Le bruit du réveil indiquant le premier jour dans un nouveau lycée, Kuragari s’assit sur le bord de son lit, la tête dans le cul, comme dirait l’autre et se gratta le haut du crane en baillant, il prit les vêtements préparé la veille et se dirigea vers la salle de bain, cognant au passage contre la porte de son frère au cas où il ne se serait pas réveiller, une bonne douche plus tard, il descendit dans la cuisine, le son de la télé provenant de la pièce voisine lui indiquait que son père était soit lever très tôt, soit n’avait pas dormis de la nuit, ou encore avait laissé la télé allumée, il n’y prêta pas attention s’il avait le malheur de déranger son père il se ferait fracasser et il ne tenait pas tellement a avoir un visage tuméfié dès le premier jour, il avait du changer d’école justement a cause de cela, les enseignant le prenait pour un enfant a problème, comme son frère d’ailleurs, et avait donc décidé de le renvoyer, bien que ce n’était que la faute de son abruti de père, parfois il avait envie de se mettre face a lui et lui hurler « BAKA ! » toute la journée, mais bon cela finirait par un poing en plein visage avant même ma deuxième syllabe, il prépara son déjeuner et celui de son frère, rangea ses affaires et pris une cannette de soda dans le frigo, elle était bien fraiche cela lui ferait du bien surtout ici ou il régnait une chaleur plutôt agréable mais parfois pesante.

-Oi ! Ishi’ dépêche toi un peu Baka !

En effet l’idiot aux cheveux azur trainait comme d’habitude, il se prélassait soit dans son lit soit sous la douche, Kuragari avait terminé son déjeuner et son sac était fin prêt, espérant que le lycée n’obligeait pas les uniformes, enfin on peut rêver, selon le lycéen c’était totalement dénué d’originalité, les gens se ressemblait tous, meilleur moyen pour créer des robots tiens…Bref ne s’en souciant pas trop, après tout il avait déjà enfiler son blue jean et son t-shirt rouge, pas question de ce dessapé, machinalement il passa sa main a son cou pour vérifié que sa chaine s’y trouvait toujours, rassuré il se dirigea vers la porte d’entrée et enfila ses chaussure, prêt a partir il entendit des pas derrière lui, il vit son père, ce dernier visiblement mal réveiller tenait, pour ne pas changer, une canette de bière vide a la main.
Comment pouvait-il savoir qu’elle était vide ? Parce que ce gros tas la lança au visage de son fils, qu’il manquât heureusement et enchaina en lui hurlant une question :

-T’a pas acheté de bière comme je t’ai demandé !?

-J’avais pas le….

Le coup partit comme un boulet de canon, l’empêchant de finir sa phrase, l’homme décocha une droite bien sentie dans la tête de Kuragari puis repartir rn grognant, le lycéen se tenait la mâchoire, il sorti sans dire mot et claque la porte dans un petit excès de colère, il marcha deux trois mètre puis se posa contre une façade de maison, massant son menton douloureux, d’un coup il sentit un liquide chaud couler sur sa main et lorsqu’il regardât de plus prêt, il vit son sang, l’autre imbécile l’avait frappé avec sa bague et l’avait blesser a la joue gauche.

-Kusoh !

Crachant son juron il prit son mouchoir et le pressa contre sa blessure, il sortit sa cannette de soda, toujours fraiche et l’appuya contre le mouchoir pour faire compresse, il attendit que son frère sorte de la maison, presque, familiale et se dirigea avec lui vers le lycée, se tenant toujours la joue avec sa poche a glaçon artisanale, dont le mouchoir, auparavant blanc, venait de virer au rouge.

-Ca commence bien pour un premier jour ! Enfoiré de vieux con.

Ils arrivèrent en vue de l’établissement scolaire et se stoppèrent a l’entrée, jetèrent un coup d’œil sur la foule d’élèves se trouvant la et puis se dirigèrent vers le hall d’entrée, arrivé la le blanc total, ne sachant ou aller, Kuragari resta planter la et regarda son frère dans le style : « On fait quoi ? »

Kuragari venait juste de remarquer que son frère avait lui aussi été blessé, bordel ça sera beau le premier jour !, Enfin maintenant il savait ou ils devaient aller en premier, l’infirmerie.
IL vit que Ishimaru tenait sa veste a l’écart des goute de sang qui perlait sur son visage pour finir par s’écraser sur le sol, en même temps cette veste c’était leur mère qui lui avait offerte, non il a pas grandit avec, juste que la pauvre c’était vraiment trompée de taille, enfin c’est que croyait Kuragari, de toute façon, Ishimaru avait la bonne taille désormais et tenait a cette veste plus qu’a tout, l’ainé le comprenait il réagissait pareil pour ces plaques, sa mère lui avait offert parce qu’elle voyait bien son fils a l’armée, mais elle ne le verra pas, même s’il y entrait un jour.

