OS: KarenMindy, tu étais, tu es unique.

Invité

Karen(mindy)

Par Eva P.

Dédiée à Claire C. Et peut être à eux...

Histoire réel.

Mot de l'auteur:

Je voulais faire un brouillions pour ma rédaction sur Claire, sur nôtre veille... Amitié, si il en reste une dans son cœur à elle. Bref, malheureusement des sentiments on resurgit hier soir, Il était minuit là deux heures du matin... J'avais besoin de me rappelle qu'il existait ceux qui dans mon cœur il resterait. Je ne pouvais pas continué à fuir la réalité. Eux. Il y a tant de chose à écrire j'en ai encore et encore pour longtemps. Je recommencerais...

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Tu es la seul et l'unique, je n'aime pas quand tu n'es pas là.... Pas du tout !

J'étais jeune, je n'avais que dix ans le jour ou nous nous sommes parler. Je me rappelle encore nos visage souriant l'une parlant à l'autre par un seul intermédiaire: l'ordinateur. Le jour où je l'ai rencontré, j'ai changé. Le jour ou je l'ai perdu, je me suis perdu avec. Je me cherche encore aujourd'hui.

Juste besoin d'elle. Juste besoin de cette personne là, juste elle.

J'avais dix ans, j'étais jeune. Le jour où je l'ai rencontré j'avais cette âge, j'aimais passionnément le japon et tous ce qui y touché de prés. Aujourd'hui encore. Cette année là, j'aimais beaucoup allée sur des forums basés sur le « manga » (bd japonaise) ou les dessins animés. C'est ainsi que je l'ai rencontré. C'était sur un forum de « Magical Doremi », une série japonaise pour les enfants. Elle m'avait envoyé un message, en me disant qui elle était, j'étais contente car je pensais mettre trouvé une amie. Cependant je n'avais pas répondu à son message, elle avait un ans de plus que moi et son pseudonyme était KarenMindy. Plus tard, elle s'inscrivît sur un de mes forum sur le manga, un rôle play (on invente un personnage et on le joue), elle avait le même pseudo, après tous cela je l'avais ajouté un windows live messenger: MSN. C'était le seul moyen de lui parlé. J'adorais lui parlé, elle était joviale, amusante, étonnante etc... KarenMindy dont le vrai nom était Claire mais que nous appellerons Karen, était toujours là pour moi. Je faisais de même. Karen était une jeune fille très gentille mais j'avais toujours eu l'impression qu'elle était ml dans sa peau du moins quelque chose dans le genre, elle était comme ma sœur et le sera surement toujours. Elle vivait très loin de chez moi et cela m'attristais beaucoup c'était ma seul vraie (cyber-) amie.

[...]

Avec le temps, j'avais compris que Karen et moi nous nous ressemblions vraiment, je ne lui avais pas dit qui j'étais réellement. Je lui avais menti sur mon identité mais je le savais qu'elle savais déjà que tous cela était un mensonge j'étais trop mauvaise pour mentir. Pour lui mentir. Je lui avais raconté que j'étais la jeune fille d'un célèbre dessinateur de manga, et que j'étais japonaise et avais seize ans. Un pure mensonge. Mais je me rend compte avec le temps que ce n'est pas à elle que j'ai voulu mentir... Mais à moi. Je ne voulais pas être ce que j'étais, je ne m'acceptais pas. Quand elle eut découvert la vérité, elle ne m'en voulut pas le moins du monde. C'était la première fois qu'une personne me pardonnée ainsi. Sur un mensonge qui avait pris de l'ampleur avec les années. Karen était la personne que j'aimais le plus, elle était celle dont j'avais besoin pour vivre. Je me rappelle encore comment je rigolais en sa présence, comme je n'avais jamais rigolé. Je ne pouvais m'empêcher de rêver qu'un jour nous nous verrions, je pense que je lui aurais surement sautée dans les bras, pleuré, rit... Et encore, pleuré. C'était ma meilleurs amie, la seul et l'unique et tous le monde le savais, c'était comme ma femme. Je me rappelle encore de nos discutions interminable jusqu'à tard dans la soirée, c'était tellement bien... Personnes ne pouvaient être aussi heureux que moi en cet instant.

Tu sais bien que sa ne marcheras pas, si je ne te vois pas une fois ! Karen...

Nous ne pouvons pas nous voir, elle habitait trop loin pourtant un jour, elle est venu. Or, je ne lui parlais plus. Je ne pouvais plus c'était trop fort.... Elle ne m'avait pas prévenue de sa visite donc nous n'avions pas pu nous voir, j'étais tellement triste. Tellement !

