Kusari se rendait s’était enfin inscrit à un club mais aussi étrange cela puisse paraitre Kusari ne s’était pas inscrit dans un club de Iaijutsu, ni même d’arts martiaux. En faite il avait choisi le club d’arrangement floral, étrange choix si l’on considère que Kusari est un garçon mais il suffisait de le voir au travail pour comprendre Kusari était charger de la coupe et de l’entretien des bonsais.

Ces petits arbres japonais demandant une attention particulière et une précision particulière dans le taillage des branches. En faite, c’est à cause de cela que Kusari avait posé son inscription à ce club apprendre à manier le sabre n’était pas vraiment utile en somme car il l’avait appris avec son grand-père. Ce n’était pas de la prétention ou même de l’arrogance venant de sa part mais Kusari était arrivé à un certain point, dans l’apprentissage du katana, où apprendre ne sert plus à rien il doit maintenant créer son style petit à petit pour atteindre une forme de maniement qui lui est propre.

Ceci étant dit Kusari commença à s’activé sur l’un des bonsais présent dans le Jardin d’hiver, après quelques minutes à découper patiemment les branche délicatement Kusari déposa les outils et se recula pour admirer son travail. Certes ce dernier était encore un peu grossier, mais on pouvait y lire une certaine « connaissance des objets tranchants. Kusari pensait certainement que plus il peaufinerait sa précision de coupe plus il peaufinerait sa technique au sabre.

Il se dirigea vers un second bonsai à taillé étant donné qu’il était le seul membre à les faire, il fallait bien qu’il s’en occupe pour ne pas le laisser grandir inutilement. Kusari semblait totalement pris part son travail qu’il ne faisait plus attention à ce qui l’entourai. Il se sentait apaisé et n’avait pas l’impression de devoir sans cesse être sur ses gardes de peur qu’on vienne le déranger pour un oui ou pour un non concernant cette guerre. Il finit par soupirer à voix haute.


Haaaaaaaa… Si seulement tous les jours je pouvais jouir du même état d’esprit se serait génial. J’espère que jamais rien ne viendra troubler cet havre de paix. Mais bon tout un prix et une duré limitée et crains que celui-ci soit élevé.

Il termina en fin l’entretien du bonsais on pouvait y voir une légère amélioration. Comme quoi même avec le temps tout peu gagner en expérience.

Après avoir pris son rendez-vous , Mia voulut se rendre dans le jardin d'hiver pour goûter au bonheur qu'elle avait goûté auprès de Redhair. Elle se découvrait une âme de romantique qu'elle n'avait pas jadis, elle était sur son petit nuage. Cela ne la dérangeait même plus d'être rêveuse et de ne songer à rien, c'était dans cet état d'esprit qu'elle s'aventura en ce lieu, où elle huma au passage divers arômes tous plus appréciables les uns et les autres. Elle se pencha pour sentir une fleur aux larges pétales, toute blanche. Elle la trouva à son goût et discrètement la coupa en prenant garde qu'il n'y ait personne dans les environs.

Elle se saisit d'un petit couteau suisse dont elle s'était servi pour peler une pomme ce matin même. D'un geste rapide, elle sécata la tige, puis elle entendit dans un endroit de la serre non éloigné de l'endroit de celui où elle se tenait :

Haaaaaaaa… Si seulement tous les jours je pouvais jouir du même état d’esprit se serait génial. J’espère que jamais rien ne viendra troubler cet havre de paix. Mais bon tout un prix et une duré limitée et crains que celui-ci soit élevé.

Elle observa depuis son poste tout en dissimulant dans son dos son larcin, elle voulait l'offrir à Red mais n'avait pas assez d'argent pour se permettre ce genre de surprise. Pour une fois qu'elle avait quelque chose de joli à donner, elle le garda derrière elle. Le garçon semblait être très occupé, Mia avait une envie folle de l'embêter dans sa tâche. Elle passa derrière de la végétation puis surgit derrière son dos :

- Je vois que les plantes sont pouponnées ici, dis donc !

Elle le dit assez fort pour provoquer chez lui de la surprise. Quand elle avait envie, elle aimait être une empêcheuse de tourner en rond. Dans le fond, cela lui manquait qu'on ne lui demande plus son aide, cela la vexait presque. Elle aurait espéré que son groupe se serait davantage manifesté... Pour la peine, c'était comme si elle se vengeait sur quelqu'un.

Kusari qui avait terminé son travail restait justement à l’admirer perdu dans ses pensées, pensée qui n’avait pas vraiment de consistance ou de point précis. En effet, Kusari avait simplement vidée son esprit en regardant les plantes, ce n’était en rien un talent c’était juste un effet secondaire de sa sérénité quelque peu profonde il faut l’avouer néanmoins au moment le moins attendu Kusari entendis une voix derrière lui.

Je vois que les plantes sont pouponnées ici, dis donc !

Kusari sursauta et mis sa main sur son cœur et expira un bon coup puis se retourna vers la jeune fille qui venait de lui apparaitre et c’est le cas de le dire. Il lui dit en la désignant du doigt sur un ton encore un peu surpris.

Nom de dieu, ce coup là tu me la fais une fois dans ta vie. Bon ceci étant dit, Par l’enfer qui es-tu, et a-t-on idée de filer ainsi des trouilles bleu aux gens ?

