 Eikô Ogawa
Pourquoi vivre ? ♥
 |  Sujet: Eikô Ogawa.  Sam 13 Fév - 19:59 | |
| Prénom – NOM[ ] Prédéfini - [x] Inventé(Cocher la bonne réponse) * Biographie * * Age: 17 ans
* Date de Naissance: 28 mai 1993
* Surnom(s): /
* Orientation Sexuelle: Homosexuelle
* Sexe: [ ] Féminin / [x] Masculin
* Origine(s): Japonaise
* Groupe / Matière Enseignée: Hide - Mon Histoire -28 mai 1992 : Je pousse mes premiers cris. Et je respire pour la première fois. Il fait froid, et je ne comprend rien. J'entends des sons, ou plutôt du bruit. Je ne le sais pas encore, mais tout le monde est heureux dans cette pièce. Moi j'ai froid, et j'ai faim. Rien de bien réjouissant. Quelques jours passent. J'ouvre les yeux, je ne vois pas grand chose, mais depuis le début je sens une présence. Il y a un autre bébé à côté de moi, Maman dit Eikô en me prenant. Elle dit Keiko en prenant l'autre bébé. D'après ce qu'ils disent, elle est ma sœur.
Été 1997 : J'ai cinq ans ! Et même que ça fait toute ma main ! Avec Keiko, on passe les vacances chez Papy et Mamie parce qu'ils ont une ferme dans la campagne et que comme ça Papa peut travailler sans problème dans son usine de vroum-vroum. Maman est avec nous, c'est trop bien. On peut se promener autour de la ferme. Keiko est très jolie, je l'aime beaucoup ma sœur. Elle est comme moi en fait, mais c'est une fille. J'aime pas les autres filles , elles sont berk, mais Keiko, je l'aime. Mamie est gentille, elle nous tricote des habits, et c'est les même. Maman dit que c'est normal, c'est parce qu'on est des jumeaux, alors il faut que tout le monde le sache aussi. Les vacances c'est vraiment bien ! Avec Keiko, on se baigne et aussi on nourrit les poules, elle me fait rire quand elle pleure derrière moi parce qu'elle a peur. Moi je suis fort et je cours après les poules en criant, comme ça, Keiko a moins peur. Une fois pendant qu'on se promène, je ramasse une fleur sur le côté du chemin, je la donne à Keiko. C'est sur, quand on sera grand, on se mariera tout les deux.
Automne 2003 : J'ai dix ans. A l'école c'est bien, mais pas tout le temps. Les autres enfants rient beaucoup de nous deux, ils disent qu'on est des monstres, parce qu'on est pareil. Ca me fait de la peine, et beaucoup à Keiko aussi. Alors moi, je tape tout ceux qui disent du mal. C'est pour ça qu'aujourd'hui, Papa et Maman sont convoqués chez le directeur. A la maison je vais me faire gronder, mais c'est pas grave, je veux bien recevoir toutes les fessées du monde, si c'est pour la protéger. En rentrant, Papa est en colère mais c'est bizarre, il crie après Maman. On essaie d'écouter. Il dit que c'est sa faute, que c'est elle qui a voulu qu'on se ressemble. Le lendemain, je ne vais pas à l'école avec Keiko. Papa me dit que j'irai dans une autre école, pour qu'on ne soit plus toujours ensemble. Maman revient avec des nouveaux habits, ils sont très différents de ceux de Keiko. Et puis, on me rase le crâne. Je suis moche et je n'aime pas ça. Pas du tout. Je vois de moins en moins Keiko, parce qu'en plus, elle fait de la danse maintenant, et moi, j'ai eu un appareil photo pour aller un peu partout avec. J'aime bien les photos, mais je préfère ma sœur. Je suis en colère, le soir on passe tout notre temps ensemble, on se cache, pour pas se faire gronder.
Hiver 2008 : J'ai quinze ans. La vie se passe plutôt bien, avec ses hauts et ses bas. Keiko et moi restons très proche, malgré tout, malgré les autres. Keiko voudrait que je grossisse un peu. Je parais tellement faible. Mais je ne le suis pas. Du moins, quand il s'agit de la protéger, je suis toujours là. Je sors avec une fille. Juste comme ça, je ne l'aime pas, vraiment pas. Mais je veux paraître normal pour les parents, juste pour qu'ils me foutent la paix. Moi je m'en fou, ce que je ressens est trop compliqué. J'ai du plaisir à être en compagnie d'un camarade de classe, mais pas des filles. Il faut que j'oublie ça. Très vite. Mais la présence d'une fille près de moi me répugne. Pourquoi ? Je n'en sais rien. Ca me répugne tellement. Il n'y a que Keiko qui peut m'approcher. Je déteste embrasser ma petite amie. Je ressens un violent coup dans la poitrine. Ca fait mal merde. Je déteste les filles.
Été 2009 : Un an de plus. Et rien n'a vraiment évolué. On passe toujours nos étés là-bas, chez Grand-père et Grand-mère. Au moins ils nous comprennent mieux. Ils ne trouvent rien de malsain dans notre complicité, on a même le droit de dormir ensemble, comme petits. Un soir, pour s'amuser, on descend à la ville la plus proche et on va au cinéma à deux. Keiko semble si heureuse loin de tout, juste avec moi. Elle me fait tellement sourire. On rentre à pied, parce qu'on est bien obligé. Mais au détour d'une rue déserte, une bande de jeune nous arrête. Ils veulent notre argent, ils ont bu. Je défend Keiko bien sur. Mais ils sont trop, et très vite je suis à terre. Ils continuent à frapper, moi je ne pense qu'à Keiko, j'espère qu'elle va bien. Je fini par m'évanouir. A mon réveil, je cherche Keiko sans perdre un instant. J'hurle son prénom. Elle est un peu plus loin, à terre, elle ne bouge pas. Je vais la voir, même si je peine à marcher. Je lui parle et la secoue légèrement, mais rien n'y fait. Keiko est morte.
