion de Kusari était propre à ses origine pour lui être appelé et appelé les autres par leur nom de famille était si impersonnel. C’est bien d’utiliser le prénom même si l’on ne connait pas bien la personne.

La jeune après quelques minutes vint s’assoir devant Kusari et regarda aussi le ciel puis, elle se retourna vers Kusari et le regarda dans les yeux apparemment elle ressemblait à quelqu’un qui prenait son courage à deux mains avant de sauter. Et elle inspira et dit.

Je m’appelle Leiko Shioki, je ne mets pas de lentille, je n’aime pas la violence et je trouve cette guerre des clans vraiment débile. Et toi ? La trouves-tu également débile et sans utilité ?

Kusari sursauta dans et recule d’un petit bon et dit sur une voix apeuré teintée de sarcasme.

Mon Dieu, elle l'a dit enfin j’y croyais plus, donc tu n’aimes pas la violence c’est bien on va bien s’entendre pour ce qui est de la guerre comment dire.

Kusari s’arrêta un moment il semblait réfléchir à ce qu’il allait dire car il est normal de penser que qu’une telle question était plus qu’une question auquel il fallait répondre oui ou non surtout quand on en connait le début. Il inspira profondément comme pour marquer le début d’une longue explication et il commença sur un ton calme limite de bon élève.

Débile et sans utilité hein ? J’étais présent avant la mort de Hana je l’ai rencontré plusieurs fois sans vraiment la connaitre. Pour tout dire j’était une sorte d’ennemis pour être plus précis, j’étais l’un des rare gars qui ne voulait pas se joindre au deux gang en place avant ce drame, à ce moment les Hides n’était que des enfants à problèmes ayant des complications à se mêler autres et ayant une tendance à l’agressivité et aux désirs de liberté.
La liberté des uns se termine la où comme celle des autres. Mais apparemment Beaucoup de Hide n’avait pas se point de vue pour certains l’injustice était une compagne de chaque instant. Et avec les épreuves que certains ont subit il est normal de se sentir malheureux, moi même j’ai perdu mes parents mais je n’essaie pas de remettre la faute sur quelqu’un d’autre ou je n’essaie pas non plus de passer mes nerfs sur quelqu’un. Se serait tout simplement puéril.

Kusari reprit son souffle et reprit cette fois si en se levant et en allant près de la grille de protection du toit.

Après la mort de Hana tout c’est emballé, Yumi Nara à littéralement pété les plombs et c’est dommage car s’est une chic fille malgré ce que l’on peu pensé mais il faut comprendre les Hide Hana était plus qu’un simple chef pour eux sa mort à fait naitre en eux une colère noires et une rage insipide, Les Kazuki même si sa mort signifiait la fin de leur calvaire, n’a été que le prélude à un danger plus grand. Quand tu regarde bien Leiko, ce n’est pas une guerre c’est une vendetta.

Kusari se retourna vers elle en la pointant du doigt et lui dit.

Pose –toi la question tu aurais une personne à qui tu tiens le plus au monde et cette personne se fait assassiner toi non plus tu n’aurais pas envi e de la venger?

Kusari se retourna une nouvelle fois la grille et croisant les bras et regardant vers l’horizon il termina.

C’est pour cette raison que je n’ai pas le droit de juger cette guerre certes elle est inutile, car la violence entraine la violence, mais elle n’est pas débile, elle ses raison aussi peu louable soit-elle.

Alors Que Kusari avait terminé son discours, il vit que la jeune commençait à partir dans les pomme elle perdit un peu conscience, ce qui alarma Kusari bien vite il s’approcha d’elle pour voir comme elle allait apparemment un petit malaise. La jeune semblait vraiment de constitution fragile. Après quelques minutes, à veiller sur elle, Kusari commença à prendre le pouls apparemment rien de bien méchant. Kusari restait et essaya de la relever un en la prenant par la tête. C’est alors que la jeune fille s’éveilla, Kusari qui la regardait intensément, ne trouva rien à lui dire la jeune fille se recula brusquement et se heurta à la clôture l’air paniqué. Elle bredouilla à Kusari.

Désolée, s’excusa-t-elle. Si je t’ai fait peur…

Elle se recroquevilla sur elle-même comme si elle avait peur de quelques choses mais au travers de ses genoux un timide sourire. Puis elle semblait devenir un peu malicieuse comme si elle était devenue une autre personne. Elle remonta ses chaussettes et Kusari semblait être inquiet à son propos si bien qu’il s’approcha d’elle et mis son front contre le sien ce qui devait surprendre la jeune fille Kusari se releva et dit d’une voix rassurée.

Tu as l’air d’avoir un peu chaud mais pas de quoi fouetté un chat.

Kusari s attendit un peu avec elle. Il avait un peu peur qu’elle ne se ré-évanouisse et préférait veiller sur elle du moins pour le moment. il finit par prendre conscience que a part son nom et son avis sur cette guerre il ne savait rien d’elle. Il dit alors d’une voix sympathique et s’assailli à côté d’elle.

Dit Leiko, Qui es –tu vraiment car je ne connais que ton nom mais raconte-moi en plus sur toi.

Kusari retira ses lunettes et les frotta contre sa chemise puis les leva vers le ciel pour voir les tache encore présente et les remit sur son nez.

SI tu veux je veux bien commencer par moi si tu ne te sens pas à l’aise pour commencer ?

C’était donc à Kusari d’ouvrir le bal. En fait il y avait tellement à dire et en même temps si peu. Kusari regardait Leiko qui semblait afficher une certaine réjouissance.