Kusari se demandais effectivement pour quelle trou de souris cette fille s’était invité dans la serre, enfin il faut dire que la serre n’était pas vraiment fermée et les personnes voulant devenir nouveaux membres pouvaient y entrer facilement, mais Avec sa surprise Kusari avait un peu oublié ce genre de détails.

La jeune semblait un peu au ange à la regarder, surement un bonne nouvelle ou une bonne chose venait de lui arriver quoi qu’il en soit elle semblait dissimule quelques choses dans son dos, ce qui interpella Kusari pourquoi lui cacher quelques chose comme cela, de plus comme une enfant de cinq ans qui aura commis une petit bêtise. Kusari réfléchit un moment pour en arrivé à la conclusion suivante dans ses pensées.

*Si elle me cache quelque chose s’est que je ne dois pas savoir et que ça doit être préjudiciable pour elle, d’un autre côté je ne la connais pas, du moins pas encore. Ce qui signifie qu’elle me le cache non pas parce que je suis moi, mais parce que je représente quelqu’un qui pourrait la gronder ou le lui reprocher. Ce qui signifie que vu que nous sommes dans une serres s’est quelle à du prendre une fleur sans permission *

Kusari finit par lui dire sur un ton sympathique.

Tu sais tu n’as pas besoin de la cacher tu peux l’avoir mais en échange tu ne me refais plus des surprise de ce genre d’accord ?

La fille regardait Kusari attentivement comme si elle essayait de le percer à jour. Elle finit par réagir à la dernière phrase de Kusari et répondit tranquillement.

« Ce que je fais me regarde. »

Kusari lui répondu sèchement comme un parent faisant la moral à son enfant.

« Si ce que tu fais entrave ou perturbe les actions des autres, alors ça ne regarde pas que toi. »

Un petit sermon sans vraiment vouloir faire culpabiliser la jeune fille ce qui semblait inutile selon Kusari la jeune fille ne semblait pas du genre à vouloir écouter les sermons, comme le faisait penser sa phrase « ce que je fais me regarde » belle preuve d’égoïste centrer sur soi. Mais comme Kusari n’avait nullement l’envie de se battre ou même de relever le niveau ou de l’abaisser il préféra laisser courir par la suite. Se retournant comme pour l’ignorer elle ré-ouvra les hostilités de plus belle en mentionnant que Kusari ne paraissait pas, à première vue, être un membre du club. Kusari retournant uniquement sa tête, pour marquer le peu d’intérêt qu’elle lui inspirait. Il dit d’une manière ironique.

« On me le dit souvent c’est sur qu’avec ma taille je passe difficilement pour être un jardinier, Mais bon, que veux-tu, je cherche juste la tranquillité Qui émane ici du moins tant que qu’il n’y a pas des comiques pour venir jouer des blagues. »

Kusari c’est ça de parler en japonais et ce mis à parler en français pour que la jeune fille ne comprenne pas ce qu’il disait.

« De toute façon, je ne vois pas pourquoi j’essaie de te l’ancrer dans le crâne. Tu vas m’écouter, me regarder gentiment et faire comme si je ne t’avais jamais rien dit. »

Kusari poussa un grand soupir d’exaspération. Et finit par regarder du coin de l’œil la jeune fille, attendant sa réaction. Il ne lui semblait pas qu’elle allait lui sauter dessus, mais comme avec l’espèce humaine faut s’attendre à tout, Kusari restait prudent.

La jeune fille semblait comprendre la phrase de Kusari mais semblait aussi avoir des difficultés à la traduire. Néanmoins, elle finit par dire une phrase.

« Il y a des gens surprenants... »

Kusari ne comprenait pas le sens des ses mots, rien ne lui paraissait incroyable ou surprenant. La jeune fille sortit un couteau, fit en sorte que Kusari le vit, elle coupa une fleur qui était défraichie avec rapidité. Elle lui jeta un regard amusé. Kusari trouvait qu’elle jouait avec lui en essayant de le faire craquer cela fit rigoler Kusari qui ne se cachait de le dire ce qu’il en pensait avec un sourire.

« hahahaha, non seulement tu es une vrai peste, mais tu te fous de ma gueule en plus hahahaha haaaaa… ta un sacré culot je dois te le reconnaitre. »

Kusari approcha son visage de l’oreille de la jeune fille et lui chuchotant toujours sur un ton amusé et souriant.

« Mais entre nous jouer à ce petit jeu là avec moi c’est risqué »

La jeune fille commença à se rappeler ce qui devait être des souvenirs douloureux, apparemment vu que Kusari semblait l’ignorer ou ne pas se soucier d’elle et cela semblait l’énervé. Kusari pouvait aisément le deviner même si son visage en restait soit inexpressif soit maquillé d’une émotion. En faite les yeux de la fille la trahissaient, on pouvait y lire une certaine détresse ou douleur. Mais quelle qu’en était la raison Kusari ne pouvait en faire que des suppositions.

Elle soupira de la même manière que Kusari comme pour marquer qu’elle jouait encore avec lui et cette fois elle s’adressa à lui, de manière surprenante.

