Konoha : Lycée Daiki
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 Au pied du mur ( Kisame )

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Kae SarutobiKae Sarutobi
¦ L'Anti-Thèse HexaDécimale ¦




Au pied du mur ( Kisame ) _
MessageSujet: Au pied du mur ( Kisame )   Au pied du mur ( Kisame ) Icon_minitimeVen 23 Avr - 0:41

Courir…

Cette journée avait bien commencée pourtant. Les cours, et tout. Kae commençait enfin à s’habituer à cet endroit, à sa routine, à ses personnages. C’était si différent de l’autre côté de l’île. Et si ennuyant aussi. L’éternelle routine du sommeil, des cours, de la soirée, et on recommence. D’un autre côté, c’était sans danger. Comme tout dans sa vie, Kae n’aimait pas les extrêmes : autant voulait-il vivre des sensations, autant ne voulait-il pas risquer sa vie. Du moins pas pour rien. Et à cet instant… C’était une longue journée. Elle avait bien commencée pourtant. Se réveiller dans les bras de sa petite amie, déjeuner avec elle… Ensuite les douloureux cours de mathématiques, dont la moitié de la classe était absente en permanence. Tant pis pour eux, Kae avait la chance d’avoir une génétique de Sarutobi qui lui permettait de comprendre les maths avec une facilité relative, sans pour autant aimer la matière en question, au contraire. Ensuite, le cours de gym. Sans se trouver très habile, le jeune homme trouvait le cours assez aisé, étant en très bonne forme physique. Il n’avait jamais été doué en d’autres sports que le parkour, et ce n’était évidemment jamais au programme dans un gymnase.

Les Hides…Les Kuragaris…Les Kazukis…Quelle était cette atmosphère. Oui, d’apparence, c’était un simple lycée. Mais on pouvait la sentir partout, cette pression, cette tension qui emplissait de nervosité tout les endroits publics. Dans la cafétéria, la bibliothèque, jusque dans les salles de cours. Toujours ces regards haineux envers lui ou envers eux. Et lui, au milieu, ne savait quel parti prendre. Il était d’abord et avant tout à la cause qu’il avait choisie en arrivant dans ce lycée, servir les Hide et tout particulièrement les intérêts de Yumi Nara. Pourquoi ? Il avait su que son frère, Asuma, avait déjà eu une sorte de relation amicale avec elle. Kae ignorait bien des choses de son frère, mais cette Nara devait être un être respectable pour mériter celui d’un homme aussi étrange que son ainé. Mais ce n’était pas le moment d’y penser.

Il avait prévu passer une soirée normale. Prendre un taxi – pas du tout les moyens pour une voiture -, aller boire dans un pub quelquonque et prendre un peu de temps pour réfléchir. De temps en temps, c’était nécessaire pour lui. Faire le point, se fixer de nouveaux objectifs, être seul un peu. Un de temps à sa consacrer, c’est tout. Mais, dès qu’il mit le pied hors du taxi et vagabonda dans la rue, Kae sut que quelque chose ne tournait pas rond. Il ne savait pas exactement quoi, mais les frissons qui lui parcourait le dos à intervalles réguliers était un signe sans équivoque. Son sens de l’observation était pourtant développé. Il pouvait analyser les gens sur des détails insignifiants. Mais dans ce cas précis, rien du tout. Juste ce sentiment de malaise. Alors il erra pendant une demi-heure dans les rues les plus bondées de la ville, juste au cas où. D’un autre côté, c’était idiot comme stratégie : si on le suivait, il ne pourrait jamais savoir qui était ses poursuivants dans cette foule. Le parkoureur entra donc dans le premier pub qu’il vit.

La nuit tombait, et le pub était tout aussi bondé que le bar. Kae se trouva péniblement une petite table libre au fond de la salle, et réussit avec grand peine à commander et recevoir une bière. Les gens autours de lui étaient bruyants et vulgaires. Et plus baraqués aussi. Ils étaient rares, ceux qui avait un meilleur ratio taille d’épaule/largeur que Kae, mais restait qu’il était plutôt mince et effilé comparé à ces brutes, qui devaient peser une centaine de livre de plus que lui. Et ils lui jetaient des regards … Le parkoureur essaya de les ignorer, mais ce devint plus difficile alors que la soirée avançait et que les gens partaient. À un moment, ils ne furent plus que 3 ou 4. Kae leva les yeux. Ils le regardaient. Tous. Le japonais les observa à son tour. Le silence était écrasant. Et puis le Tenancier du Bar enleva lentement son tablier, le replia, le déposa sur le comptoir et sortit par l’arrière salle. Le cœur de Kae ne fit qu’un bond.

