Arrivé du bras droit des Kuragari ( Libre ).

**° Bras droit d'Aiden °**

La journée avait été belle. Le beau temps avait accompagné Emon durant sa première visite de Konoha. Le jeune Kuragari parcourant les rues ensoleillées de la cité ressentait un sentiment grandissant. Il leur fallait cette ville. Aiden ne s’était pas trompé, comme toujours… À la fois belle et majestueuse, elle était parfaite pour accueillir le siège principal du clan.
Seulement, cette tâche que s’était confié le clan rencontrait quelques légers problèmes. En effet, ils n’étaient pas les seuls dans cette ville… D’autres clans y avaient élu domicile : Les Hide et les Kazuki. Tous deux étaient des obstacles plus qu’encombrants, mais ne tiendraient pas longtemps contre eux. C’était évident, ou trop gentil, ou animé d’une haine envers leurs propres alliés les adversaires des nouveaux venus étaient trop dispersés et manquaient d’un sentiment unitaire.
En cela, les Kuragari les surpassait de loin. Le patriotisme que chaque membre éprouvait avait déjà été prouvé lors de maints combats. Leur unité sous la bannière de leur chef était totale. Une véritable joie pour Emon Tsukinawa. C’est peut-être grâce à cela qu’il arrivait à supporter l’envers du décor de cette famille... Les massacres, les meurtres, les vols. En tant que bras droit, il se devait d’être impitoyable et juste. Même aux dépens de ces envies, de ses désirs.

* Le bien être du groupe est plus important que celui d’une entité seule… *

Lorsque Emon se voyait forcé de commettre des actes ignobles, cette phrase résonnait dans sa tête comme une lumière au bout d’un tunnel particulièrement sombre. La nature foncièrement bonne du jeune Tsukinawa accusait les coups… Parfois, il craquait émotionnellement en raison des atrocités commises pendant la journée… Mais de retour parmi les siens, un seul sourire d’un membre de son unité, de son groupe, de son clan le remettait sur pied. Et tant pis pour la conscience…

En même temps que ces vagabondages intérieurs, Emon arrivait doucement à destination. Une grande porte se tenait maintenant devant lui. Elle ouvrait sur le lycée à conquérir. Respirant un bon coup, le rouquin donna un grand coup d’épaule dans la porte, et se glissa dans le bâtiment, sac sur le dos.
Le hall d’entrer était impressionnant. L’architecture était travaillée et la décoration lui donnait une ambiance magique. Emon eut un petit pincement au cœur lorsqu’il eut la pensée qu’il y aura sûrement des dégâts lors des évidents combats à venir. Mais celle-ci se remplaça ensuite par la certitude qu’ils reconstruiraient les éventuelles destructions.
L’arrivant déposa son sac à terre et prit quelques longues respirations. Ainsi, c’est ici qu’habitaient les ennemis. Dommage que ceux-ci leurs avaient clairement informé de leur désir de combattre. Il aurait été plus facile pour les deux parti que les futurs et inéluctables perdant se rendent directement. Un léger frisson parcouru l’échine du garçon à l’attitude pragmatique.

* Il ne faut tout de même pas trop s’avancer quant à l’issue des événements. Trop nombreux sont les gens qui nous ont sous-estimé pour ensuite finir à la merci de nos poings…*