« Je voyais que tu coupais bien tes… arbres, c'est pour cela que je me suis demandée si tu ne faisais pas des arts martiaux. »

Du français, Kusari était surpris, mais vu avec qu’elle hésitation, elle cherchait certains de ces mots, pas difficile de voir qu’elle n’était pas vraiment bilingue du moins en français.

« Je vois que tu as certains principes bien solides, mais sache que j'en ai également... »

Cette fois elle lui causait en anglais et cette plus distinctement Kusari avait un anglais moyen pas vraiment poussé mais assez pour comprendre ou du moins deviner certains mots elle termina sans surprise en japonais.

« Moi, je trouve que tu es plutôt bon en jardinage... mais... je refuse d'entendre l'excuse d'être petit ! »

Kusari répondit de manière ironique avec une touche de faux intérêt.

« Wouaaaah, c’est ce que je dirais si j’étais impressionné, Ho pardon tu voulais peut être que je t’applaudisse en faisant tes éloges attends je m’y emplois de suite. »

Kusari commença à frapper dans les mains de manière presque félicitant et dit

« Incroyable, tu sais parler trois langues mon dieu tu es un vrai génie. »

Kusari la regarda avec un air de sarcasme et lui dit en lui faisant la révérence.

« Cela te convient ou je dois carrément me jeter à tes pieds. »

Kusari reprit une pose normale et lui dit avec un air interrogatif bien sincère.

« En quoi l’excuse d’être petit à un rapport avec le faite d’être bon en jardinage, sauf peut être si on est si petit qu’on n'atteint pas le haut de la table de travail. »

(HRP * il y a des gens surprenants* c'était une pensée, tu n'étais pas censé l'entendre, mais c'est pas grave vu que ça change pas grand chose par la suite. Je vois qu'entre nos persos c'est l'amour fou XD)

« hahahaha, non seulement tu es une vrai peste, mais tu te fous de ma gueule en plus hahahaha haaaaa… ta un sacré culot je dois te le reconnaitre. »

Mia le regarda farouchement, elle avait ôté une partie de son masque comme si ce rire la surprenait tellement qu'elle ne pouvait plus le garder. Elle le laissa s'approcher d'elle et lui murmurer à l'oreille qu'elle risquait beaucoup à jouer avec lui. Le regard qu'elle lui envoya n'était plus fade au contraire, il se teintait progressivement d'une certaine colère. Elle sentait que bientôt elle perdrait le calme de sa voix et qu'à partir de ce moment, elle ne pourrait plus se contrôler. Hâtivement, elle se concentra de nouveau et arrêta de froncer les sourcils.

« Wouaaaah, c’est ce que je dirais si j’étais impressionné, Ho pardon tu voulais peut être que je t’applaudisse en faisant tes éloges attends je m’y emplois de suite. »

Elle pensa alors qu'elle n'exigea rien de la sorte venant de lui. Ses applaudissements la crispèrent, elle joua encore avec son couteau puis se résolut à le ranger. Elle avait toujours besoin de se décharger sur un objet, comme substitut elle s'adossa à une bordure et agita une mèche nerveusement en prenant de la distance par rapport à ce jeune homme.

« Cela te convient ou je dois carrément me jeter à tes pieds. »

Elle serra son poing gauche, puis le détendit à nouveau. C'était à peine visible elle essayait de cacher ses pertes de contrôle qu'elle jugeait comme une preuve visible de sa faiblessse. S'il continuait de la chercher, elle n'hésiterait pas et lui sauterait dessus. Elle savait se défendre et ceux qu'elle jugeait comme des petits présomptieux pouvaient vite fait avoir une bataille. Elle ne les remportait pas toutes, mais elle ne supportait pas qu'on la piétine ainsi.

En quoi l’excuse d’être petit à un rapport avec le faite d’être bon en jardinage, sauf peut être si on est si petit qu’on n'atteint pas le haut de la table de travail. »

- C'est bon? ... Tu as fini ou faut il que je complète ?

Elle était satisfaite de connaître ce qu'elle pensait être l'identité du jeune homme, mais à présent elle savait que si elle sentait à nouveau une offense, elle libérerait sa rage contre lui. Quitte à être convoquée, elle n'en avait que faire. Après tout ce n'était pas elle qui avait décidé d'être ici... même so ces pas l'avaient conduit devant lui...

- Tu ne devrais pas me sous estimer toi non plus...

Elle disait cette phrase d'un ton détaché comme si elle faisait moins attention à lui, en fait il n'en était rien... elle le fixait de manière rigide prête à intervenir...

« Wouaaaah, c’est ce que je dirais si j’étais impressionné, Ho pardon tu voulais peut être que je t’applaudisse en faisant tes éloges attends je m’y emplois de suite. »

je m'etais rendu au jardin d,hiver et je vus mia avec une autres personne et le personne avait l'air de l'insulter je me forcais pour pas aller lui donner le lecons de sa vie

« Cela te convient ou je dois carrément me jeter à tes pieds. »

il veut vraiment mourir jeune lui alors

En quoi l’excuse d’être petit à un rapport avec le faite d’être bon en jardinage, sauf peut être si on est si petit qu’on n'atteint pas le haut de la table de travail. »

non mais il est con ou quoi lui

- C'est bon? ... Tu as fini ou faut il que je complète ?Tu ne devrais pas me sous estimer toi non plus...

ses a se moment que je decida d'intervenir

-est toi le con tu insulte encore un fois mia et tu vas avoir faire a moi compris , dit-je avec une air mennacent

*Hrp Désolé pour le la pensé de ton perso j’ai cru que c’était un dialogue je n’avais pas vu les astéries au devant et à la fin de la phrase Hrp*

« C'est bon? ... Tu as fini ou faut il que je complète ? Tu ne devrais pas me sous estimer toi non plus... »

« Est toi le con tu insulte encore une fois Mia et tu vas avoir faire a moi compris »

Kusari se demanda qui était la personne qui venait de débarquer comme cela à l’improviste, mais à voir comment il défendait la jeune fille la réponse était claire. Kusari souleva le sujet.