Ils se jetèrent sur lui. D’un coup de pied, le parkoureur fit basculer sa table, qui bloqua le chemin à deux des trois hommes, dont un grogna de douleur en recevant le bois massif en plein dans la rotule du genou. Apaisement de la douleur : une semaine. Rétablissement de l’habilité physique : deux semaines. Aptitude à foncer dans les gens aveuglément : supprimée. Le troisième homme se jeta sur, et son poing passa à un cheveu du visage de Kae. Le tout se passa très vite : le poids de l’homme le renversa, et le parkoureur retint entre ses pieds le tabouret sur lequel il était assis. Il tira ses jambes vers lui, et son assaillant tomba sur les quatres pieds du tabouret, qui s’enfoncèrent dans son ventre en brisant 3 côtes, le mettant hors d’état de nuire. Un des pieds déchira son t-shirt, et Kae reconnut la tâche d’encre qu’arborait son ventre plat : Biohazard. Merde.

Il fit tournoyer ses jambes et revint sur ses pieds dans un petit mouvement acrobatique, et sortit du pub, poursuivi par les deux autres hommes juste après. Et ils étaient rapides, c’était surprenant. Kae était endurant, mais n’était pas assez grand pour pouvoir rivaliser avec les échasses que ces gars avaient. Le parkoureur tourna à gaucha dans une ruelle, ses poursuivants sur ses trousses. Le jeune homme se laissa glisser sur une rampe de métro avant de…Un bras se jeta en travers de son chemin et lui fit un effet digne du « corde à linge ». Alors ils étaient plusieurs… Kae roula sur le pavé avant que le talon du gars d’écrase à la dernière position de sa tête. Il se releva en respirant fort : ce coup lui avait coupé le souffle. Il reprit sa course et tourna dans une ruelle, puis une autre, puis une autre. Ils s’étaient séparés. Eux avaient l’avantage de connaître la ville, avantage que lui n’avait pas. Les dents serrés , il figea soudainement sa course et empoigna à pleine mains un poteau de téléphone. Son élan le fit tourner autour de la pôle, et Kae projeta sa jambe, qui frappa son plus proche assaillant à la gorge. Larynx écrasé. Rétablissement physique : quatre semaines. Rétablissement psychologique : trois mois. L’homme derrière celui qui venait de tomber à genou en tenant la gorge profita de son élan pour frapper la jambe du parkoureur toujours pris dans son élan. Ces kurigaris n’étaient pas tous des mauvais combattants. Kae s’écrasa au sol, eut encore le souffle coupé. Il leva le genou à l’instant où le deuxième agresseur se jetait de tout son poids pour lui. Son genou heurta sa mâchoire mais ne la cassa pas. Le japonais reçut un formidable cou au visage, provoquant une coupure sur sa joue. Il était tellement lourd ! Kae paniqua un instant , puis se tira hors de sous lui grâce au poteau téléphonique . Ceci fait, il leva son pied et se repropulsa à l’avant pour frapper son ennemi au visage, qui tomba. Le parkoureur se releva et empoigna le collet gris de son adversaire, avant de le frapper au visage violemment, en mettant toute la force de son épaule et son bras . Une fois, deux fois , trois fois…Le visage du Kurigari devint une masse boursouflée de sang et de chair . Les jointures du poing de Kae était à vif. Il laissa l’homme inconscient glisser au sol, encore électrisé par la colère et l’adrénaline. Ce n’était pas fini, et il le savait.

Les bruits de pas se rapprochèrent, et s’extirpèrent de chaque côté de la ruelle d’autres gars dont l’allégiance était indiscutable. Ils n’étaient pas l’image que les Kurigaris essayaient de propager : une élite violente et sans pitié. Ces hommes là était débraillés, des débris. Mais ils étaient à six contre un, alors Kae décida de rester silencieux. Six, non Sept ! Un autre, qu’il n’arrivait pas à voir clairement, s’avançait vers lui. Le parkoureur resta sur ses gardes, essuyant le sang sur sa joue…
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Hoshigaki KisameHoshigaki Kisame




Au pied du mur ( Kisame ) _
MessageSujet: Re: Au pied du mur ( Kisame )   Au pied du mur ( Kisame ) Icon_minitimeSam 24 Avr - 14:24

