Namiko - TAKITSUME[ ] Prédéfini - [X] Inventé
(Cocher la bonne réponse)* Biographie * * Age: 16 ans
* Date de Naissance: 1er Décembre 1993
* Surnom(s): Aucune
* Orientation Sexuelle: Hétéro
* Sexe: [X] Féminin / [ ] Masculin
* Origine(s): Amériquaine
* Groupe / Matière Enseignée: Hide
- Mon Histoire -Un soir d'hiver, une petite maison au milieu de la campagne recouverte de neige pendant une tempête. Les lumières allumées, les pas d'un homme qui fait des allers retours entre le fauteuil et le bas de l'escalier. En haut de celui-ci, une chambre d'où sorte les cris d'une femme qui, après neuf mois d'attente, peux enfin voir l'enfant qu'elle a porté. A ses côtés, une autre femme qui lui ressemble comme deux gouttes d'eaux l'encourage puis va voir où en ai le bébé dans sa progression
Des pleurs s'élèvent, un regard inquiet plonge dans l'escalier, un sourire fatigué illumine un visage, des mains prennent un bébé. Ce dernier pleur de cette sortie si brusque dans un monde si inconfortable par rapport au ventre chaud et doux de sa maman
La jeune femme qui tient le bébé coupe le dernier lien que celui-ci a avec sa mère puis lui donne une petit claque pour le réchauffer et l'enroule dans des couvertures avant de le donner à sa mère mais celle-ci a les yeux fermés, la respiration arrêtée, un sourire aux lèvres
Un homme pleurs de la mort de sa femme pour l'enfant qu'il ignore tout bonnement, la soeur de la décédée tient le bébé dans ses bras avec un sourire recouvert de larme. Namiko... C'était le nom que sa maman voulait lui donner, alors c'est le nom qu'elle allait lui donner
Si il n'habitait pas si loin, elle ne serait pas morte. Si il n'y avait pas eu cette tempête de neige, elle ne serait pas morte. Si un médecin avait était là, elle ne serait pas morte. Si elle n'avait pas eu cette maladie cardiaque héréditaire, elle ne serait pas morte. Si elle n'avait pas été enceinte, elle ne serait pas morte... Mais Namiko ne serait pas là
Voilà comment j'aime compter mon histoire. Moi, Namiko Takitsume, je n'aime pas vraiment la version de mon père:
"Tu n'es qu'une sale enfant! Ta mère ne serait jamais morte sans toi! Tu l'a tué! Bien sur, il y avait de la neige! Mais sais toi, elle serait là! Sans toi, elle serait vivante! Tu as tué ta mère!"
C'est vrai qu'avec le peu d'information que j'ai, je n'aurais surement pas pu mettre au point cette petite histoire. C'est ma tante qui m'a dit ce qu'il s'était passé. J'ai pleuré, je m'en suis voulu, puis j'ai ignoré, oubliant la douleur et la culpabilité que j'éprouve face au réconfort que me donnait ma tante
Actuellement, je suis dans un compartiment de train, sur le canapé, en train de regarder le paysage défiler avec ma valise à mes pieds et une tasse de thé au miel devant moi. C'est mon petit plaisir, le miel
Mais qu'est ce que je fais là? C'est pourtant simple...
Dès ma naissance, mon père m'a rejeté. C'est alors que ma tante a pris la charge de s'occuper de moi. Elle disait que mon père était triste de la mort de ma mère à cette époque et qu'il viendrait m'aimer quand il aurait son deuil. Alors j'ai attendu, encore et encore, jusqu'à mes quinze ans
Quinze ans où ma tante était ma seule famille avec son chat noir, son chien blanc et son poisson rouge. Quinze ans d'étude, d'entrainement au combat, d'histoires écrites mais aussi de maladie. Car, oui, j'ai hérité de la maladie de ma mère: une maladie cardiaque très grave et incurable. En effet, les artères sont tellement petites que le sang a du mal à passer. Alors au moindre effort, je tombe, je m'évanouie, mon coeur manque de s'arrêter, n'arrivant pas à réguler le sang, jusqu'à ce que finalement, la douleur s'en aille avec le repos obligatoire que me donne cette organe. J'ai bien subit une opération pour régler ça mais... La seule chose qui à changer, c'est ma peau blanche où maintenant se trace une cicatrice qui part de mon coeur jusqu'à mon nombril. Un accident d'opération...