« Génial le soupirant vient d’débarquer, Haaaaaaaaa, parfois je me demande si le destin ne se fout pas lui aussi de ma gueule. »

Ce genre de pensé dite à voix haut était fréquent chez Kusari étant donné que dire la vérité toute crue même si elle peu faire mal était son credo. Enfin il regarda la jeune fille et lui dit sur un ton ironique.

« Je ne te sous-estime en rien mais tout aussi impressionnant ton contrôle de toi est surprenant, je ne me sens pas plus apeuré par tes menaces et encore moins par celle de ton Roméo. »

Kusari se dirigea vers une table ou se trouvait un étui renfermant son boken, il l’effleura lentement comme une caresse avec une sorte de sourire de défiance regardant intensément les deux tourtereaux, il leur dit dans un rictus presque sarcastique voir moqueur.

« Je ne suis pas du genre à attaquer les gens juste parce que je suis énervé ou juste parce qu’il se montre pédant et sans respect, ce qui ne semble pas être le votre cas s’enflammer pour rien, ne conduit qu’a une défaite. »

Kusari continua sa phrase cette fois-ci sa voix et son ton était devenu subitement plus sec et cassant comme une mise en garde.

« Mais donnez-moi une raison juste une seul, et je vous donnerai un avant gout de ce qu’on appel l’enfer je peux vous l’assurer. Même si je dois m’en prendre plein la gueule surtout à deux contre un. Mais l’un de vous morflera. »

Kusari termina par un regard transperçant et intimidant mais est-ce que cela fonctionnerais sur c’est deux là. Kusari ne pouvait pas le dire même s’il se trouvait juste devant son arme, un simple sabre de bois, peut s’avérer une arme dangereuse dans les bonnes mains.

- Génial le soupirant vient d’débarquer, Haaaaaaaaa, parfois je me demande si le destin ne se fout pas lui aussi de ma gueule.

** Et moi je me demande si le destin se fout pas de la mienne aussi, on est deux...**

Avec le même ton que Mia continuait de trouver supéieur, elle se sentait toiser, peut-être aussi parce qu'il avait un fort caractère tout comme elle...

« Je ne te sous-estime en rien mais tout aussi impressionnant ton contrôle de toi est surprenant, je ne me sens pas plus apeuré par tes menaces et encore moins par celle de ton Roméo. »

** vas y, cause, cause fais le paon tant que tu peux**

Il s'était avancé vers un étui, sans doute qu'il contenait quelque chose pour se défendre. Mia se tenait prête à foncer sur lui, maintenant qu'elle l'avait bien analysé selon elle, elle était prête à déverser sa rage...

« Je ne suis pas du genre à attaquer les gens juste parce que je suis énervé ou juste parce qu’il se montre pédant et sans respect, ce qui ne semble pas être le votre cas s’enflammer pour rien, ne conduit qu’a une défaite. »

- "Pédant et sans respect, c'est un portrait de toi que tu dresses, si c'est le cas je suis d'accord, entièrement même d'accord..."

« Mais donnez-moi une raison juste une seul, et je vous donnerai un avant gout de ce qu’on appel l’enfer je peux vous l’assurer. Même si je dois m’en prendre plein la gueule surtout à deux contre un. Mais l’un de vous morflera. »

- Mais pépère si on doit en venir aux mains ça sera à la loyale, si tu le prends comme ça, c'est même moi qui commencerai ! Peut-être que vu ta logique, t'es du genre à te mettre à plusieurs pour faire la peau à quelqu'un quoi que toi tout seul c'est déjà bien assez...

Il la regarda pour l'intimider, elle lui renvoya un regard noir. Ses yeux orangés prenaient alors un aspect nettement moins chaleureux. Elle fit un signe de remerciement à Redhair pour lui faire comprendre qu'elle était heureuse qu'il soit là mais qu'elle tenait tout d'abord à lui montrer tout d'abord ce qu'elle savait faire. Il l'avait trop cherché... Elle chucotta à l'oreille de Redhair que s'il voyait qu'elle allait mal, elle l'autorisait à venger son honneur, mais que là ça avait franchement dépassé les bornes...

- En fait, dit en en s'adressant au sabreur, je crois que toi, tu es un beau parleur, enfin on peut faire ça maintenant si tu veux. Moi, j'ai pas besoin de bâton pour me défendre...

