VOTRE PERSO:
Nom: Ichuu
Prénom: Yasaruka
Surnom (facultatif): Mugoi qui signifie : Inhumain, cruel, impitoyable, etc.
Age: 19 ans
Nationalité: Japonaise
Orientation Sexuelle: Hétéro
Groupe: Neutre si possible sinon Kuragari
Physique (minimum 5 lignes): Jeune homme de taille moyenne, ne présente aux premiers abords rien de bien spécial mais si on prend le temps de regarder de plus près on remarquera qu’il ne sourit jamais, enfaite pour être plus précis. Son visage sembler figer dans une espèce de moue légèrement dépressive peu importe la situation un peu comme si tout ce qui l’entourait manquait cruellement d’intérêt. Maintenant que ceci est fait attaquons-nous au physique plus en profondeur. Commençons avec ses cheveux et descendons petit à petit, ceux-ci sont de couleur bleu aux reflets verts, de longueur semi-longue lui atteignant un peu plus haut que les épaules, il porte cette coupe depuis toujours et vous n’êtes pas près de la voir changer. Sur les côtés se cache, carrément, deux petites oreilles tout mignonne de forme arrondie pourvu de lobe d’oreille plus petit qu’habituellement, Entre les deux, se trouve de magnifiques sourcils fins de la même couleur que ses cheveux, ceux-ci supporte deux yeux d’un froid intense voir dérangeant pour les plus faibles, ses yeux d’un vert tirant sur le bleu en ont pétrifié plus d’un, transpercé l’âme de ses ennemis (pas au sens littéral), etc. Vous comprendrez, à moins d’avoir des nerfs d’acier et encore si vous croisez ce regard c’est la fin de votre santé mentale telle qu’elle l’était avant cette rencontre (c’est un peu tiré par les cheveux ne vous inquiétez pas je le sais, c’est juste pour illustre la froideur de ses yeux). Ses aiguilles sont d’ailleurs surmontées par une paire de lunettes de forme carrée légèrement arrondie de couleur noir. Juste en bas des yeux se trouve le support aux lunettes et son moyen de subsistance, son nez. Celui-ci de taille moyen et d’une finesse à en faire envier les gens en quête de la perfection corporelle. Nous voilà maintenant à ses terribles lèvres, d’une immobilité sans nom, le seul moment où celles-ci bouge c’est quand il parle autrement, figé comme de la pierre. Ce petit mur de pierre est pourvu de deux lèvre assez petites, très fines mais au combien douce bien que pas grand monde en est profiter. Vient maintenant au tour du tronc, frêle, petit pourvu de bras maigres mais effilés qui sont eux, affublé de deux mains aux doigts longs, effilés d’une rapidité et d’une précision rappelant celle des aiguilles. Ils déplacent ses bras et surtout ses doigts à une rapidité si étonnante qu’il a le temps de te paralyser, te voler ton portefeuille, et de t’arracher les yeux pour te les faire avaler et ce même avant que vous n’ayez pu comprendre ce qui se passait. Suit à ce tronc merveilleusement bien pensé, une paire de jambes encore une fois longues et minces, rappelant encore et comme toujours la forme des aiguilles. Tout aussi rapide avec ses jambes qu’avec ses bras, il peut vous assener une dizaine de coup de pied avant même que tu n’es le temps de réagir. Il reste ses pieds bon bah puisqu’il le faut. Il est supporté par deux pieds d’une minceur incroyable, on s’étonne de constater qu’il n’a jamais eu les pieds fracturé, chose étonnant, ils ont l’air si fragile. Voila ce qui conclut la partie de la description physique.
Caractère (minimum 5 lignes): Son surnom est tout indiqué pour décrire le caractère de ce tortueux personnage d’un calme dépressif. Celui-ci est d’une cruauté sans pareille n’hésitant pas à faire subir à ses victimes les pires châtiments aussi bien pour obtenir une information que pour son plaisir personnel. Même si sa cible le supplie à genou d’arrêter, il n’arrêtera pas, preuve qu’il est impitoyable. Chacun de ses gestes lorsqu’il se bat sont empreints d’une violence sans égal, chacun de ses coups sont brutaux et ont pour but d’infligé une douleur atroce à l’endroit visé par l’attaque. Avouez qu’il semble inhumain, que juste avec ce que vous savez vous ne voudriez pas avoir à faire à lui mais ne vous inquiétez pas. Il possède aussi des qualités plus secrètes cependant mais elles sont bien présentes. Il est étonnamment doté d’un romantisme exceptionnel jumelé à un don d’écrivain et d’un amour de la poésie. Un trio fait pour faire craquer les filles me direz-vous. Il aime aussi bine évidemment la lecture tout particulièrement la lecture psychologique et la poésie romantique, étant celle dont il se sert le plus. Il possède aussi un une patience, un calme et une sagesse à toute épreuve, pas une fois encore l’un des trois l’a lâchés, il a jusqu’à maintenant pris toutes ses décisions de façon juste et posé. Tout ça combiné à son intelligence hors du commun en fait un être à part entière unique au monde. C’est d’ailleurs cette dernière caractéristique qui vient clore le sujet.
