[X] Prédéfini - [ ] Inventé

* Age: 19 ans
* Date de Naissance: 02 Décembre 1991
* Surnom(s): Shika
* Orientation Sexuelle: Hétéro pour le moment.
* Sexe: [ ] Féminin / [X] Masculin
* Origine(s): Japonaise
* Groupe / Matière Enseignée: Kazuki


- Mon Histoire -

J'étais né dans un monde où la vérité se jouait de moi. J'étais, et je serai parmi tous les autres jusqu'à crever d'une mort con ou banale. Ce que je veux dire, c'est que la mort n'était pas faite pour moi, je la craignais comme je la combattais, et il était hors de question de perdre un pète de ma vie, que je considèrerai comme du gâchis. Mais revenons en à ma naissance, là où il m'était encore impossible de penser et de me souvenir parce que tout être était censé apprendre, marcher, parler, aimer.. Aimer ? qu'est-ce que mot doit-il évoquer ? Hum.. non, ma naissance n'était qu'un brouillard impénétrable.

A mes quatre ans, j'avais avec moi une compagnie pour le moins agréable, que je ne considérai pas comme étant une intrusion. Je n'en ai jamais été jaloux, pourquoi l'aurai-je été ? Après tout, la solitude n'était pas faite pour moi en ces débuts plutôt aisés. Et c'était peu de le dire. Ma famille ne croulait pas sur l'or mais presque. Le pire fut le silence de nos parents. Durant nos premières années, une seule personne nous donnait l'amour, essence qui permet d'essuyer les maux d'une vie. Vous comprenez ça..? Nous n'étions pas seuls, et même si mes parents préféraient leur vie de pacha, moi je préférai m'occuper de ma sœur quand notre Gouvernante n'était pas là, ou lui laisser le flambeau lorsqu'elle faisait acte de présence. Car ELLE restait à nos côtés. Si je débordais d'énergie, outre mon hyperactivité, j'éprouvais tout de même des sentiments dirons nous normaux pour ma seule famille. Ma soeur, Yumi, et notre seconde mère, Ai. Je sais bien que nous n'avons jamais qu'une seule mère, mais des cas particuliers remettent en doute le définition de Mère.

Quelques temps plus tard, l'envie m'a pris de m'essayer à la natation, au basket et à la guitare. J'étais doué en pas mal de choses, c'était un fait indéniable. Mais j'avais un défaut irrécupérable. J'avais beau avoir dix ans que je montais déjà sur mes grands chevaux pour finir ensuite la tête à l'envers. Je cherchais les noises à bien plus vieux et plus forts que moi. Grand bagarreur dans l'âme, la seule et unique personne qui pouvait me calmer n'était autre que Yumi. Quant à Ai, je faisais en sorte de ne jamais l'impliquer dans mes affaires.. non parce que la blondinette qui me servait de soeur .. c'était une toute autre histoire, et pour cause. A chaque fois que je me baladais avec, la plupart des gars n'avaient qu'une idée en tête :"la draguer". Et c'était de pire en pire au fil des années, ce qui commençait à m'agacer prodigieusement. De toute évidence, il m'était impossible d'en faire part à mes parents qui brillaient par leur absence. Tout cela me pesait.. tandis que mon incertitude me rongeait, je ne savais si parler de mes soucis à ma soeur parviendrait à me soulager. Je n'avais aucun soucis mental, et encore moins de problème de santé, grand bien m'en fasse. En contre-partie, ma fragilité émotionnelle m'empêchait de vivre pleinement ma vie, ni plus ni moins. Oui, je n'avais vécu qu'un cinquième de la moitié de ma vie, mais j'étais tout aussi apte à comprendre ce qui m'entourait plus que ce que vous pouvez imaginer. J'étais cancre à l'école je n'arrivais pas à me concentrer en cours, et l'on me traitait d'incapable ou d'ignare, je vous passe les surnoms. Toujours est-il qu'il n'y avait que Ai pour me conseiller et m'aider à me focaliser sur ce que j'aimais en cours, pour ensuite me donner entièrement à mes études et à les comprendre. Ouais mais à cette époque je ne pensais qu'à m'amuser, voilà tout.