[i]Trois jours. Trois jours que Kisame avait débarqué à Konoha. Il s'était rendu à l'adresse donnée, mais n'avait eu aucune réponse. Rien, personne. Au lieu de ça, il avait rencontré cette jeune fille... Mais là, il se promenait sans but, avec l'intention de boire un bon coup, puis de rentrer à l'internat pour piquer un bon roupillon. Cela dit... Il aimerait bien rencontrer les Kuragari, au moins se faire une idée de la bande de branleurs qui était sujette aux moqueries du gang de Fairbanks, étroitement lié aux unités du gang des USA. Eux étaient actifs, et dominaient déjà la ville. Ils avaient les moyens de faire chanter le maire de la ville, contrôlaient la plupart des membres du congrès de la ville, avaient des flics ripou sous leur coupe... Enfin voilà. Les autres gangs se terraient dans un coin, refusant de se manifester sous peine de violentes représailles. Quelques bandes désorganisée faisaient parfois parler d'eux, mais le gang de Fairbanks leur faisait rapidement fermer leur clapet, noyés au fond de la mer de Bering, un bon rocher attaché au pied, lâchés dans un cargo. S'ils crevaient pas noyés, les requins se chargeaient d'eux. Une petite entaille au niveau du bras, et le sang qui se dégageait dans l'eau les attirait comme des mouches à merde. Mais à Konoha... c'était autre chose. Jusqu'à présent, il n'avait même pas entendu parler d'eux, et peu de personnes réagissaient au biohazard marqué au fer rouge sur sa nuque....

"Ptin de ville de merde... rien à faire..."


Ses quintes de toux le taraudaient depuis déjà une semaine, et ne semblaient pas vouloir cesser. Les calmants que lui avait donné cette inconnue marchaient plutôt bien, neutralisant toute douleur, mais il n'en avait déjà presque plus, et de plus, ils n'empêchaient pas sa toux constante de lui massacrer la gorge. Ah tiens. En parlant de massacrer la gorge... Kisame sortit un paquet de cigarette de sa veste ouverte, et mit un tube nocif entre ses lèvres, avant de chercher son briquet... qui avait fugué, pour changer. Kisame était pas fichu de garder un briquet plus d'une journée complète, il finissait toujours par disparaître mystérieusement... Il lui fallait donc trouver du feu.
Justement, il marchait dans une ruelle, et apparemment, il y avait de l'animation... un gosse était en face d'une bande de.... six types, et semblait en mauvaise posture. Six contre un... Kisame ne savait pas qui ils étaient, mais il se faisaient d'office ennemi des lâches qui attaquaient une seule personne à plusieurs. C'était un comportement lamentable, surtout pour Kisame qui ne se battait qu'à condition d'être seul, parfois deux, du moment qu'ils étaient deux contre minimum deux aussi... Mais là, c'était bien autre chose. Six contre un, donc aucun équilibre des forces.

Il s'approcha d'un des types, et le regarda longuement, avant de remarquer un biohazard tatoué sur son épaule. Ah... c'était donc ça, le gang ?! Putain mais quelle bande de lâches... pauv' merdes. Il se retourna, et montra sa brûlure blafarde en forme de biohazard. Le type esquissa un sourire, pensant qu'il allait se joindre à eux pour ce massacre. Ouais... si on veut.


"Hé mec... t'as du feu ? Le mien s'est fait la malle."

Il prit le briquet que lui tendit le type, alluma tranquillement sa clope, et tira une longue bouffée dessus, regardant le type qui faisait face aux six autres. Il lui fit un clin d'oeil discret, et se retourna brutalement, enfonçant sa clope allumée dans l'oeil du type qui lui avait filé le briquet.

"Ahoooo !! Ca pique hein ?! 'Culé d'lâche, j'vais te faire recracher tes testicules !"

Il enchaîna avec un violent coup de pied en pleine figure, qui le renversa au sol, le mettant K.O sur le coup. Kisame fait 1m95, et possède la musculature qui va avec, acquise grâce à sa vie peu confortable à Fairbanks. Il est souple aussi, ce qui explique la facilité et la rapidité et la violence avec laquelle son pied vint briser la mâchoire du type au sol, inconscient.

Il ne s'arrêta pas là. Il passa au deuxième, lui envoyant un puissant coup de poing en pleine figure, enchaîné par un coup de genou dans l'estomac doublé d'un coup d'avant bras dans la nuque. Les types prirent ça pour une trahison, et abandonnèrent leur victime de base pour se tourner vers Kisame, qui éclata de rire.

"Oy mec ! Tu comptes me laisser me faire matraquer tout seul ou tu partages ? Parce que j'veux pas dire, mais il en reste hein..."[
/i]
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Kae SarutobiKae Sarutobi
¦ L'Anti-Thèse HexaDécimale ¦




Au pied du mur ( Kisame ) _
MessageSujet: Re: Au pied du mur ( Kisame )   Au pied du mur ( Kisame ) Icon_minitimeSam 24 Avr - 18:37

Sa joue le brûlait.