L’adolescent fut sortit de ses pensée par la première phrase que lui dit son faux jumeau de la journée, il allait frapper un type. « Quoi ? Déjà un ? » Pensât Kuragari, il attrapa le bras droit de son frère et le retint.

-Ho ! Ne commence pas ! Ont a déjà une assez sale tronche pour qu’en plus on s’attire déjà des emmerdes ! Ont va allez a l’infirmerie et au prochain temps mort entre les cours tu feras ce que tu veux.

Bien que n’étant pas le chef, il essayait de se montrer autoritaire avec Ishimaru et ce depuis que leur mère était décédée, même sur neuf coup sur dix sa terminait en bagarre, mais bon il espérait qu’aujourd’hui cela serait différent, il soutenait le regard, fou furieux s’il en est, de son frère et attendit quelque minute, puis lâcha son bras, il jeta un regard circulaire sur les élèves, certains les regardaient d’autre s’en fichaient, Kuragari soupira puis alla s’assoir près de la porte d’entrée et tandis sa compresse artisanale a son Jumeau.

-Tiens t’a encore plus une sale gueule que d’habitude.

Il souriait en sortant de son sac un paquet de mouchoirs en papier, dont il ne savait toujours pas pourquoi il les avait mis la, puis en pris deux pour les poser sur sa joue douloureuse, ce n’était vraiment pas agréable d’avoir un père violent, non seulement sa donne une mauvaise réputation d’arriver sans arrêt couvert de bleus, mais pour les relation amicale comme amoureuse, cela posait un sérieux frein, même si Kuragari doutait un jour trouver une petite amie avec sa timidité catastrophique, quoique son frère ne serait peut être pas mieux loti avec sa dépendance aux bastons.

-J’attend que ma joue ne me fasse plus mal après on cherche l’infirmerie ça te va ?

Il savait bien que son frère l’enverrait bouler, mais bon ils s’engueuleraient deux minutes et iraient tout les deux se faire soigné.

Kusari avait commencé la journée assez difficilement il n’avait pas déjà bien dormi de la nuit et se retrouvait avec des cernes énormes sous les yeux. Néanmoins, cette nuit blanche avait une raison précise Kusari devait se lever tôt, aujourd’hui, pour allez à son magasin de kendo préféré chercher sa commande. Regardant le réveil affichant 6h00 il se leva pratiquement en trombe, s’habillant de son uniforme scolaire il prit ses affaires d’école et son bento et se mis à courir dans la rue, après avoir parcouru quelques kilomètre il arriva essoufflé au dit magasin. Le marchand voyant Kusari devant sa vitrine regarda son horloge puis tourna son regard vers le jeune homme avec un grand sourire. S’approchant doucement de la porte Kusari lui attendait avec un léger empressement pour ne pas dire qu’il était presque déjà en train de faire bond. Puis le marchand prit une pancarte au passage et y inscrit quelques choses puis retournant la pancarte contre la vitrine Kusari vira au rouge la pancarte indiquait : « Désolé fiston, encore 1 minutes avant que je n’ouvre PTDR XXL ». Kusari reçut un sacré choc.
Le propriétaire avait pris l’habitude de faire avec lui c’était assez marrant mais il le fit tout de même rentré après 50 secondes. Kusari pénétrant dans le magasin se dirigea vers le comptoir d'un trait on aurait qu’il s’était téléporté d’un coup. La vendeur sortit alors d’une armoire une étui en cuir semblable à celui de Kusari. Normal c’était le sien il finit par lui dire en lui donnant ce dernier.

j’ai déjà mis ta commande à l’intérieur je me suis dit que cela te plairait

c’est vrai, cool, merci, sympa

Kusari ouvrit le haut de l’étui et regarda un manche de boken un peu long que la normal et entouré d’une bande de collant d’isolation pour câble. Il l’empoigna puis referma aussitôt l’étui. Et la plaça sur son dos faisant un signe à l’interlocuteur il se sauva. Le marchand le trouvait vraiment enchanté cette fois-ci.