Mia avait une certaine fierté, fierté qu'elle avait acquise pendant plusieurs années difficilement, dès qu'on touchait à sa petite estime d'elle même, elle grattait le sol et n'hésitait pas à sortir les dents. Peut-être que c'était par cette attitude provocatrice qu'elle se différenciait réellement de sa soeur. Mais elle en était fière quelque part, elle savait défendre son honneur même si cela se soldait par une défaite, pour elle l'essentiel était de frelever les défis qu'importaient les obstacles qui se dressaient sur sa route. Pour la faire sortir de ses gonds, il fallait la contrarier fortement, ce qui s'était passé dans ces jardins. Elle reprenait alors l'attitude de sauvageonne qu'elle avait au collège.

- Red et moi, ce regard-là c'est pas ça qui nous fait frissonner...

« Génial le soupirant vient d’débarquer, Haaaaaaaaa, parfois je me demande si le destin ne se fout pas lui aussi de ma gueule. »

non mais ses toi qui se fout de ma guele

« Je ne suis pas du genre à attaquer les gens juste parce que je suis énervé ou juste parce qu’il se montre pédant et sans respect, ce qui ne semble pas être le votre cas s’enflammer pour rien, ne conduit qu’a une défaite. »

hum tres bonne facon de penser vraiment mais moi je me bat que pour proteger mia

« Mais donnez-moi une raison juste une seul, et je vous donnerai un avant gout de ce qu’on appel l’enfer je peux vous l’assurer. Même si je dois m’en prendre plein la gueule surtout à deux contre un. Mais l’un de vous morflera. »

pretentieux en plus il vas voir de quoi je suis capable

- Mais pépère si on doit en venir aux mains ça sera à la loyale, si tu le prends comme ça, c'est même moi qui commencerai ! Peut-être que vu ta logique, t'es du genre à te mettre à plusieurs pour faire la peau à quelqu'un quoi que toi tout seul c'est déjà bien assez...

mia s'emporte elle ne comeceras pas se combats car je le comencerai et je le gagnerais

- En fait, dit en en s'adressant au sabreur, je crois que toi, tu es un beau parleur, enfin on peut faire ça maintenant si tu veux. Moi, j'ai pas besoin de bâton pour me défendre...

hum un baton je n'avais pas remarquer mais ses un boken je vais lui montrer comment en utilisser un moi

- Red et moi, ce regard-là c'est pas ça qui nous fait frissonner...

- mia calme toi sil te plait je voudrais mentretenir avec se jeune homme , il se tourna vers le jeune , a se que je voie tu fait du kendo sa tombe bien moi aussi mais moi je suis capable de me batre avec nimporte quoi sa passe de mes poing a un mur mais bon en vus que tu est un charmant jeune homme je vais juste prendre le balais qui est la bas , j'alla chercher le balais , bon maintenant mia recule toi ses moi qui commence avec lui , je regarda comme je l'apelais le jeune homme avec un air de defie, alors que le sang coule que par ton manque de talent cher ami

depuis la mort de mon pere je ne fait que me batre je vais prouver a tout le monde que je ne suis pas faible moi

« Mais pépère si on doit en venir aux mains ça sera à la loyale, si tu le prends comme ça, c'est même moi qui commencerai ! Peut-être que vu ta logique, t'es du genre à te mettre à plusieurs pour faire la peau à quelqu'un quoi que toi tout seul c'est déjà bien assez... »

Kusari reprit son ton ironique et dans un ricanement il répondit à la provocation de la jeune fille.

« C’est exact, je suis aussi lâche qu'efficace, quand vous aurez grandi vous comprendrez peut être l’art de la stratégie en attendant je n’attends pas grand-chose de vous deux. »

Kusari était du genre à allez jusqu’aux bout lorsqu’il faisait quelques choses ayant un rapport avec un combat ou ce qui s’en rapprochait.

« En fait, je crois que toi, tu es un beau parleur, enfin on peut faire ça maintenant si tu veux. Moi, j'ai pas besoin de bâton pour me défendre... »

« Un bâton ? Ce n’est ni un bâton ni un boken ni un sabre. C’est juste un prolongement de moi-même tu serais manier une arme tu le saurais.»

Elle continua après le regard intimidant de Kusari qui n’avait pas réussit à atteindre l’effet escompté s’était même l’inverse.

« Red et moi, ce regard-là s'est pas ça qui nous fait frissonner... »

« Mia calme toi sil te plait je voudrais m’entretenir avec se jeune homme, il se tourna vers le jeune, a ce que je vois tu fais du kendo ça tombe bien, moi aussi mais moi je suis capable de me battre avec n’importe quoi ça passe de mes poings à un mur. Mais bon en vus que tu es un charmant jeune homme je vais juste prendre le balais qui est la bas, bon maintenant Mia recule toi s’est moi qui commence avec lui, alors que le sang coule que par ton manque de talent cher ami. »

Le jeune garçon avait prit un simple balai comme arme ce n’était pas une insulte à proprement parler car même l’objet le plus anodin peu être une arme mortelle Kusari en avait fait l’expérience plus d’une fois. Ce qui mettait un peu hors de lui Kusari c’était les paroles de Red telle était son nom apparemment. Kusari sortit son boken lentement de son étui comme si l’on retirait délicatement une main d’un gant.