Alors qu'un jour j'étais malade, ma mère avait veillé sur moi, une fois n'est pas coutume. Je n'ai jamais bien compris cette période de ma vie, mais le simple fait qu'elle ait une fois accepté de s'occuper de moi, de prendre soin de moi m'avait totalement transporté de joie, de bonheur. Bien-sûr, des reproches brûlaient mes lèvres et mon palais qui ne souhaitaient qu'à sortir de cette bouche pour rendre coupable l'indifférence de ma génitrice. Seulement, pourquoi ne pas profiter de ce moment rare au lieu de briser l'occasion tout simplement parce qu'il avait fait une promesse à sa soeur. Outre ce fait, cette dite promesse avait été faite il y a si longtemps qu'il se demandait s'il fallait encore la tenir. Après tout, s'il pouvait récupérer au moins leur Mère, ne lui serait-elle pas gratifiante ?

Tourner la page pour un meilleur avenir, pourquoi Yumi ne le comprendrait pas.. ? Son but n'étant que de réunir sa famille, tout en incluant leur gouvernante. Car si ma sœur n'en faisait qu'à sa tête, mon envie à moi était d'évoluer, quitte à faire une croix sur mon passé où je n'étais pris en charge que par une inconnue qui au fil du temps était devenue comme une seconde mère, en qui j'avais confiance, à qui je pourrai encore me confier si elle me le demandait.

Pourtant, mes rêves ne se réalisèrent pas comme je l'entendais, bien au contraire. Au comble de la maladresse, j'essayais de franchir la porte de chambre de Yumi pour lui parler, de l'approcher dans le salon, ou de glisser un mot dans son oreille pendant le repas. Mais l'ignorance blessante de ma soeur me mettait la puce à l'oreille. Avait-elle appris mon rapprochement avec maman ? Décidément, plus le temps passait et plus il m'était difficile de la comprendre. ..
Puis vint le soir où je perdis définitivement mes deux proches les plus chers à mes yeux. Je ne souhaitais pas engendrer la peine ni le chaos dans le coeur de ma soeur, mais elle m'y obligea en sermonnant de la plus horrible façon nos parents. Moi qui pensais enfin nous rapprocher enfin, elle détruisit en quelques mots mon fragile château de cartes. Alors oui, je la trahissais pour elle tout comme je m'en voulais de la perdre. Mais ma vie me dictait un tout autre destin : celui de l'envol, de la liberté. Je n'avais qu'une envie, c'était de me casser d'ici, surtout depuis le départ d'Ai. A quoi bon si tout était cassé parce que ma sœur avait pété sa durite. A dire vrai... ma vie avait été tissée si maladroitement que je me jurai maintenant de ne faire confiance qu'à moi-même, jusqu'à devenir purement égoïste, au moins pour ne plus jamais souffrir.

Deux ans plus tard..

J'intégrais le lycée Daiki. Mes passions me quittèrent en même temps que mes amis. Plus rien ne me rattachait à Osaka et mon envie de ne plus avoir affaire à ma famille grandissait en moi. Barrer définitivement ce qui me servait de vie là bas pour mieux m'ancrer dans la ville de Konoha. Ouais, c'est ça.. ce fut pire que je ne le pensais. La plupart des jeunes glandait en classe quand d'autres dealait dehors sans trop de discrétion. Je ne m'essayais jamais à toucher cette merde, mais ce fut néanmoins mes premières fois où je m'étais mis à fumer. Je ne pouvais m'empêcher de me lancer dans le tabagisme juste pour calmer mes nerfs.
Pas de nouvelles de mes parents ni de ma soeur, et je m'enfermai dans ma chambre d'internat tout en cherchant la bagarre, comme à l'accoutumé. Mon envie de casser la gueule à plus d'un me prenait l'envie des fois à les tuer, avec une batte de baseball. Seulement, je ne pouvais me résoudre à devenir un meurtrier, surtout pour le salut de ma soeur et de ma copine actuelle. Car même si j'avais perdue une partie de moi, une autre demeurait... Il m'était impossible de blesser le coeur des filles, et ça n'avait strictement rien de romantique, rassurez vous. Du reste, je ne fis que grandir dans l'infime corruption des jeunes tandis que je devenais meilleur en classe, jusqu'à les démolir par d'excellentes notes.
Ce fut lorsque mon tout premier amour se fit tuer par un batârd de Hide, quand bien même il prétextait l'accident, que je me décidai à rejoindre un des clans, pour ensuite casser la gueule à celui qui avait osé me prendre une part de mon existence. Et c'est au bout de mes dix huit ans que j'appris l'identité du chef des Hide, et que mon sang ne fit qu'un seul tour, me consolant d'être assez con pour avoir cru qu'elle ne serait jamais entrainée dans la merde que nous-même connaissons aujourd'hui. Yumi Nara...