Kusari se dirigea alors vers l’école il ne rencontra pas beaucoup d’élèves bizarrement il n’avait pas l’air d’être en retard. Arrivé devant l’entrée il remarqua qu’il pouvait y allez à son aise. Kusari, avec sa course d’avant, avait subitement envie de boire quelques choses de froid et rafraichissant. Se dirigeant donc vers les portes du grand hall il entendit alors deux garçons se parler assez violemment restant caché un moment Kusari les écouta un moment pour voir contre qui il en avait.

Et en plus tu te fous de moi ?! Enflure !

L’un des deux administra avec tout son amour un magistral coup de boule à l’autre. Kusari pensait que cela ne devait pas avoir été des plus agréable mais bon hein c’est pas avec des carresse qu’on s’en durcit. Agressé se mit alors parler Kusari croyait qu’il allait assisté à un retour de flamme mais il fut un peu déçu.

J’attend que ma joue ne me fasse plus mal après on cherche l’infirmerie ça te va ?

En y regardant de plus près les deux était blessé, l’un avait effectivement la joue rouge et l’autre dégoulinait de rouge un plaie ouverte apparemment pas difficile de savoir où il allait allez. L’autre grogna.

Ouais ouais... On ira à l'infirmerie après... D'façon, c'est pas le plus important pour le moment ! En plus... J'ai la dalle !

Kusari continua à faire son monologue à lui-même et se dit que si dégouliner de son propre sang n’est pas le plus important, c’est que la blessure à touché le cerveau ou qu’il y avait un problème cérébrale dés le départ. Enfin à y regarder de plus prêt ces deux la n’ont pas l’air d’être des lumières c’est peut être de famille, mais comme leur sujet de discutions n’avait rien avoir avec Kusari ce dernier souffla et se dirigea vers eux, autant essayer de savoir qui ils étaient, même s’il semblait peu enclin à la parlotte. Kusari se rappela néanmoins qu’il avait toujours son étui avec son nouveau boken. Il espéra que cela n’évoquerait pas de pensé belliqueuse surtout chez l’un deux qui avait tout de la tête de la sale racaille. Encore plus avec la blessure qu’il s’était mangée qu’elle aie pour raison un affrontement ou pas. Levant la main amicalement en guise de salut Kusari leur dit amicalement.

Salut, c’est gentiment et accessoirement que je vous dis cela. Mais… Heu… voudriez-vous savoir où est l’infirmerie car à l’évidence vous en avez besoin ?

Kusari reprit automatiquement.

Bien que dans cette école le rossage est en passe de devenir une étude lucrative. Le look gros dure à la cicatrice près de l’œil et la bosse sur la joue avec le coup de boule ce n’est pas ce que je pourrais appeler de la perspective d’avenir. Mais ça, ça vous regarde.

Et de une, et de deux, et de trois ! BOUM, coup de boule, le frangin n’y allait pas de main morte, Kuragari se frotta le front tandis que Ishi se rassit en grognant, il accepta l’idée d’aller a l’infirmerie, mais voila elle ce trouvait ou cette infirmerie ?
« Super l’idée Kura’ proposer d’aller dans un lieu dont tu ignorais la position exacte, les gens ne te parleraient même voyant ta tronche et bordel j’ai mal au crâne ! » Pensa le jeune homme, il avait une soudaine envie de fracasser la belle gueule de son frère, mais bon contrairement a Ishimaru, il savait se contrôler lui, d’un autre coté c’est lui qui l’avait chercher, il soupira et regarda son frère, qui dégoulinait de sang malgré le mouchoir, sans parler de sa main qui elle aussi était couverte de sang, cela dit on s’arrange pour trouver autre chose que sa main pour bloquer l’afflux de sang…Puis un élève sortit de derrière eux et leva la main en signe de salut, il avait les cheveux blanc, les yeux bleu-gris, donc ce n’était pas un albinos, portait un….Bon dieu de put*** d’uniforme ainsi que dans le dos un étui de ce qui ressemblais a un sabre, il n’avait pourtant pas l’air agressif.

Salut, c’est gentiment et accessoirement que je vous dis cela. Mais… Heu… voudriez-vous savoir où est l’infirmerie car à l’évidence vous en avez besoin ?

Ha ben apparemment la chance avait souris a Kuragari, ce type pouvait les conduire a l’infirmerie, ou au pire leurs indiquer le chemin, vraiment il tombait a pic.
Cependant il ne s’arrêta pas de parler et enchaîna aussitôt.

Bien que dans cette école le rossage est en passe de devenir une étude lucrative. Le look gros dure à la cicatrice près de l’œil et la bosse sur la joue avec le coup de boule ce n’est pas ce que je pourrais appeler de la perspective d’avenir. Mais ça, ça vous regarde.