« Une arme à une âme, quelles qu’elles soient sa nature. Prétendre pouvoir toutes les manier est une insulte envers elles et tous leurs manieurs. Il faut une vie entière pour apprendre à en manier ne serait-ce qu’une seule car il est impossible de savoir la manier complètement, car nous sommes capable de toujours repousser plus ce que nous apprenons. Alors quand quelqu’un comme toi à la prétention de croire qu’il peut me battre juste parce qu’il s’est agité un balai en appelant ça du maniement. Hinhinhin ça me fait penser que le concierge de l’école doit lui aussi être un grand expert. »

Kusari ayant sortit son boken le pointa vers Red. Avec non pas un air de défiance mais un air de détermination. Se positionnant, il s’adressa aux deux avec une voix sympathique.

« Mais je manque à tous mes devoirs de civilité et de gentlemen, vu que je connais vos prénoms il est de bonne guerre et de grande politesse que vous sachez le mien. Je m’appelle Kusari. »

Kusari termina avec une moquerie de son grand cru.

« Et au cas où vous me le demanderez dans une vos menaces de écolier. Sur ma tombe je veux inscrit ‘’ Si vi pacem para bellum’’. Je veux un cercueil en chêne pas sapin quitte à mourir autant que se soit dans le luxe et il doit être capitonné. Et au cas où j’ai déjà numéroté mes abatis. »

« Une arme à une âme, quelles qu’elles soient sa nature. Prétendre pouvoir toutes les manier est une insulte envers elles et tous leurs manieurs. Il faut une vie entière pour apprendre à en manier ne serait-ce qu’une seule car il est impossible de savoir la manier complètement, car nous sommes capable de toujours repousser plus ce que nous apprenons. Alors quand quelqu’un comme toi à la prétention de croire qu’il peut me battre juste parce qu’il s’est agité un balai en appelant ça du maniement. Hinhinhin ça me fait penser que le concierge de l’école doit lui aussi être un grand expert. »

il pointa son boken sur moi, il se positiona pour se batres

« Mais je manque à tous mes devoirs de civilité et de gentlemen, vu que je connais vos prénoms il est de bonne guerre et de grande politesse que vous sachez le mien. Je m’appelle Kusari. Et au cas où vous me le demanderez dans une vos menaces de écolier. Sur ma tombe je veux inscrit ‘’ Si vi pacem para bellum’’. Je veux un cercueil en chêne pas sapin quitte à mourir autant que se soit dans le luxe et il doit être capitonné. Et au cas où j’ai déjà numéroté mes abatis»

- tu dois savoir kurasari que tes moqueries ne me faient ni chaud ni froid alors arête de te vanter un peu et pour mon simple plaisirs j'aimerais que tu me dises ce que tu as appris comme philosophie a ton ecole de kenpo

**Alors il s'appelait Kusari ce jeune homme que j'avais déjà eu l'occasion de voir... **

Mia s'écarta avec regret et inquiétude; elle avait peur pour Red et regardait Kusari comme s'il allait dire encore quelque chose d'insupportable. Elle s'assit sur un banc sans pour autant trop s'éloigner des deux jeunes hommes. Elle était exactement sur un banc situé entre eux deux et les regardait sans oser dire quoi que ce soit. Dans sa tete, elle s'imaginait luttant contre Kusari, son regard s'était perdu dans un univers où elle s'était temporairement exilée. Elle gardait néanmoins une profonde attention sur ce qui allait se passer.

Elle réfléchit au fait que bien qu'elle n'ait pas employé un ton colérique, sa colère s'était retrouvée dans chaque mot... Ce détail la dérangeait car elle n'aimait pas être trop expressive avec les personne autre que ses proches. Elle inspira doucement et se calma tandis que les deux hommes se regardaient en peu en chiens de faience...

** S'il arrive quelque chose à Red, je m'interposerai. Quand il est là, je me sens protégée à moi de lui faire ressentir ce sentiment si besoin est***

Ses mains serraient son genou en repensant à tout ce qu'elkle avait ressenti à l'instant.

« Tu dois savoir Kusari que tes moqueries ne me font ni chaud ni froid, alors arête de te vanter un peu et pour mon simple plaisirs j'aimerais que tu me dises ce que tu as appris comme philosophie a ton école de kendo. »

Kusari se mit à rire aux éclats, ce que venait de dire Red l’amusait énormément. Il lui répondit à sa question sans pour autant se ravoir.

« Une école… hahahaha… Une école, je n’ai jamais appris à manier dans aucune école hahahaha… »

Kusari finit par s’arrêté de rire et continua sa phrase sur un ton amusé comme si l’ironie même de la chose était délicieusement étrange.

« Je n’ai pas appris dans une école et mon grand-père ne m’a pas enseigné le kendo »

Kusari savait mieux que quiconque que ce qu’il disait était en parfait désaccord il continua cette fois-ci en laçant un regard concentré sur Red.

« Mon grand-père m’enseigné à tenir et manier une lame »

Les yeux de Kusari brulaient d’un esprit combatif. Toutefois il fut légèrement interloquer par la réaction de Mia, qui alla s’assoir sur un banc l’air contrarié, elle aurait sans doute voulu affronter Kusari surtout vu comment elle s’était énervé à son contact, à vrai don que Kusari avait et était passé maitre dans l’art.