« Pour faire simple il y a peu je vivais en Europe pour être plus précis en Belgique, j’étais orphelin et je fus adopté par un couple de Japonais. Ils me donnèrent le nom de Kusari. Puis ils sont mort dans un accident de voiture et comme je n’étais encore qu’un j’ai été recueilli par mon grand-père maternelle adoptif et je suis venu vivre au japon avec lui. »

Kusari pris d’une manière nostalgique son étui contenant son boken et continua.

« En vérité, c’est lui qui m’a appris à manier le sabre. Qu’en j’y repense c’est vraiment ironique, au début c’est à peine si mon grand-père me voyait comme son petit fils et maintenant il est si fier de moi qu’il ne se prive pas pour me le dire de temps en temps Lorsque je l’affronte. »

Kusari déposa son étui et se tourna vers Leiko.

« C’est drôle qu’il me dise cela car je ne l’ai jamais battu. J’ai beau faire tout mon possible ce vieux renard est toujours capable de garder une différence entre nous. Dans un sens ça me plait car j’ai toujours un partenaire d’entrainement qui me pousse à allez toujours plus loin. »

Continuant de regarder Leiko. Kusari poursuivit en lui faisant un sourire.

« La vrai raison pour laquelle j’ai appris à me battre, est double. D’un côté j’en avais marre d’être la cible des gangs à cause de ce que j’étais et de l’autre côté je voulais être capable de défendre ceux qui m’étais chère. »

Kusari regarda vers le ciel avec après avoir légèrement ricané se moquant de ses propres paroles il termina avec ceci.

« J’ai l’air d’être un pauvre chevalier sans aucun intérêt avec ce genre discours, c’est minable tu ne trouves pas Leiko ? »

Ayant écouté jusqu’au bout et posant sa main au moment où elle semblait défaillir en parlant de la mort de ses parents. Kusari avait ressentit ce qu’elle avait vécu quelques choses d’horrible mais avait aussi trouvée le courage de continuer à vivre. Kusari exprime plus de l’admiration pour Leiko car même si elle était plus jeune que lui elle avait surmonté son lourd passé peut –être pas totalement, mais assez pour lui donner le goût de vivre. La dernière de question de Leiko surprit Kusari

« Ai-je l’air d’une princesse prisonnière d’un dragon en attendant un prince pourfendeur de dragons en tout genre ? »

Kusari se rapprocha d’elle la pris au épaule et la regarda dans les yeux il lui dit d’une voix encourageante.

« Non, Leiko tu es tout sauf une princesse prisonnière tu as eu l’envie et le courage de continuer de vivre c’est déjà une preuve de ta force. Crois moi je te l’assure, si tu te sens prisonnière c’est juste que c’est seulement toi qui te mets des limites. »

Kusari ayant attrapé Leiko de manière instinctive et avec l’émotion du moment la lâcha et se recula avec une air désolé.

« Excuse-moi, je ne voulais pas être aussi brutal. Tout du moins il est possible que de se retirer des limites n’est pas facile, si tu veux je peux t’y aider je ne peux pas te dire comment faire ni même comment tu devrais t’y prendre ni même te confirmer si ce que tu veux faire est bon ou pas. Mais ce que je peux faire c’est croire en toi, te faire sentir que quelques soit tes choix je suis la pour te soutenir. »

Kusari lui tendit sa main doucement et dans un sourire il lui dit.

« Le choix t’appartient et t’appartiendra toujours, quoi qu’il arrive »

Parfois il se peut que l’ont fasse des rencontres inattendue pouvant aussi bien plonger votre cœur dans les ténèbres ou dans la lumière. Il se peut même que cette rencontre change le cours de votre vie en bien ou en mal. C’est dans cela que Kusari avait compris l’importance qu’il accordait au rencontre qu’il faisait. Même si au fond certaines n’avaient aucune influence sur l’avenir ou sur lui.

Lorsque Leiko se pendit à son cou Kusari savait très bien que cette fois-ci c’était l’une de ses heureuse rencontre qui allait changer sa vie. Leiko l’effleura de ses lèvres sur la joue et elle lui dit.

-Merci de ta compréhension

Kusari savait que maintenant il ne pouvait pas plus reculer il avait plongé tête la première, mais n’éprouvait ni remords ni regrets de l’avoir fait. Alors que Leiko, l’avait lâchée, Kusari la prit dans ses bras, lui caressant les cheveux. Il dit sur un ton tout aussi protecteur que bien vaillant.

-Ne t’en fait pas Leiko quoi qu’il arrive. Je serais la tu seras plus jamais seule.

Kusari serra fort Leiko, bien qu’il ne l’ait pas mentionné, il avait pour habitude de s’attacher autres sans pour autant attendre quelques choses en retour. C’était plus facile ainsi lorsqu’il se faisait trahir ensuite il n’avait aucune déception. Il arrivait souvent même de comprendre les raisons qui avait poussé un ami à le trahir, et lui pardonnais sans que celui-ci est besoin de le demander. Mais avec Leiko il ne pouvait s’empêcher de pensé de penser à plusieurs choses car elle avait été touchée par lui et maintenant elle avait une confiance en lui qui demandait quelques choses en retour. Kusari se fit une promesse à lui-même il ferait tout pour l’aider. Même si au fonds Kusari était un peu triste pour elle. Elle recherchait bien plus qu’une simple amitié et Kusari avait peur de la faire souffrir. Il souvent abrupte et malhabile avec les filles. Ne sachant ce que ses réactions pouvaient leur faire subir. Mais avec Leiko il ferait attention de ne pas faire de faux pas.

-Je ne sais pas si un jour tu seras capable de voir le monde comme je le voix, tout ce que je peux faire c’est espérer et croire.

Kusari relâcha Leiko et d’un signe de la main silencieux il lui fit au revoir ébouriffant les cheveux de la jeune fille avec tendresse. Puis il se dirigea vers la porte qui menait aux escalier.