Hiver 2010 : Je dois reprendre ma scolarité. Mais je n'en ai pas envie. Je n'ai envie de rien. Je veux mourir. Mourir pour la rejoindre. Je ne sais pas gérer ce qui m'arrive, alors depuis le début de la fin de ma vie, je fais n'importe quoi. Je fume, je bois, je touche même à la drogue. Je deviens violent même. Mais je m'en fou, je veux mourir. Je ne veux plus faire semblant, alors je provoque, je provoque encore et toujours. Mes seuls moments de répits sont quand je lui parle, et que je peux sentir sa présence. Adorable Keiko, elle ne veut pas que je meurs. Alors je lui promet, je lui promet de ne pas me tuer. Un jour, je ramène un gars à la maison, et comme pour provoquer les vieux une fois de plus, je l'embrasse devant eux. Le coup de trop ? Surement. Me voila dans un pensionnat, loin de chez moi. Mais qu'importe, je n'ai plus de chez moi, je n'ai plus rien. Je remarque très vite que quelque chose cloche. Des clans ? Quel importance. Je choisis le plus violent. Celui qui me conduira à une mort rapide. J'entre chez les Hide. * Descriptions *Eikô est moyennement grand. Il n'est pas non plus fortement musclé, loin de là. Allure fine et regard passif, quatre mots qui le définissent à merveille. Son visage est fin, mais non creusé. On pourrait dire qu'il porte certains traits de filles, même si cela n'est pas fortement marqué. Il a les cheveux noirs et raides, qui lui tombent sur les épaules. Eikô ne les attache jamais, et n'en prend pas tellement soin, le jeune homme préfère les laisser pendre naturellement. Ses yeux sont gris, mais Eikô a pour particularité de porter presque constamment des lentilles rouges. Ses pupilles sont donc rouges, pour la plupart des personnes. Il porte un tatouage quelque part sur son corps, mais il faudra la découvrir.
Eikô n'aime pas se casser le crâne à choisir des vêtements. Il aime ce qui est simple, et facile à porter. Autrefois, c'était sa sœur jumelle, Keiko, qui choisissait ses vêtements. L'adolescent jugeait alors que sa sœur avait beaucoup plus de goût que lui, et se contentait pleinement de cette situation. Il aime porter des chemises. De couleurs sobres le plus souvent. Eikô porte aussi un pendentif en forme de dent de requin qu'il ne quitte jamais. Le bijou est attaché par une cordelette noire. Eikô le porte parfois autour du poignet. - Qui se cache au plus profond de vous...? -Eikô n'est pas quelqu'un de sympathique. Du moins, il ne l'est plus. Auparavant plein de vie et souvent souriant, son visage s'est presque figé après "Le premier instant de la fin de sa vie" comme il a prit l'habitude de l'appeler. Eikô ne parvient donc plus à exprimer ce qu'il ressent, que ça soit physiquement ou verbalement. Il peut se sentir bien, comme souffrir, son visage restera le même. Il aime être seul, et s'imaginer que Keiko est toujours présente, proche de lui. Il lui arrive de se parler à lui même, persuadé de communiquer avec sa sœur.
Eikô ne montre pas son immense tristesse, il préfère la traduire par de la méchanceté envers les autres, même sans raison. Il souhaite devenir plus fort, car paradoxalement à son envie de rejoindre sa sœur, il désire d'abord lui rendre justice, à sa manière. Eikô souhaite mourir. Pas tout de suite évidemment, car il se sent épris d'une mission. De plus, suite à une promesse faite à sa sœur, le jeune homme ne peut mettre fin à ses propres jours. Son comportement envers les autres peut s'avérer alors très provocateur, juste pour qu'on se défende, qu'on se fâche, qu'on le fasse souffrir, qu'on le tue.
Eikô aime le sang. Il aime particulièrement voir le sien couler, car c'est pour lui le lien le plus fort qu'il possède encore avec sa sœur. Il est tourmenté, et veut se venger. Dans un état second surement, il est possible qu'il n'est souvent pas conscience de ses dires et de ces actes. Eikô refoule tout. Tout sentiment et toute aide. Il déteste particulièrement les filles qu'il juge coupable. Coupable d'être en vie. - Nous sommes tous uniques - * Passe(s)-temps/ Hobby(s): Eikô adore rester seul. La solitude est un véritable passe-temps pour lui. Il est aussi passionné de photographie, c'est pourquoi il sort parfois avec son Reflex. * Particularité(s): Rien de spécial. Quand il pense un peu trop à sa sœur, son œil gauche se met à pleurer. * Autre:* Vous *- Qui se cache derriere le personnage? - * Prénom ou Surnom: Elliot
* Age: 20 ans
* Votre Niveau RPG: A vous de le dire ~
* Comment avez-vous connu le forum ? Google est mon ami.
* Suggestions ou Remarques à faire ? Non, le disign est sympa.
* Codes Règlement et Contexte: [OK by Al']
Dernière édition par Eikô Ogawa le Dim 14 Fév - 2:42, édité 10 fois |
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 Altaxar Hashimoto
Etudiant
| | Sujet: Re: Eikô Ogawa. Dim 14 Fév - 1:07 | |
| Bienvenue et merci de ton inscription ^^
Bonne chance pour ta fiche,
et comme je te l'ai dit, n'hésite pas si tu as besoin d'aide, le Staff est là aussi pour ça  |
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 Yumi Nara
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