Une école… hahahaha… Une école, je n’ai jamais appris à manier dans aucune école hahahaha… »

il riait s'il na pas été a une école de kendo alors il doit vraiment être un fou pour affronter quelqu'un en duel

« Je n’ai pas appris dans une école et mon grand-père ne m’a pas enseigné le kendo »

il n'a pas apprit le kendo c'est vraiment bizarre sa

« Mon grand-père m’enseigné à tenir et manier une lame »

- alors tu n'a apprit que le maniement d'une lame se qui fait que tu ne connait pas les philosophie qui vas avec la lame elle même. sans la philosophie d'une lame tu ne peut pas la manier a son plein potentielle moi c'est se que j'ai apprit, ceci s'appelle la voie de la lame , et je respect cette enseignement kusari .

Mia écouta ce que disait Kusari, son grand-père l'avait initié à son art du combat. Il s'agissait donc d'une technique familiale, d'un côté Mia avait hâte de le voir à l'oeuvre mais craignait que Red ne se trouve dépassé. Non, elle ne voulait pas douter de lui, il ne fallait pas que cela se voit alors elle baissa la tête comme si elle réfléchissait en continuant de serrer fermement ses mains. Elle s'abstenait de tout commentaire qui pouvait se retourner contre elle; l'heure était à l'observation.

Elle, elle avait suivi des cours d'arts martiaux, plutôt sans arme, seulement à l'aide de ses poings. Ses cours de danse lui conférait une grande souplesse pour ses mouvements, ce qui faisait qu'elle n'avait été retenue pour aucune compétition était qu'elle était trop petite selon son professeur et que sa mère soutenue par sa soeur s'opposaient. Son père l'avait menacé de la mettre dehors s'il lui venait l'idée de combattre devant de nombreuses personnes... Elle ne voulait pas forcément combattre des caids mais aimer beaucoup apprendre. L'ironie, les moqueries du jeune homme agaçait Mia... S'il avait appris la philosophie de son art, peut-être serait-il moins arrogant songeait elle. Elle était loin d'être parfaite, elle le savait mais ce jeune homme l'avait vraiment mis hors d'elle... Dans l'affaire, elle avait laissé tomber sa fleur, elle la chercha des yeux, elle fit des petits mouvements discrets pour tenter de la localiser.

Elle recroisa le regard déterminé de Kusari, elle sentait qu'il avait perçu à jour sa frustration mais ce n'était pas très important. Au contraire tant mieux comme ça il ne sera pas surpris si elle se venge un jour... Mia ignorait complètement la philosophie du kendo, elle éprouvait une certaine admiration et posa un regard le plus confiant qu'elle put sur Redhair bien qu'elle doutait un peu d'elle.

** Vas y Red, mais sois prudent. Si tu savais comme je t'aime. Je t'en prie, fais attention.**

« Alors tu n'as appris que le maniement d'une lame, ce qui fait que tu ne connais pas les philosophies qui vas avec la lame elle même. Sans la philosophie d'une lame tu ne peux pas la manier a son plein potentielle moi c'est se que j'ai apprit, ceci s'appelle la voie de la lame, et je respect cette enseignement Kusari. »

Fronça les sourcils il ne comprenait pas bien ce que Red entendais par ‘’philosophie’’ en somme Kusari lui avait une autre approche du maniement du sabre et il le fit comprendre à red de cette manière.

« Une philosophie ? La voie de la lame ? Laisse moi rire, c’est à peine si tu comprends vraiment ce que signifie manier une lame. Tu vois entre s’amuser à respecter les courtoisies sportives qui sont présente dans le kendo on en oublie bien vite ce qu’est la vérité les armes n’ont pas été inventé pour faire joli. J’ai appris à utiliser une arme comme si elle était moi. Pour vous, vous me voyez comme étant armé mais pour moi ce boken à autant d’importance et d’utilité qu’un des mes bras. »

Kusari s’arrêta un instant puis reparti il venait simplement de jeter un regard vers Mia pour voir ce qu’elle, Il nota seulement qu’elle n’agissait quand spectateur. Il reprit en disant à Red.

« Tu t’égares pour rien car la base même de la philosophie c’est de se poser des questions dont la réponse ne peuvent être donnée que par des questions elles-mêmes ne pouvant être répondue que par des questions du même types. En quoi une philosophie au kendo serait bénéfique, se poser des questions sans fin ne prouve qu’une chose ce que tu n’en saisi pas encore le sens profond. »

Kusari inspira et soupira une bonne fois comme pour marquer la désagréable révélation qu’il venait de découvrir au sujet de son adversaire. Il termina même sur un ton résigné.

« Mais bon si cette croyance t’aveugle assez pour te donner le courage de me défier hé bien soit. Je n’ai rien contre les suicidaires mais ça ne fait pas d’eux des héros et encore moins des personnes ‘’cool’’. Allez viens Red, viens me montrer ce que tu appelles la philosophie du kendo, j’ai hâte de voir cela. »

Kusari attendait maintenant la venue de Red. Mais seule le destin pourrait bous dirent ce qu’il en ressortira.