C'était il y a longtemps, ma famille. Claire, Tony, Hélène, Gregory et Marie. Nous étions une grande famille, Claire (Karen) était la plus vielle avec Gregory (Greg), Tony (Sika) et moi, Eva (Kaede) étions les plus jeune après Marie (May). Je me rend compte, que nous étions tous très très proches, plus proches que tout. Aujourd'hui je ne sais pas... Je ne sais plus, j'ai tous coupé. Un bonheur ne dure jamais longtemps. Jamais.

Marie était plus jeune que moi d'un ans, elle était toujours la petite, mais on l'aimait tous démesurément, bien sur elle essayée toujours d'arranger les problèmes et parfois comme nous tous en avait plus que marre, elle était toujours amusée et amusante.

Tony était mon premier cyber-amour(eux), il m'avait fait rire et « chouchouté » comme personnes, et il a souffert comme personne. Je crois. Il était amusant, vraiment, il aimait beaucoup nous taquiner.

Gregory, nôtre grand méchant loup... Il avait un drôle de caractère toujours entrain de racontée des chose sans queue ni tête, il était très... Étrange un peu décalé même... Mais c'était un bon vivant, il faut le dire. Il était adorable, dans son genre.

Hélène, ma sœur. La fille la plus sympathique que j'ai connu, jusqu'ici, je l'ai toujours aimé comme une vraie sœur, elle m'amusait comme les autres et elle avait des défauts qui me la faisait aimé encore plus d'avantage de jour en jour.

Karen. C'était elle, celle qui me rendait toujours de plus en plus heureuse, comme les autres, mais plus. Elle était toujours entrain de me parlé, de raconté des blagues. Nous étions jeunes. J'aimais tant nôtre chansons des TB3 (to be three)... Je t'aimais tant.

[...]

Cette famille était ma force de survivre, je leurs avait donnée à tous un bout de mon âme, plus je leurs en donnée plus je me décomposée et à force de me décomposée, je nous ai tuée... Non. Je me suis tuée. J'aimais beaucoup nos délires à tous, ensembles c'était magnifique, j'étais la leurs. Je me rappelle comme j'étais malheureuse à chaque dispute. Le jour où tout à commencée, je n'ai plus voulut continuée, pourtant... Je m'obstinais.

Je t'aime ! Bordel ! Je ne pouvais jamais m'en sortir... Je ne veux pas d'un moi sans vous !

Je me rappelle, le jour de nôtre première et vraie dispute, où plutôt le sentiment. Le départ de Sika, les changements radical que nous avions du prendre. Je me rappelle de la souffrance à laquelle je me supportais et faisais souffrir ce que j'aimais, bien sur c'était idiot. Idiot car c'était que du visuel, l'ordinateur, msn et tous cela... Mais, eux étaient là et je pouvais rêvée avec eux, leurs présence m'étais indispensable, je ne pouvais pas.. Les perdre.

[...]

C'était il y a deux ans jour pour jour, Karen avait décidé de partir, ou de me bloquée cela reste floue. Je me rappelle très bien les larmes que j'avais déversé à torrent, je pleurais comme personnes ne m'avais jamais vu pleuré. J'étais comme une veuve pleurant son défunt mari. Je ne voulais pas qu'elle parte, je ne pouvais pas la voir m'abandonner. J'étais si malheureuse. La mort, c'était si simple d'y pensée à ce moment, mais je n'avais pas ce cran, je ne l'avais jamais eu. Je voulais mourir pour ne plus ressentir. Simplement mourir. Mais je voulais être avec elle, je voulais être auprès d'eux. Puis elle partit, longtemps... A mon goût. Et elle revint, enfin, je ne sais dire si cela faisait des mois ou une semaine, Sika aussi revint nous bouleversé et les disputes reprirent et j'en passe... Les déchirement et la fin.

Je te promet de toujours restée auprès de toi, May.

Elle avait grandi si vite que j'avais tout raté, je lui avait pourtant promis d'être auprès d'elle, de toujours la surveillée, j'agissais comme sa mère. Je ne voulais pas qu'elle grandisse car j'avais peur de la perdre elle aussi, ma petite May, Marie. Je l'aimais tant, et l'avais tant fait souffrir. Pourtant elle est resté mon seul lien avec eux... Mais depuis tous cela je ne pu me résiliée à me rappelé à eux. Je me rappelle la dernière fois que je lui avait parlé, à Karen. (2007 - 08 ?)

