Des retrouvaille mouvementé ? [Pv : Rukia]

© Princess *of the music*

Un jour tranquille avec un soleil chaud et un ciel bleu, la journée commençait déjà bien, peu de personne trainait dehors encore, quelque voiture juste sur les routes, des personnes partant travailler. Sinon, tout le monde dormait encore. Pourquoi ? Car on est le matin, c'est juste pour ça... On pourrait croire que tout les élèves dorme paisiblement dans leur lit, car c'est le week end.

Une rêve... Deux rêves... Trois rêves... Quatre rêves... Bref, plusieurs enfants sont en train de rêvé, alors que quelque personne sont déjà au travail n'est-ce pas injuste ? Non ça ne l'est pas... M' enfin bon, revenons à nos moutons.

Alors que quelque personne de l'internat de daiki sont encore en train de dormir, une demoiselle aux cheveux brun est à la gare de Konoha, qui vient juste d'arriver dans cette ville balnéaire. Une ville comme les autres ? Peut être, peut être pas, mais sans doute plus calme que la ville d'où vient Emiko. Son nom ? Gikami. Oui ça peut paraître étrange que la ville de Gikami soit plus mouvementé que celle de Konoha, mais pourtant c'est le cas. Même si là-bas les personnes montre beaucoup de solidarité, Emiko, n'as jamais vraiment ressenti quoi que ce soit de solidaire venant de cette ville mouvementé. Alors qu'elle l'a juste quitté ce matin même pour aller au Lycée Daiki qui se trouve à Konoha, et où est aussi, son amie la plus proche. Pour elle sa vie va changé, même si elle est orpheline, comme Rukia Hasumi avec qui elle devait se retrouvé devant la gare...

Mais la demoiselle aux yeux écarlate n'arriva point, alors, la brunette aux yeux d'eau. Commença à aller tranquillement au lycée, pour ensuite arrivé à l'internat, mais elle resta à l'extérieur. Elle commença à un peu tout visité comme le parc, sauf elle n'y entra pas vraiment au cas où qu'elle se perd, elle passa devant les terrain de sport, la piscine, le centre équestre, le gymnase, le dôjo, le stade, le pavillon de thé et enfin la roseraie. Elle était déjà passé devant, mais il n'y avais vraiment que ça qu'il l'avait plutôt intéressé ainsi que le parc pour les arbres.

Elle entra dans la roserai en cherchant de vue un banc à côté de quelque fleur, il y avait des tables et toute sortes de choses, pour prendre une thé en silence. Mais Emiko n'avait de tisane sur elle. Donc elle devrait s'en passer. A la place, elle prit dans son sac sur son épaule, à la petite poche, une sucette à la pomme qu'elle mit aussi tôt après dans sa bouche. Elle mit le papier de sucette dans son sac, à la même poche où elle a trouvé la sucette, puis chercha de nouveau un banc pour trouvé une place à l'ombre si possible.

Elle en trouva un, avec un arbre derrière, comme ça elle pouvait être à l'ombre, elle posa son sac sur le banc, enleva sa bass de son dos, pour la mettre contre le banc près de ses pied, mais garda son sabre dans le fourreau avec un tissu autour sur elle. Elle prit son portable dans sa veste? pour voir si elle n'avait pas reçu un appel de son amie Rukia.
Rien... Sans doute encore en train de roupiller le chaton. Elle tapa assez vite sur l'écran tactile pour prévenir son amie de ne pas allez à la gare, et qu'elle se trouve à la roseraie pour se retrouver toute les deux là-bas et qu'elle est assise sur un banc. Elle le rangea ensuite dans sa poche de sa veste en attendant que l'accusé arrive. Et voir si Rukia la téléphonerai ou pas, ou si elle répondrait juste avec un sms. Mais connaissant son amie qui est sans doute ou peut être pas réveillé, elle est surement partie en courant à la gare elle téléphonera surement...

♥ **Chaton** aux yeux de **sang** ♠

Grgrgrgrgrgrgrgrgrgrrrr !