« Une philosophie ? La voie de la lame ? Laisse moi rire, c’est à peine si tu comprends vraiment ce que signifie manier une lame. Tu vois entre s’amuser à respecter les courtoisies sportives qui sont présente dans le kendo on en oublie bien vite ce qu’est la vérité les armes n’ont pas été inventé pour faire joli. J’ai appris à utiliser une arme comme si elle était moi. Pour vous, vous me voyez comme étant armé mais pour moi ce boken à autant d’importance et d’utilité qu’un des mes bras. »

son grand-pere la bien eduquer sur se sujet a se que je vois

« Tu t’égares pour rien car la base même de la philosophie c’est de se poser des questions dont la réponse ne peuvent être donnée que par des questions elles-mêmes ne pouvant être répondue que par des questions du même types. En quoi une philosophie au kendo serait bénéfique, se poser des questions sans fin ne prouve qu’une chose ce que tu n’en saisi pas encore le sens profond. »

hum j'admets qu'il a rasion mais la philosophie n'est pas que sa la philosophie est aussi la manièere le plus simple d'aprendre


« Mais bon si cette croyance t’aveugle assez pour te donner le courage de me défier hé bien soit. Je n’ai rien contre les suicidaires mais ça ne fait pas d’eux des héros et encore moins des personnes ‘’cool’’. Allez viens Red, viens me montrer ce que tu appelles la philosophie du kendo, j’ai hâte de voir cela. »

- j'en est asser entandu pour aujaurdh'ui tu n'est pas un advsaire digne que je leve aucun obket contre toi et sourtout pas mon bôken sur se je te laisse sur tes délires de lame

je partit chercher mia sur le petit banc et laissa tomber le balais doucement au sol je m'en allais mais je me retourna la tête doucement pour lui dire

- tu as raison la lame fait partit de toi. une lame est l'extension de ton bras qu,il faut aprendre a manier avec douceur sur se je te laisse cher kusari

je prit la main a mia et partit doucement en esperant que se jeune insouciant aprenne des chose sur l'esprit des lame et non juste combatre avec une lame

Mia dont les yeux naviguaient à présent tour à tour entre les deux hommes essayait de comprendre comment elle pourrait se venger... Quand Redhair finit par lui prendre la main doucement, elle se laissa guider comme elle l'avait toujours fait mais continuait de jeter un regard lourd de signification à Kusari. Elle n'allait pas l'attaquer frontalement, il lui répondrait du tac au tac, mais vu les circonstances... Elle ne dit rien, fit un sourire, soulagée que Red ne soit pas battu mais également déçue de ne pas avoir réglé ses comptes avec ce Kusari... Juste pour savoir si c'était juste du bluff, elle aimerait bien le défier pour un duel amical, pour savoir ce qu'il valait tout de même par curiosité et aussi par vengeance...

- D'accord Red, on y va. Sinon, je me rends tous les mercredis à mon club pour m'entraîner si cela te dit d'y aller Kusari...

Sa voix n'avait rien de sec, mais elle voulait le tester sur le tatamis. Cela ne servait à rien de le défier maintenant, elle en était arrivé à cette conclusion, car elle se sentait étrange depuis un moment; trop de choses la travaillaient. Elle risquait de ne pas maîtriser ses prises et de mal riposter; ce ne serait pas un beau combat... Elle se tourna vers Redhair, elle aimerait bien continuer cette discussion à propos des arts martiaux, plus tard il semblait en savoir long sur le sujet.

« J'en ai assez entendu pour aujourd’hui tu n'es pas un adversaire digne que je lève aucun objet contre toi et surtout pas mon boken sur se je te laisse sur tes délires de lame. »

Il partit chercher Mia sur le petit banc et laissa tomber le balai doucement au sol. Alors qu’il s’en alla il se retourna doucement vers Kusari pour lui dire.

« Tu as raison la lame fait partit de toi. Une lame est l'extension de ton bras qu’il faut apprendre à manier avec douceur sur ce je te laisse cher Kusari. »

Ce fut alors au tour de Mia de s’exprimer elle qui avait depuis le commencement de la querelle entre Red et Kusari. Elle s’exprima d’abord à Red puis Kusari avec une information pour le moins surprenante.

« D'accord Red, on y va. Sinon, je me rends tous les mercredis à mon club pour m'entraîner si cela te dit d'y aller Kusari... »

Surprenant en effet, Mia invitait Kusari à l’affronter ouvertement, Mais il n’était pas dupe il se doutait fortement que ce genre d’invitation avait plus d’air de défiance qu’autre chose ainsi elle voulait voir et juger par elle-même ce que Kusari valait. Kusari lui répondit sur un ton calme sans la moindre once de colère, il était redevenu zen en voyant qu’aucun des deux n’allait l’affronter.

« Nous verrons,… J’en prends bonne note. »

Kusari n’était certes pas un franc partisan du combat mais il ne se débinait pas pour autant. À l’occasion Kusari serait ardemment répondre à ce duel, mais pour le moment ce n’était ni l’endroit, ni le bon moment pour le faire. Kusari les regarda partir main dans la main, lorsqu’il fut partit et qu’il resta tout seule il remballa les outils et les replaça dans l’armoire du club puis reprenant son boken et le replaçant dans son étui il sorti de la serre, pour aller chercher un endroit au calme. En chemin il pensa à voix haute.

« Geez… Je me demande si je ne devrais pas prendre des stages de relation sociale, en une journée je viens de m’attirer les foudres des deux tourtereaux. Je suis soit maudit, soit douer pour ça enfin qui vivra verra come dit le proverbe. »

Kusari s’engouffra dans la cour de l’école et s’éloigna peu à peu de la serre.