Histoire (minimum 10 lignes): (Écris à la première personne, j’adore écrire à la première mais je ferai autrement pour les RP sauf si je peux écrire à la première) :
Dès mon premier respire, mes parents, ils me le confièrent sur leur lit de mort, avaient sentis que j’allais avoir une vie difficile et en effet ils ne s’étaient pas tromper. Bon rien d’alarmant pour le début, j’ai eu la chance de vivre mes dix premières années de vie sans aucun problèmes, pour ainsi dure ce fût mes dix plus belles années de vie car juste après mon dixième anniversaire un évènement tragique vint troubler la vie paisible que je menais, la mort de mes parents… Ceci s’est passés deux jours après mon anniversaire, je venais de me lever, étais allés me doucher et m’apprêtais à descendre les escaliers quand soudain je réalisai que j’avais oublié mon sac à dos, donc je remontai dans ma chambre, le pris et repris le chemin de la cuisine quand soudainement, j’entendis un bruit de coup de feu suivit d’un hurlement de douleur qui perça mes tippant encore fragile de gamin. Je m’apprêtais à descendre quand j’entendis mon père me gueuler de retourner dans ma chambre et de barrer la porte en attendant qu’il vienne me cherche. Je m’exécutai et retournai dans ma chambre. Je collai mon oreille à ma porte afin d’entendre ce qui se passait en bas. Ce que j’entendis me terrifia. Un inconnu hurlait qu’il allait tuer ma mère si mon père s’obstinait à payer ce qu’il devait au « Boss » comme il l’appelait. L’interpellé refusa et chargea en direction de l’inconnu, du moins c’est ce que je crois au vu de ce que j’ai entendu et si c’était bien le cas, il ne se rendit jamais à destination. Un coup de feu retentit dans la maison et une masse plutôt lourde s’écroula au sol dans un vacarme sans nom puisque je l’ai entendu. Peu après j’entendis un dernier coup de feu, pour achever un de mes parents je suppose. J’entendis des bruits de pas puis un porte s’ouvra et se ferma puis plus rien… Aucun bruit, rien. C’est donc l’esprit terrifié que j’entamai la descente vers la cuisine. Ce que j’y découvrir me fit perdre tout expression et quasi tout sentiment possible, Ce spectacle m’horrifia au plus haut point, je déglutis de la bile tellement j’étais écœuré de ce que je voyais. Mes parents étaient écroulés ici et là et l’un deux était froid. Je m’approchai de celui encore vivant, mon père et il me confia la dite phrase du début. Peu après il me dit que je devais quitter cet endroit pour la recommencer où je voulais. Génial je m’étais dis sans aucune émotion, facile pour un gamin de dix ans de refaire sa vie. Mais bon n’ayant pas le choix je quittai cet en droit dans la plus grande discrétion après avoir récité une prière d’adieux et mon père. Je parcouru la ville sans réfléchir où j’allais et quand je me décidai d’arrêter j’étais rendu près de la station de bus de ma ville. Je me dis que c’était un excellent moyen de quitter la ville mais il y avait un os… Je n’avais pas d’argent. Je cherchai donc un moyen de pouvoir quitter l’endroit quand soudain l’idée de quêter me vint à l’esprit. Je n’avais jamais fais ça avant mais cela ne devait pas être trop difficile. Quoique pour quelqu’un qui avait perdue tout expression difficile d’avoir l’air de faire pitié. Et pourtant, mon manque d’expression fit penser que j’étais si miséreux que je n’avais plus aucun joie de vivre, alors les gens donnèrent généreusement si bien qu’après quatre heures je pus enfin m’acheter le billet de sortie de cette ancienne vie qui avait connu une fin abrupte. Vers où ? Aucune idée, soudain un nom de ville m’apparu sans que je sache pourquoi : Konoha. C’est donc sans trop réfléchir que j’achetai un billet en direction de Konoha.
C’est depuis ce jour que j’habite Konoha. Dès mon arrivé, il y a neuf ans de cela je me suis fais recueillir par une famille bien sympathique mais avec qui j’avais aucune affinité, trop expressif pour moi. Mais bon je fis avec durant les neufs années qui suivirent jusqu’à ce que je puisse entrée au collège Daiki. Dès mon entrée dans cette école, je sentis que quelque chose d’oppressant flottait dans l’air et divisait les étudiants en trois groupes. Au début je ne voulu pas entrer dans aucun groupe et de toute façon personne me demanda de rejoindre de groupe mais c’est après que j’eu cassés la gueule à un imbécile qui m’énervait que je reçu une demande pour rejoindre le groupe Kuragari. J’ignorais si je devais accepter ou refuser. C’est ici que commence mon aventure au collège…
Autres : Il est armé d’un paquet de cent aiguilles qu’il maîtrise d’une main de maître, il maîtrise aussi les arts martiaux.
VOUS:
Prénom: Carl
Age: 14 ans
Aimez-vous le design et le contexte: Oui, le design va bien avec le contexte.
Codes règlement et contexte :[OK by Al']
Lun 12 Oct - 8:34
pas mal la fiche 
)