La sauvageonne à la longue tignasse brune courait, tentant d’échapper à cette chose. On aurait pu confondre cet engin avec celui des ramasseurs de poubelles mais sur la camionnette on pouvait lire en gros caractère « CHASSEUR DE PARASITES DES RUES ». A ses yeux, c’était une chose effrayantes : elle possédait de grand bras articulés qui étaient susceptibles de l’attraper et de l’emprisonner, crachant une fumée noir infect et émettant un bruit étrangement familier et désagréable.

Grgrgrgrgrgrgrgrgrgrgrgrgrgrgrrrr !

Son groupe était déjà loin devant elle et elle ne les rattraperait sûrement pas. Si cet instant s’était déroulé quelques années plus tard, jamais l’idée de se faire capturé ne lui aurait simplement effleuré l’esprit. Personne n’était capable de la tenir en captivité, elle.

L’enfant aux yeux écarlates avait l’impression de courir depuis des heures. La fatigue ne se faisait pas sentir pourtant et plus étrange encore, elle plus elle se démenait pour sortir de sa ruelle qui débouchait dans une grand rue qu’elle connaissait bien, plus elle avait reculait. Et le monstre se reprochait.

Grgrgrgrgrgrgr. Grgrgrgrrrrrrgrrrgrr !

Cette petite rue, la brunette la connaissait aussi. C’était dans ce lieu qu’ils l’avaient retrouvé, couverte de blessure et inconsciente. Ils. Yuki. Hiro. Yuki et Hiro. Et puis il y avait ce magasin. Ce magasin où des gens de la commune avait installé un poteau électrique trois ans après sa « naissance ». Elle ne s’y était jamais habituée et rentrait dedans régulièrement.

- Là tout de suite, j’ai environ six ans… Pourquoi je suis au courant des évènements futurs ?

Elle courait encore et soudain son image changea. Ses cheveux étaient attachés en une couette haute. Elle était devenue plus grande. Elle avait des habits – ce qu’elle ne possédait pas au par avant. Mais pas n’importe les quels. Son vieux short noir trop petit et son haut vert délavé. En d’autre terme : son pyjama.

Tout se passa rapidement. Les chats devant elle disparurent. Les choses alentours devinrent floues avant de disparurent pour laissé place au noir. Elle se retourna. La chose avait disparut mais pas le son qu’elle produisait.

Alors, elle comprit.

La brunette ouvrit ses paupières encore lourdes de sommeil et se retourna vivement vers son réveil et y abatis son poing. Le brui avait stoppé. Elle éteignit l’alarme du réveil et soupira. Cet horrible chose l’avait réveillé, de une, et lui avait carrément donné des cauchemars. Une fois de plus, elle approuvait grandement son hypothèse : cet objet venait directement de l’enfer, créer par Satan lui-même.

Son rêve lui semblait soudain idiot. La peur qu’elle avait « ressentit » pendant se course imaginaire la laissait hébétée. Comment avoir peur de ça ? Des choses réellement effrayantes, elle en avait déjà vu alors pourquoi ? Et pourquoi ce rêve, aujourd’hui ? Selon elle, ça n’avait aucun sens.

Elle se redressa en s’étirant puis se frotta la visage. Ses yeux étaient humides et elle sentait très nettement les traces que ces larmes avaient tracées sur ses joues. Ca ne l’étonna pas, c’était fréquent. Ses crises de larmes, comme elle les appelait, étaient du au souvenir de son frère qui lui était de temps à autre trop difficile. La présence de Yuki lui manquait, particulièrement le matin. Lui, savait la réveillé correctement. Lui souffrant sur le visage ou dans les oreilles tout en murmurant de son agréable voix de se lever, qu’il était l’heure.

- Mais pourquoi il a sonné ce crétin de truc …

Deuxième illumination de la matinée.

- Oh merde de merde !

Elle jeta ses draps et bondit de son lit. Elle s’empara de ses vêtements qu’elle avait préparé la vieille et les revêtit à la hâte, jetant un œil à son réveil avant de pousser un juron. Aujourd’hui était le dimanche 2 mai et Emiko arrivait ce même jour. Rukia était censée la rejoindre à la gare il y a plus de quinze minutes mais était toujours dans sa chambre à l’internat du lycée Daiki, à l’opposé du point de rendez-vous, bien entendu.