Elle avait changé, on avait eu une discutions brève, très banal le bonsoir et le au revoir allée très bien ensemble en ce temps. Elle m'avait manqué, j'avoue. Mais je ne voulais pas, je n'y arrivais décidément pas. Je ne pouvais pas leurs, lui, me pardonnée. J'avais beaucoup trop mal. Je n'était pas guéris. Aujourd'hui je me rends compte, quand les abandonnant ce n'est pas eux que j'ai voulu fuir, c'était moi et ce que j'étais devenu, aujourd'hui, j'avais et j'ai toujours et encore perdu ce rire, ce vraie rire... A qu'il avait le droit. Pourtant... tout avait si bien commencée, j'étais prête à leur pardonné, non, à me pardonné. Mais la goutte avait fait débordé le vase. Le déménagement d'Hélène, Karen m'avait confié s'est doute sur leur amitié et allé tout arrêtée. Comme d'habitude, j'avais tout raconté à l'intéresser pourtant elle savait déjà, Sika, Tony, lui avait déjà tout dit. Et pourtant c'est moi qui me suis tout prit. Ce jour la j'aurais du et je le sais, me taire mais c'était trop fort. Trop dure. C'est là, à ce moment précis que j'ai tout abandonné. Je ne voulais pas affronté Ça, s'en était de trop. Je ne voulais plus.

[...]

« Je te le promet ! »

Je m'en rappelle comme si c'était hier, aujourd'hui encore. Je lui avait promis de ne pas l'abandonnée et pourtant c'est ce que j'ai fait à mainte reprise. Le cœur plein. Pourtant cette fois ci je l'avais tenu ma promesse... Du moins physiquement. Elle était dans mes contactes et l'ai toujours, mais nous nous parlions plus, et c'est toujours ainsi... Ils me manquaient tant. Je voulais leurs reparlé mais après ça, je n'en avait pas la force surtout de recommencé cela, je me (leurs / lui est) suis enfin pardonnée. Je ne voulais pas qu'ils m'abandonnent car je ne voulais pas être seul, je me l'ai appropriée comme une enfant possessive. Je ne supportais pas l'idée qu'il m'oublie. Aujourd'hui j'ai enfin compris.

Q u e q u e l q u e p a r t d a n s l e m o n d e , u n e p e r s o n n e m ' a t t e n d a i t , j e n e v o u l a i s p a s c r o i r e q u ' i l s m ' o u b l i e r a i e n t j e l e s v o u l a i e n t . C ' é t a i t m a f a m i l l e , m e s m e i l l e u r s a m i s , c ' é t a i t l e s s e u l s . A u j o u r d ' h u i i l n ' y a p l u s r i e n e t j e c r o i s b i e n q u e c ' es t g r â c e à m o i .

E v a P . K a e d e . Merci de m'avoir rendu heureuse. Merci du fond du cœur. D'avoir été ma famille. Merci d'avoir tous fait pour que nos rires viennent de nos pure cœur... Merci... Merci... Merci.

« On le sait tous, elle a toujours été ta préférée. » Darklii

« Je sais pas. Je l'aime c'est tous et vous aussi ! » Kaede

MERCI !

S'pèce de banane !
Je t'aime...

♦ Démone aux Multiples Facettes ♦

God Eva.
J'viens de le lire avant là.
J'ai peur de le relire, là.

Jaime. J'aime parce que c'est beau. Beau et triste.
Cest dur de lire ca et de se dire que c'est vrai.
Mais c'est beau tout de même.
Parce dans la pire des souffrances, il y aura toujours une part de beautée.

J'aime.
J't'aime.

Sublime OS.

Invité

Comme tu le sais, je ne l'ai jamais relu' depuis le jour où je l'ai écrite.
Aujourd'hui, c'est fait. Les fautes me sautent au yeux mais je m'en fiche.

Si des gens la connaisse qu'il ne dise rien, c'est mieux ainsi.
Une histoire qui a détruit une partie de mon coeur, de mon âme, de ma vie elle-même qui avec le temps fait avec.

Je suis heureuse de l'avoir posté, mais sans plus. C'est un sentiment parmis tant d'autre.

Merci Marie, merci pour tout.

eh bien...*a comme qui dirait un pincement dans le coeur en lisant ca*
Ton histoire est vraiment...je ne sais méme pas les mots T_T