Kae échangeait des regards meurtriers aux autres gars autour de lui. Deux corps étaient déjà au sol, l’un essayant péniblement de respirer, l’autre au visage complètement enflé par les coups de poing du parkourer. De son côté, Kae lui avait mal au plexus solaire après les deux violents chocs qu’on lui avait infligé. Mais ce n’était pas le moment de flancher. Surtout qu’il y en avait maintenant un 7e , bien plus grand et plus costaud que les autres, et donc encore plus que lui-même. Être petit n’avait pas toujours que des avantages, surtout dans un combat de rue.Le temps prouvait que les géants triomphaient des péons.

Le parkoureur essaya de se faire un meilleur portrait de lui alors qu’il s’avançait dans la lumière du lampadaire pour parler à voix basse avec l’un des Kuragaris. Il portait un pantalon de toile se coulour sombre et une large veste ouverte dans la longueur. Sa peau était pâle, son faciès assez brutal, comme coupé au couteau. Il s’allumait une cigarette. Dans un jeu de lumière, le parkoureur aperçut le tatouage du Biohazard qui réflétait sur sa épiderme tout blanc. Kae serra les poings : ce n’était certainement pas un allié. Le parkoureur avait beau regarder tout autour, il ne voyait pas d’échappatoire. Les murs étaient trop haut et en brique, sans prises pour ses doigts. Peut-être pourrait-il venir à bout d’un ou deux autres hommes, mais pas plus. Ils se jetteraient sur lui ensuite et le tuerait. Sans parler de cet homme là. Il jouait dans une tout autre catégorie que ces voyous débraillés.

La fumée de cigarette emplit l’air. Kae considérait le plus grand vice de sa vie étant sa propre consommation. C’était contre toutes ses valeurs, pourtant lui-même ne pouvait s’empêcher d’en fumer une de temps en temps. Encore une foutue histoire de génétique. Son père fumait, son frère fumait, et bah lui aussi, et ses descendants après lui. Si jamais il aurait des descendants… La lumière réfléchissait entre les yeux argentés du parkoureur et ceux, d’une grande noirceur, du 7e. Il avait des sortes de tatouages sous les yeux, des lignes rappelant les branchies d’un poisson. Mais pourquoi ? Trop de questions inutiles, restons concentrés. Et alors… Il lui fit un clin d’œil. Kae ne put s’empêcher d’être léger surpris. Quel genre de clin d’œil était-cela ? Il n’eut pas le temps d’y réfléchir que le gars le plus prêt du géant grognait de douleur en portant la main à son œil. Une fraction de seconde plus tard, son pied s’abattit dans le visage du type qui tomba au sol, inconscient. Ses agresseurs se tournèrent vers le nouveau venu alors que celui-ci battait pour le compte un second homme. Il étonnamment rapide pour sa taille, et surtout d’une force monstrueuse.


"Oy mec ! Tu comptes me laisser me faire matraquer tout seul ou tu partages ? Parce que j'veux pas dire, mais il en reste hein..."

Le parkoureur le regarda en restant silencieux. Il n’oubliait pas, il n’allait pas se donner à la pitié. Kae fit volte-face et para le coup de poing du première homme de son bord de la ruelle, planta un coup de pied dans le ventre d’un autre. Un bras s’enroula autour de la gorge, et le japonais serra les dents. Il appuya une jambe puis une autre contre le mur de brique pour fracasser son assaillant dans le mur de l’autre côté. Il y eut un râlement et la prise du bras se relâcha. L’éclat d’une lame siffle dans l’air et Kae n’eut le que de faire un petit pas de côté que le couteau traçait un sillon sanglant sur son épaule . Le parkoureur plaqua l’homme au couteau qui tomba au sol en échappant l’outil de mort. Sa tête sembla frapper le sol trop fort, car il ne se releva pas.

Kae fit volte-face au moment où il recevait un coup de poing sur le côté de la tête. Sa vue se brouilla momentanément , il perdit l’équilibre. Il leva le bras et l’enroula dans la jambe qui venait d’essayer de le frapper. Il poussa en avant, inspira, puis laissa tomber son coude, brisant le genou de son adversaire qui hurla proprement sa douleur.

Le parkoureur jeta un coup d’œil vers l’autre, essayant de reprendre complêtement ses sens, une main tenant son épaule blessée…
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Altaxar HashimotoAltaxar Hashimoto
Etudiant




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MessageSujet: Re: Au pied du mur ( Kisame )   Au pied du mur ( Kisame ) Icon_minitimeJeu 19 Aoû - 14:51

Pas de réponse ? Je verrouille What a Face

Si vous voulez reprendre, n'hésitez pas à me MP Wink
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MessageSujet: Re: Au pied du mur ( Kisame )   Au pied du mur ( Kisame ) Icon_minitime

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