Tout allait bien en ce beau matin de printemps où les oiseaux piaillaient comme des dingues pour une raison qui échappait aux humains.

La lycéenne défit sa tresse et remonta ses cheveux bruns en la même queue haute que dans son rêve, quoique moins bien faîte. Elle resserra le ruban blanc qui tenait sa clochette dans sa chevelure, prit son sac et partit en courant de sa chambre. Elle dévala les escaliers de l’internat dans un grand bruit en mettant son sac en bandoulière. Cette fois-ci, elle courait réellement, pensa-t-elle.

Emiko. Elle l’avait appelé il y a deux semaines de ça comme toutes les semaines depuis son départ de Gikami. Son amie lui avait annoncé qu’elle voulait intégrer le même lycée qu’elle. Rukia avait tout d’abord surprise puis avait éclaté de joie. La brunette était extrêmement attachée à cette jeune fille qu’elle avait rencontrée un an après le décès de Yuki. C’était cette fille qui l’avait sortit de son troue et l’avait ramené doucement vers celle qu’elle était avant, un peu en tout cas. Personne ne pouvait faire du mal à Emiko en sa présence. Cette dernière en faisait de même pour Rukia. Ensemble, ça allait. Sans elle, c’était plus dur…

La jeune Hasumi sentit son portable vibré dans son sac qui se cognait contre sa fesse gauche. Elle faillit ne pas répondre mais l’idée qu’Emiko était peut-être à l’autre bout du fil lui fit changé d’avis. Elle s’arrêta et sortit l’objet, lui aussi, bruyant. C’était bel et bien son amie. Elle lui avait envoyé un message pour la prévenir qu’elle avait quitté la gare en ne la voyant pas arrivé et qu’elle s’était installée sur un banc de la roseraie du lycée. Elle le remit en place dans son sac en poussant un long soupire. Tournant les talons, elle continua sa course dans le sens inverse. L’année prochaine, elle s’inscrirait au club athlétisme, se dit elle mentalement avant de secouer la tête comme pour faire disparaître ses idées qui lui semblait absurdes.

*
* *

Rukia posa sa main sur la poigné de la porte de la roseraie. Elle prit deux minutes pour recouvrir à un souffle à peu près normal avant de pénétrer dans le lieu. Les odeurs de fleures s’étaient mélangés et formaient une délicieuse senteur. Elle n’était jamais venue dans la roseraie pourtant une fois, elle avait faillit s’y rendre… L’image de Kusari vient s’imposer dans les pensées de la brunette. Elle ne l’avait plus rencontré depuis le dojo. Elle était sûre de l’avoir aperçut plusieurs fois dans l’établissement mais à chaque fois, elle le « loupait ».

Une tête brune se dessinait entre deux branches d’une grande plante inconnue. Ses cheveux, elle les connaissait. Le premier sourire de la journée se forma doucement sur ses lèvres et ses yeux s’adoucir. Elle se déplaça jusqu’au banc à pas de loup pour la prendre par surprise. Elle était à trois pas de ça cible qui lui tournait involontairement le dos quand son grelot la trahit. Ce n’était pas important.

Elle posa ses mains de toutes par d’Emiko et se pencha sur la droite, sa tête à une vingtaine de centimètre du visage de son amie.

- Excuse-moi du retard, Emiko.

Rukia aborda une moue mi-souriante, mi-désolée. L’odeur d’Emiko commençait à prendre possession de ses narines. C'était tellement agréable. Les souvenirs de noël dernier lui revienrent comme une claque. Les autres aussi. Les années de collège. Les cours. Les récréations. Les midi. Les disputes. Les larmes. Les câlins. Avec elle.

Etrangement, elle avait envie de pleurer.