Mais c'est du passé... Je vis avec maintenant... Les médecins ont dit que je ne pourrais plus rien faire. Mais je leurs ai prouvé qu'on peut toujours se battre. Je suis devenue championne régionale et nationale à la plupart des sports de combats: kendo, taekwondo et autre qui, bizarrement, sont japonais
Enfin, c'est une autre histoire... Revenons plutôt à ce qui s'est passé le jour où mon père m'a enfin remarqué. Il a appelé ma tante qui s'est empressé de me dire que mon père voulait me voir pour savoir comment j'étais, ce que je devenais et qu'il voulait s'excuser de ce qu'il a pu dire. J'étais si heureuse qu'il m'ait remarqué. J'ai tout fait pour ça, même à l'école j'ai fais de mon mieux! Et maintenant, voilà qu'il voulait me parler! Enfin!
Je me suis donc empressé de mettre ma plus belle robe, de mettre le rare maquillage que j'ai (Je n'aime pas me maquiller) et de me faire la plus belle au monde. C'était la première fois que j'allais voir mon père par plaisir et non par contrainte ou obligation
Quand je suis arrivée, ma tante m'a laissé entrer dans le salon seule alors qu'elle allait dans la cuisine. Quand je suis entrée, j'ai sentie une forte odeur d'alcool. Elle était étouffante et c'est seulement maintenant que j'ai commencé à regretter le fait d'être venue
Il m'a alors parlé. Il m'a dit d'approcher, ce que j'ai fait. J'ai vu mon père, affaler sur un fauteuil en pantalon simple et T-shirt. Il avait les cheveux qui tombaient sur ses épaules et une barbe d'au moins quelques jours. Le regard rouge d'alcool, il a sourit
Il m'a alors dit que je ressemblais à ma mère, que j'étais son portrait craché avec ma robe et que j'étais aussi timide qu'elle. Qu'il avait l'impression de revoir sa femme quand elle avait quinze ans, comme moi. Il m'a dit de venir plus près de lui. J'ai obéis en hésitant un peu. Il m'a prit par le cou et a murmuré que jamais je ne pourrais remplacer ma mère mais qu'il voulait essayer quand même. Essayer quoi? J'aurais préféré ne pas le savoir ni le devenir...
Il m'a embrassé, il a posé sa main sur ma taille et l'a lentement descendu. Je n'ai pas réfléchis et, par réflexe et par peur, je l'ai frappé au visage pour me défaire de son emprise. Je me suis reculée dans le coin le plus reculé de la pièce, effrayé, tremblante comme jamais de peur
Si ça avait été un garçon normal, je n'aurais pas hésité, je n'aurais pas trembler, je n'aurais pas pleurer. Mais c'était mon père. et je me suis rendu compte qu'il ne me voyait non pas comme sa fille mais comme sa maîtresse, la remplaçante de ma mère
J'ai hurlé en le voyant arrivé sans son T-shirt et ma tante est arrivée. Des forces qu'elles avaient, elle donna un bon coup dans la nuque de mon père que s'évanouie à mes pieds et me prit par les épaules pour me faire sortir d'ici alors que mon visage impassible laissait tomber des larmes en silence
Ce n'est qu'en entendant la musique de la voiture à ma tante que je me suis réveillée et que j'ai commencé à sangloter
"Ne t'inquiète pas, il ne te touchera plus, je m'en assurerais. Tu va aller dans une prestigieuse école et réussir ta vie. Tu va avoir un très bon travail, un homme qui t'aime et de magnifique enfant"
Et je l'ai cru. Elle n'avait qu'une très petite pension et n'a pu payer qu'un seul biller en destination du Japon. Elle m'a donné une valise avec toutes mes affaires, ses économies personnelles et mon billet d'avion ainsi que de train avec un plan de la ville, du lycée et une preuve comme quoi je suis autorisée à entrer dans ce si prestigieux lycée
Et maintenant que je suis dans ce train, me félicitant d'avoir parler avec ma tante des origines japonaise de ma mère et d'avoir appris cette langue si bien que je suis bilingue
La train arrive et annonce l'arrêt du Nord. Je prends mes affaires et descendant. Un homme travaillant dans le wagon m'aide à descendre ma grosse valise et me laisse dehors. Je sors de la gare et je suis tout de suite éblouis par le magnifique temps. Konoha n’a pas volé sa réputation. Le ciel est clair avec plein de nuage blanc. Magnifique…