Pourtant... une part de moi souhaitait la revoir.
Pourquoi étais-je si perdu.

- Parce que le physique est aussi important -[/font]

Nous le voyons plutôt grand, dans les 1 mètre 85. La taille n'a jamais été pour lui un complexe, tout comme sa corpulence, considérant la proportion de son corps comme étant acceptable et normale. Des muscles ont été surtout développés au niveau des épaules et du torses, ainsi que dans les cuisses et les mollets, grâce à ses cours de sport fréquents. Mais il n'ira pas non plus en salle de musculation pour s'offrir un corps digne d'un schwarzenegger.
Notons maintenant son visage, attirant le regard des jeunes filles de par ses quelques particularités. Son visage plutôt lisse et anguleux est encadré par une chevelure éparse, en désordre, dont la teinte rappelle le plumage d'un corbeaux. Du reste il les a court et n'apprécie pas forcément de les avoir long, l'idée étant de ne pas trop s'attarder devant un miroir pour se faire une beauté chaque matin. Il possède sous ses yeux deux tatouages qui, a ses yeux, n'ont pas vraiment de signification, si ce n'est que le chiffre 69 lui rappelle une personne qui lui a été chère, et qui dans sa vie a disparue. Parlons maintenant du plus important, ses prunelles tout aussi noires que ses cheveux. Avec une aisance insolente, il captive n'importe qui avec son regard parce qu'ils sont criants d'émotions, trahissant même lorsqu'il ne le souhaite pas ses ressentiments. Il ne peut cacher ni sa peine, ni sa colère, ni son embarras, et se doit de rabaisser les paupières pour dissimuler ses expressions.
Pour finir, il affectionne les chemises unicolores ainsi que les débardeurs. Avec le temps il a appris à s'habiller sobrement, sans chercher à porter des poids, casquettes, et autres fantaisies qui gâcheraient justement son charme.

Il est à l'instar du feu quelqu'un de franc, de directe et de très intelligent. Alors qu'on le penserait impulsif et plein de fougue, il est à l'inverse calme et réfléchi. Là aussi, le temps lui a forgé une personnalité bien plus lourde et mâture que lorsqu'il était jeune, et ce, depuis qu'il ne vit plus avec sa soeur, ni avec sa gouvernante. A croire qu'elles avaient un effet libérateur sur lui. Silencieux, il ne parle que de manière concise, ne souhaitait s'attarder dans la palabre. Pour lui, il n'y a que par les poings qu'il peut converser. Lorsqu'il s'agit de femme en revanche, c'est un beau parleur. Il bannit de surcroit les insultes, pour lui c'est une atteinte intolérable à son ego, imposant par conséquent son langage courant aux autres, et fait ravaler la verve du plus téméraire par un verbe des plus acerbes. Le jeune homme est doté d'un calme extraordinaire qui se fond avec son impassibilité (dépendant de la situation) faisant de lui une véritable énigme. Il a beau être expressif, il n'en demeure pas moins étrange et incompris. Il est protecteur, à n'en point douter, doué d'un être d'instinct. De ce fait, il préserve du danger son entourage, notamment sa soeur s'il devait la retrouver, quand bien même leur relation s'est détériorée avec le temps. Et comme au combat, il se débrouille plutôt bien.. mais ce n'est pas le plus fort des Kazuki, loin de là.

*o*
Ca me vaaaaa ausssiiiii!

Humf..Re-bienvenue au fait. :3
Et merci de ton DC. x)
*J'ai un frère! *w* *

Ta fiche est superbe.
Et ça me convient parfaitement pour le rôle de mon frère. (:

Donc c'est bon, validé puisque tout le monde est content. (A)

En espèrant que tu t'amuses toujours autant!

Bon jeu! =D