[ HRP : Beaucoup de retard et j'en suis vraiment désolée ! >< ]

© Princess *of the music*

Pour une matinée il faisait horriblement chaud, enfin si on veut, il y avait une légère brise de vent, qui faisait légèrement flotter les cheveux brun d' Emiko.
Alors qu'elle attendait que Rukia arrive elle rêvassais énormément, en repensant un peu à son passé, quand elle vivait des jour heureux avec son père, quand il lui racontait comment était sa mère avant qu'elle ne meurt le jour de la naissance d' Emiko.
Elle ouvrit une poche de son sac pour en sortir une photo où dessus il y avait sa mère et son père avant qu'ils n'eurent leur filles. Elle souriait doucement en regardant cette photo, mais elle fit une mine assez triste juste après son sourire, une perle de larmes commença à dégouliné sur sa joue, elle l'essuya vite avec sa main pour pas se sentir bête si quelqu'un passe et qu'on la voit pleuré. Elle ne voudrait pas qu'on vienne la voir, ou alors qu'on se moque d'elle en permanence, alors qu'elle vient juste arriver à Konoha.

Ce serait honteux n'est-ce pas ? Ou pas, voir quelqu'un pleuré on peut se faire plusieurs idée, mais comme elle regarde une photo, on pourrait croire que c'est une enfant un peu trop chouchouté et la seule chose qu'elle veut c'est de revoir ses parents. Mais, les gens qui peuvent penser ça, se mette le doigt dans l' oeil, car désormais, elle est orpheline, comme la plus part des Gikamiens.

Elle rangea la photo quelque minute après dans la poche de son sac, où elle l'avait prise. Elle croqua d'un coup dans sa sucette, mais elle garda le bâtonnet en bouche, s'ennuyant d'attendre son amie, elle sorti sa bass de l'étui où elle est rangé et la posa sur ses jambes, elle joua un air qu'elle connaissait tout en pensant à son père, elle senti sa poche vibrer, elle arrêta d'un coup de jouer de la bass en pensant que c'était sans doute son amie, mais quand elle regarda l'écran, c'était juste un garçon de son ancien lycée qui lui fit une reproche idiote, même plus qu'idiote. Elle tapa vite sur son écran quelque mots pour envoyer balader le garçon au bout de l'autre téléphone qui se trouve à Gikami, sur son visage, elle avait un sourire fier de pouvoir envoyer balader quelqu'un, qu'elle n'aimait pas. Si elle aurait été encore à Gikami, elle n'aurait pas eu le courage de faire ça; surtout, qu'elle aurait eu peur que ce garçon-ci vienne la frapper.

Elle rangea sa bass dans l'étui, puis attendit, jusqu'à que des mains se posent sur elle, sur le coup, elle avait eu vraiment peur, mais voyant une longue chevelure châtain et des yeux de couleur écarlate qui était à quelque centimètre de son visage, un simple sourire joyeux vint sur son visage.

-Rukia.. Ah, euh ça ne fait rien, ne t'inquiète pas. Tu n'as pas besoin de t'excuser pour ça voyons. Il en faut beaucoup plus pour que tu t'excuse.

Elle la regarda de ses yeux océan, elle avait envie d'une chose, la prendre dans ses bras, à la place, une simple larme commença à couler sur sa joue. Elle se leva vite du banc pour aller au côté de son amie, pour la prendre ouvertement dans ses bras, elle s'écarta d'elle quelques instant après le câlin, pour lui sourire joyeusement.

-Tu m'as manqué Chaton ! Depuis le temps qu'on s'est pas vu en même temps. Je suis heureuse de te revoir.

Elle la reprit une nouvelle fois dans ses bras, vraiment contente, lui déposa un vite fait baiser sur sa joue. Elle fit une mine réjouie en la lâchant juste après. Mettant ses bras dans son dos, souriant vraiment gentiment, pourtant, derrière ce sourire, il y a un peu de tristesse, elle souriait vraiment car elle était contente de revoir son amie, mais en même temps, au fond d'elle, un poids lourd la pesait, elle avait vraiment envie de pleurer. Elle eu une larme de joie couler sur sa joue tellement qu'elle était contente elle se l' essuya très vite, pour pas pleurer dès leur retrouvailles. Elle la regarda, et puis elle prit ses mains dans les siennes.

-Tu n'es pas trop déboussolé ? Car on dirait que tu viens de sauté de ton lit.