Une nouvelle longue journée s'était encore terminée sur le lycée Daiki. Le rayons du soleil viraient à une couleur rose pâle, mélangée à de l'orange, et dans les couloirs, les élèves qui venaient de terminer leurs cours s'empressaient de rejoindre leurs amis ou descendaient dans le parc pour profiter des derniers instants de soleil.
Un mince sourire s'étira sur les lèvres d'Elvira quand elle regardai par la fenêtre ses compagnons courir de joie dans l'herbe ou d'autre qui riaient avec son groupe. C'était le début de l'été, mais aussi la fin de l'année scolaire. Bien que tout le monde l'attendaient avec impatience, certain avait la mine triste rien qu'a l'idée d'abandonner leurs amis et leur lycée bien-aimé. Comme toute les fins d'année...
Cependant, cette année était légèrement diffèrente. L'empressement que ressentaient les élèves étaient plus important. La cause ? Les Kuragaris, bien entendu...
Les Hides et les Kazukis avaient beau dire que le combat contre ce clan allait être impitoyable et qu'ils mettraient tout en oeuvre pour les contrer, mais le doute subsistait et l'inquiètude montait dans les esprits troublés des lycéens.
Ce n'était pas le cas d'Elvira. Même si certain la considérait comme Kazuki, elle était seule et n'hésiterait pas une seconde à se lancer seule dans une bataille. Parce que tous ont droit de vivre sereinement. Parce que perseonne n'a le droit de décider les biens d'autrui.
C'est avec cette pensée que la jeune fille descendit lentement les marche du grand escalier. Elle aussi voulait profiter du couché de soleil pour marcher à l'ombre des grand magasins.
Elle commença à traverser l'immense hall quand elle remarqua une silouhette, en plein milieu de la pièce. C'était apparement un jeune homme, qui semblait à la fois désorienté et confiant, comme s'il savait exactement ce qu'il faisait. Il regardait à droite et à gauche, avec une étincelle d'éttonement dans ses yeux.
Que faire ? Etait-ce un nouvel élève ? Elvira ne bougea pas et fixa tranquilement le garçon. Il n'avait pas encore remarqué sa présence et lui tournait le dos. Sa posture était droite et confiante. Il parraissait très sûr de lui. Comme...
Après quelques instants de reflexion, Elvira en vint à la conclusion que ce jeune homme devait être un nouveau et elle commença à avancer doucement vers lui.

-Je peux t'aider ? lança-t-elle à l'inconnu en abordant un sourire qui se voulait rassurant.

**° Bras droit d'Aiden °**

Emon se retourna. Il afficha un sourire. Extérieurement, on aurait pu croire le garçon serein et sans souci, on aurait pu croire qu’il répondait simplement au sourire de la jeune fille. Mais intérieurement, il bouillonnait et si on regardait bien, son regard s’échappait à droite et à gauche. Il détailla rapidement la jeune fille.

* Merde, c’est pas une Kuragari ! Pas d’arme ? Non, sa va. Encerclement ou embuscade ? Non plus… Calme mon grand, pas de danger. Elle vient simplement te demander si tu à besoins d’aide. Il n’y a pas de ruse.*

L’interlocutrice du jeune homme semblait calme, elle. Il espéra que ce bref moment d’analyse lui était resté invisible. Mais peu de chance que se soit le cas, il le savait. De taille moyenne, la jeune lycéenne abordait donc une posture d’accueil. Quelques signes prouvèrent au Kuragari qu’elle se voulait rassurante. Pas malfaisante. En fait, elle ignorait sûrement qui il était et quel était son clan. Tant mieux, mais inutile de garder une façade neutre plus longtemps. Le jeune garçon garda son sourire, plus franc cette fois et tendit sa main à l’inconnue. Aiden n’avait rien ordonné pour le moment. Autant donc être non-violent et aimable. Pour le moment…

- Bonjours, je m’appelle Emon Tsukinawa. Je suis le bras droit des Kuragaris. Merci, mais je n’ai aucunement besoin d’aide. Bien que nos clans soient en guerre, je souhaiterais ne pas avoir de conflit tant que nos hostilités n’aient pas définitivement commencé. Nous avons déjà tué une personne, je ne m’en excuse évidemment pas, mais nous aimerions garder le chiffre des victimes mortelles à une seule…

La main toujours tendue, le jeune homme n’avait pas abandonné son sourire, mais se tenait prêt à bouger rapidement pour contrer toute action qui lui serait nuisible. Maintenant qu’elle connaissait son identité, il était possible qu’elle ne soit plus rassurante du tout !
À ce moment, Emon remarqua les yeux de la jeune fille. Ils étaient gris. Ils reflétaient une grande gentillesse, mais de cette gentillesse qui rendait certaines personnes stupides. Non, il était évident qu’elle pouvait être aussi froide que l’acier autant que gentille et douce.