J'enfile des lunettes de soleil et me dirige vers le lycée, appréhendant ce moment qui me semble être un cauchemar
* Descriptions *- Parce que le physique est aussi important -Namiko est une fille assez svelte pour ne pas dire amaigris à cause de son manque d'envie de manger. Bien que maigre, elle possède de jolies formes bien placées, rendant son corps populaire auprès des garçons les plus stupide. Ses bras et ses jambes étaient fines, sa poitrine un peu imposante et son ventre plat. Sa taille fine lui donne une certaine grâce et agilité qui l'aident pendant ses combats
Elle possède de longs cheveux lisse et noirs tirant sur le bleu nuit tombant dans le creux de ses reins et dont les mèches de devant sont en bataille sur son front. Ses yeux grands yeux sont colorés d'un bleu pâle, les faisant ressortir de sa crinière foncée. Sa peau était toujours très blanche, signe de sa maladie cardiaque
Elle porte un pantalon en toile noir assez bouffant avec des bandages blancs autour des genoux sans pour autant serrer le pantalon, des mocassins de même couleurs accompagnant le bas. Pour le haut, elle porte un débardeur blanc et qui descends jusqu'aux hanches avec, dessus, un oiseau qui est en train de s'envoler d'une branche de cerisier en fleur, le dessin étant noir, comme la fine ceinture qui tombe sur ses hanches. Elle a également de longues mitaines noires s'arrêtant au coude avec, autour du cou, une grosse écharpe un laine qui fait deux fois le tour de son cou et laisse les deux bouts tomber devant son ventre, un à gauche, l'autre à droite. Pour finir, elle mets un serre tête blanc dans ses cheveux, qui ne sert pas à grands chose à part mettre une touche de couleur dans l'épaisse chevelure noir
Niveau bijou, elle a une bague au majeur droit et des piercings aux oreilles. Les boucles sont grandes et plus on monte, plus les décorations sont petites comme de simples anneaux en argent, des boules avec des piques grises et autre, le tout de couleur métal
- Qui se cache au plus profond de vous...? -Namiko est une fille très simple. Elle est gentille et souriante. Bien qu'elle soit timide, rien ne l'empêche de répliquer des paroles ou frapper ceux qui l'embête. Elle n'hésite pas à aider ceux qui ont besoin de son n'aide et n'est pas très rancunière
Elle est un peu flemmard au réveil mais après elle se donne à fond. Elle n'aime pas trop parler aux autres et préfère rester seule. Devant les autres, elle ne parle pas et se contente d'écouter. Elle n'aime pas venir au secours des gens et ne réfléchit pas vraiment à la vie qu'elle mène, se laissant porter par le courant
Légèrement craintive avec les garçons, elle ne cherche pas une relation, se disant que si le destin lui veux un compagnon, alors elle se laissera faire, sinon, tant pis. Elle mange très peu et évite de montrer son corps avec des mini-short ou des débardeur qui s'arrêtent sous la poitrine
Son activité préférée est d'écrire des histoires. Ca la calme et ca lui permets de s'imaginer dans un monde meilleur que celui dans lequel elle vie. Elle adore aussi se défouler dans des sports de combats qui l'aide à faire le vide en elle et à réfléchir. Ces deux choses l'aident à ne pas faire une crise à cause de son problème au coeur
- Nous sommes tous uniques - * Passe(s)-temps/ Hobby(s): Sport de combat / Adore écrire des histoires
* Particularité(s): Une petite cicatrice au niveau du coeur, reste d'une opération cardiaque
* Autre: /
* Vous *- Qui se cache derriere le personnage? - * Prénom ou Surnom: Anaïs
* Age: 17 ans
* Votre Niveau RPG: On va dire 5 ans d'expérience ^-^"
* Comment avez-vous connu le forum? Grâce à une amie Garnall
* Suggestions ou Remarques à faire? Une petite, si je puis me permettre, même en lisant le contexte j'ai dû mal à tout comprendre ^-^" Sinon c'est super *Vais me faire taper*
* Codes Règlement et Contexte: [OK by Al']