Elle eu un léger rire au fond d'elle, mais elle garda les mains de Rukia dans les siennes, pour quand même lui laisser la parole, car en plus, même si elle ne parle pas beaucoup, elle s'est surprise elle-même d'avoir autant parlé d'un coup.

*
**

[HRP : Gomenasai >-<' j'ai mis du temps à répondre j'avais pas d'inspi'. >< Mais là j'en avais pas non plus en fait. T-T J'espère que ça va te convenir. éwè]

♥ **Chaton** aux yeux de **sang** ♠

« - On se reverra pas avant l’été prochain…
- Ouais…
- Emi’ ?
- Oui ?
- Tu me manques…
- Rukia… »

Rukia ne connaissait pas la raison de la soudaine décision de son amie. Cela la déranger un peu. Et puis, Emiko avait quelque chose d’étrange depuis quelque temps. La brunette avait mit de l’argent de côté au cas où il arriverait quelque chose à Emiko ou à n’importe qui d’autre de son entourage. Elle ne supportait pas l’idée de ne pas être présente pour ceux qu’elle considérait comme des membres de sa famille en cas de problème. Eux l’avaient tellement aidé… A présent, sa chanteuse préférée était près d’elle et elle ne s’était pas sentie aussi bien depuis noël dernier.

- Rukia.. Ah, euh ça ne fait rien, ne t'inquiète pas. Tu n'as pas besoin de t'excuser pour ça voyons. Il en faut beaucoup plus pour que tu t'excuse.

Les deux filles se regardaient dans les yeux et Emiko fut la première à réagir. Elle bondit sur ses pieds, contourna le banc et vient prendre Rukia dans ses bras. Nouvelle grande inspiration. Les cheveux d’Emi’ avaient une odeur que Rukia qualifie de « douce ». C’était tellement agréable.

- Tu m’as manqué Chaton ! Depuis le temps qu’on s’est pas vu en même temps. Je suis heureuse de te revoir, reprit-elle en s’écartant un peu avant de la serrer à nouveau contre elle.

Rukia ferma les yeux pour profiter pleinement de ce moment pendant qu’Emiko déposait une légère bise sur sa joue. Elle la lâcha enfin et enlaça ses doigts dans son dos. Les deux lycéennes se sourirent, échangeant un long regard. Ses yeux bleus comme le ciel avaient eux aussi manquée à l’ex-sauvageonne. Bien réfléchit, tout en elle lui avait manquée. Emiko, c’était sa lumière au bout du tunnel.

Cette dernière prit les mains de son amie et lui demanda :

- Tu n'es pas trop déboussolé ? Car on dirait que tu viens de sauté de ton lit.
- Si tu savais… Soupira t’elle.

Rukia rassemblant ses souvenirs, elle lui relata son rêve et lui confia qu’elle croyait avoir le mal du pays puis enchaîna avec sa courses dans les rues de Konoha d’abord vers la gare puis jusqu’à la roseraie. Elle ne lâchait pas ses mains et se balançait d’avant en arrière sur ses pieds.

- Et toi, alors ? Ce voyage en train, ça allait ? Hier soir, j’ai commencé à angoisser. Je me suis imaginée que ta valise restait coincé entre les portes du train et que tu ne voulais pas la laisser… Je délire quoi, comme d’hab’.

Rukia jeta un œil au sac en forme de guitare qu’elle avait remarqué en arrivant.

- En plus, tu sembles bien chargé…

© Princess *of the music*

La demoiselle regarda attentivement son amie qui lui racontait le rêve qu'elle avait juste avant de sauter du lit, et tout ce qu'elle avait fait jusqu'à ce qu'elle arrive à la roseraie pour retrouvé Emiko. Cette dernière la regarda de ses deux yeux d'eau étant assez envouté par l'histoire ou plutôt le rêve qu'avait fait son amie. Elle ne put pas répondre à quoi que ce soit, que Rukia repris la parole aussitôt.

-Et toi, alors ? Ce voyage en train, ça allait ? Hier soir, j’ai commencé à angoisser. Je me suis imaginée que ta valise restait coincé entre les portes du train et que tu ne voulais pas la laisser… Je délire quoi, comme d’hab’.