- Quel est votre nom ? J’espère que vous me répondrez à moi, votre ennemi. Pour vous persuader à me le dire, je ne ferais que vous rappelez que même entre ennemis, un respect mutuel est de bonne augure. Et que pour ma part, vous avez mon respect le plus total pour vous êtres proposés à aider un inconnu, surtout durant cette période des plus troubles.

Le garçon au cheveux étrangement orange se retourna vivement et observa un certain moment Elvira. Il semblait inquièt et la détailla de haut en bas. Elvira perdit son sourire quelques instants. Elle detestait qu'on l'observe ainsi

.

-Bonjours, je m’appelle Emon Tsukinawa. Je suis le bras droit des Kuragaris. Merci, mais je n’ai aucunement besoin d’aide. Bien que nos clans soient en guerre, je souhaiterais ne pas avoir de conflit tant que nos hostilités n’aient pas définitivement commencé. Nous avons déjà tué une personne, je ne m’en excuse évidemment pas, mais nous aimerions garder le chiffre des victimes mortelles à une seule…

Il avait parlé assez vite, comme pour s'assurer que la jeune fille l'écouterait jusqu'au bout.
Un Kuragari, évidement. Elle le savait depuis le moment où elle l'avait aperçu dans la pièce. Elle a rencontrer pas mal de Kuragaris depuis ce fameux jour où Hana fut assassiner, et tous affichaient la même expression de superiorité et dégageaient une certaine confiance.
Ainsi elle était tombé sur le bras droit des Kuragaris. Il semblait pourtant jeune et Elvira avait du mal de l'imaginer si haut gradé dans ce clan. En plus il se vantait presque d'avoir assassiner, lui et ses amis, la leader des Hides. Serait-il stupide, ou alors si confiant qu'il est prêt à tout avouer en prenant en compte les conséquence ?
Pendant quelques secondes, Elvira songea plutôt à la première suggestion. Mais le monologue qui suivit lui mit le doute :

-Quel est votre nom ? demanda le jeune homme avec un petit sourire en coin. J’espère que vous me répondrez à moi, votre ennemi. Pour vous persuader à me le dire, je ne ferais que vous rappelez que même entre ennemis, un respect mutuel est de bonne augure. Et que pour ma part, vous avez mon respect le plus total pour vous êtres proposés à aider un inconnu, surtout durant cette période des plus troubles.

Non, pas stupide. Le bras droit des Kuragaris, ce clan si méfiant et confiant, ne pouvait pas être stupide !
Ce jeune Kuragari devait être au contraire très intelligent. Peut-être même trop au yeux d'Elvira. Comment être sûr que le sourire du dénommé Emon n'était pas qu'une sorte de manipulation ?
Sans perdre son sourire, elle répondit calmement:

-Je suis Elvira Haïstuko et sache tout d'abord que je ne reconnait pas comme un vulgaire ennemi.

Elle l'observa quelques instants avant de reprendre:

-Tu es moins stupides que tu n'en a l'air. Je ne dit pas cela pour te blesser mais pour te faire part des idées que je me fait à ton attention.

Emon n'avait pas bougé, et restait immobile, telle une statue, en écoutant avec soin la jeune fille.

-C'était risqué, tu sais, de parler de Hana devant moi, qui la considérait comme une amie. Mais tu as de la chance de bien parler. Je ne crains pas les Kuragaris. Et même s'il fallait que l'ont me tue pour me faire taire, je continuerais jusqu'au bout de me battre, si je peux parler de combat.

Puis, elle leva les yeux vers ceux d'Emon en affichant de nouveau le même sourire qu'au départ.

-A prèsent que l'on à fait les présentation, en quoi puis-je t'être utile ?

§ L'Informaticienne **Folle** §

Si quelqu'un veut continuer qu'il me contact par MP

Power Verrouillette !