-En plus, tu sembles bien chargé…

En effet Rukia a raison, Emiko est plutôt bien chargé, en même temps, elle a presque tout pris chez elle. Enfin tout non, que l' essentiel, des vêtement, sa guitare puis deux trois truc en plus... Enfin deux trois... si on veut. Et puis il y a son ombrelle en plus, et puis elle est pas petite l'ombrelle. Mais bon... Emiko posa son regard sur ses affaires qu'elle avait laissé de l'autre côté du banc, elle lâcha doucement les mains de son amie pour aller près de ses affaires. Elle pris d'abord sa basse sur son dos, puis elle regarda de nouveau Rukia.

-Oui je le suis, j'ai a peu près pris tout ce que j'ai besoin... Ma basse, des vêtement, mon ombrelle puis d'autres choses en plus. J'allais pas laissé ma basse chez moi...

Elle la regarda dans les yeux, puis pris son sac sur son épaule, et son sabre en main qui est toujours caché par le tissu. Elle alla ensuite se mettre devant son ami, avec un sourire au lèvres, même si au fond, elle voulait surtout rentrer, pour éviter à ce que son amie lui pose trop de questions, surtout sur son père. Car elle sait qu'elle ne pourra pas retenir ses larmes là. Elle pris une longue respiration tout en fermant les yeux, elle souffla doucement en rouvrant en même temps ses yeux en regardant son amie dans les yeux.

-Tu me fais visité ? Je ne sais pas où est ma chambre après tout... Et puis, il fait chaud dans la roseraie... Sinon on va cramé.dit-elle assez amusé. Puis elle reprit après une pause, passant doucement sa main dans les cheveux de la demoiselle aux yeux écarlate.Toujours aussi beau tes cheveux, ainsi que tes yeux d'ailleurs.
Tu n'as pas trop regretté juste après d'être parti de Gikami depuis noël dernier ?

Elle fit tout... Elle fit tout son possible pour qu'elle puisse que elle lui posé des questions, elle ne voulait pas que ce soit le contraire et puis après tout, c'est dans doute à Rukia que Gikami manque tant, et puis Emiko ne connait rien de cette ville, c'est encore un mystère pour elle. Elle retira doucement sa main des cheveux de Rukia qui sont attaché en queue de cheval, mais elle garda une de ses mèches de cheveux en main, pour doucement joué avec et elle la lâcha complètement quelques minutes après. Elle lui pris doucement sa main, et commença doucement à marché avec elle vers la sortie de la roseraie, elle l'empêcha presque de répondre trop vite a ses questions. Elle la regarda du coin de l'oeil, la fixant de ses deux yeux, a vrai dire, la petite bouille de chaton de Rukia lui avait beaucoup manqué. Elle voulait passé beaucoup de temps avec elle, si elle pouvait et si elle le saurait c'est d'allée voir le principale du lycée et de lui demandé si elle peut être dans la même chambre que Rukia à l'internat, mais elle pense que ce serait une demande inutile car il lui dira sans doute un non des plus stricte et qu'elle devra être avec ses compagnon de chambre comme prévu avec qui elle a été mise.

Elle rêvassa doucement en pensant quel vie elle va vivre ici, est-ce aussi mouvementé que Gikami ou est-ce beaucoup plus calme. A peine arriver ici, elle a eu une impression assez bizarre ici, un grand manque de solidarité, mais aussi une odeur assez bizarre qu'elle connaissait, c'était vraiment familier pour elle, une odeur... Une odeur qui peut attirer certain, mais que dans les livres car ils sont qu'une légende... Une odeur de sang... Oui, elle avait tout de suite sentit ça en sortant de la gare... Mais bon, elle est habitué après tout elle a vue son propre père mourir dans la même maison où elle habitait jusqu'à maintenant, mais la seule chose qu'elle aurait peut être vraiment peur c'est de perdre quelqu'un qui lui est cher et en particulier la demoiselle aux cheveux châtain à ses côtés...

♥ **Chaton** aux yeux de **sang** ♠

Etrange.
C'était le premier mot auquel Rukia avait pensé pour qualifier leur discution. Il y avait comme une sorte de malaise dans la voix de son amie, quelque chose de génant, une inquiétude. Et ses yeux bleus le confirmaient. C'était une impression... étrange, tout simplement. C'est le genre d'impression qu'on a quand, petit, on a fait une bétise et que l'on fait tout pour la cacher. Mais avec quelque chose de pesant en plus. Une tension ? Peut-être. La brune ne serait le dire. Mais son amie, elle, sûrement. Elle lui arracherait les verres du nez, se disait-elle.

Elle suivait Emiko des yeux tout en réfléchissait comment abordé le sujet. Cette dernière venait de mettre sa guitare – ou basse, Rukia n'en avait aucune idée – sur son dos.

- Oui je le suis, j'ai a peu près pris tout ce que j'ai besoin... Ma basse, des vêtement, mon ombrelle puis d'autres choses en plus. J'allais pas laissé ma basse chez moi...

C'était bien une basse.
Mais d'où venait-elle ? Son dernier instrument de musique avait été violement cassé par son père lors d'une dispute. Elle se rapellait que M. Tsukiyomi lui avait promit une nouvelle basse à condition qu'Emiko mette plus d'ardeur dans ses études. Et il fallait croire qu'elle est réussit.
Nouvelle chose étrange, elle ne lui en avait pas parler. Ou du moins, il ne lui semblait pas que son amie lui en ait parlé. Semblait. Rukia devait avouer qu'elle avait été plutôt distraite lors de leur dernières communications téléphoniques pour des raisons... x et y.

Emiko prit le reste de ses affaires pendant que Rukia restait sans bouger et en pleine réfléxion à la regarder. Son gros, voire énorme, sac donnait l'impression que la jolie brune n'avait pas prit que le stricte minimum. Son sabre, lui, était plutôt innatendu pour toute personne qui ne la connaissait pas. Car il faut l'avouer : à première vue, Emiko est loin d'être une fille effrayante qui pourrait être violente.

- Tu me fais visité ? Je ne sais pas où est ma chambre après tout... Et puis, il fait chaud dans la roseraie... Sinon on va cramé.

Emiko s'était raprochée et lui souriait. Elle répondit à son sourire en esseyant de se concentrer sur ce qu'elle disait. Rukia hocha de la tête pour approuver les dernières paroles de son amie. La brune carressait doucement ses cheveux. Rukia la laissa faire.

- Toujours aussi beau tes cheveux, ainsi que tes yeux d'ailleurs. Tu n'as pas trop regretté juste après d'être parti de Gikami depuis noël dernier ?

Du compliment à la facheuse question, il n'y avait eut qu'une demi seconde. Rukia était bloquée. En plus de ne pas si attendre, elle n'avait pas franchement envie d'en parler. Son village lui manquait, les gens de làs-bas lui manquait, sa maison lui manquait et par dessus tout, son grand-frère lui manquait et – bien que mort – il restait dans l'esprit de la brunette lié à ce petit village.

Elle entrouvrit la bouche dans l'espoir qu'une phrase, un mot sorte. Mais rien. Emiko jouait avec une mèche de ses cheveux qu'elle relâcha après un petit moment. Elle s'empara ensuite de la main de la brune.

Rukia en était sûre maintenant : Emiko avait un problème.

Elles s'approchaient de la sortie de la roseraie et juste à entendre les bruits de l'exterrieur, on devinait que des gens s'étaient réunis dehors. Rukia se stoppa nette et tira Emiko vers elle. Elle la regarda dans les yeux, bien décidée à éclaircir tout ce brik-à-brak dans sa tête.

- T'es bizarre, Emiko... Qu'est-ce que t'as ? Qu'est-ce qu'il se passe ?

Rukia lâche sa petite main et passa ses doigts sous les lèvres puis sous les yeux d'Emiko.

- Tu n'as pas l'air comme d'habitude.

Cette journée promettait de sérieux... inattendus ? La brunette n'aimait pas ça. Tout allait trop vite et se bousculait. Qu'est qu'elle avait envie d'aller se recoucher...