Ha ça risquait d’aller mal monsieur aimait les sarcasmes, bien que Kuragari pouvait totalement les ignorer, Ishimaru lui allait surement s’élancer sur le nouvel arrivant, prenant les devant, en profitant aussi pour se venger, l’ainé Heikichi attrapa le col de son frère et le tira en arrière avant de lui faire une balayette et ainsi le jeter au sol, cependant dans on mouvement Kura’ mis le pieds dans une flaque de sang, formée par celui qui dégoulinait de la tête d’Ishi’ et glissa en même temps que son frangin, s’étalant tout deux au sol.

-Pffff, Bon, Désolé de l’interruption, Je m’appelle Kuragari, Kuragari Heikichi. » Dit il en ce relevant. «Et si tu pouvais m’indiquer l’infirmerie ou même mieux m’y emmener, je t’en serais très reconnaissant…Oh ! Et l’autre animal la derrière… » Il plaça un coup de coude qui normalement devait atterrir en plein dans l’estomac de son cher frère. « C’es mon frère Ishimaru. »

Il se remit droit épousseta un peu son blue jean et attendit la réaction de Kusari, celle de son frère en tout cas il la connaissait et elle ne se ferait pas attendre, c’est pourquoi il rajouta une bonne droite, en grognant : « Tu te tiens calme jusqu'au prochain temps mort !! » puis il se remis de nouveau face à l’élève aux cheveux blanc.

« Pffff, Bon, Désolé de l’interruption, Je m’appelle Kuragari, Kuragari Heikichi. Et si tu pouvais m’indiquer l’infirmerie ou même mieux m’y emmener, je t’en serais très reconnaissant…Oh ! Et l’autre animal la derrière… »

Ce dernier balança, et le terme est bien choisi un coup de coude dans le ventre de son partenaire.

« C’es mon frère Ishimaru. »

Kusari n’en revenait pas vraiment, eux deux des frères ? Ils devaient l’être au sens figurer, du moins c’est qu’il espérait. Cependant Kusari répondit sur une voix sèche et pragmatique.

« C’est touchant autant d’amour fraternel… Je suis content d’être fils unique. »

Mais Ishimaru n’en resta pas là. Sentant surement la rage et l’adrénaline monter en lui, si bien qu’il frappa à l’arrière de la tête de Kuragari, puis il donna un coup pied dans le ventre de ce dernier, comme quoi, œil pour œil, dent pour dent. Puis se retournant vers Kusari avec un regard haineux il retira sa veste et la laissa tomber à terre. Puis il fit craquer les articulations de ses doigts. Ce qui fit répliquer Kusari, en paroles, sur ton sarcastique.

« Tu me montre les signes évident de ton arthrose ?»

Mais apparemment Ishimaru se retourna vers son frère l’air enrager, et se dirigea vers lui surement pour lui repasser une nouvelle couche. Soudain, il s’arrêta brusquement et reprit sa veste qui était à terre et la remis sur lui. Puis son ventre, dans la foulée, se mis également à se plaindre. Ce qui provoqua un grognement d’Ishimaru qui dit.

« Raaah ! J'crève la dalle moi ! »

Kusari pensa bien vite que Ishimaru n’était le mec le plus intelligent et le plus subtil qu’il avait rencontré, à dire vrai c’était même l’inverse un idiot champion du monde toutes catégories confondue. Les coups répétés qu’il avait du se prendre par le passé, car Kusari suspectait qu’il y en avait beaucoup, devaient surement y être pour quelques choses, sans quoi Kusari aurait presque pitié de lui. Par contre Ishimaru s’adressa sans doute possible à Kusari.

« Par contre, toi, j't'oublie pas enflure de samouraï de mes deux ! »

Kusari, d’un calme olympien, s’empressa de répliquer toujours sur un ton sarcastique.

« J’en doute, tu t’emmêles déjà les neurones rien qu’avec un simple choix d’action. Mais j’avoue que vouloir te battre, te nourrir, te soigner et te dessaper en même temps, n’est pas chose facile à faire. »

Kusari baissa la tête et soupira un instant. Il n’avait, à son habitude, pas envie de se battre. Qui plus est, Kusari savait pertinemment que négocier avec se genre de personnes était impossible. Sauf peut-être avec des bons coups sur la caboche, mais comme Kusari n’est pas pour la violence gratuite et ne se bats que quand les circonstances l’obligent, cette solution était déjà entérinée depuis le départ, le mieux s’était de laisser couler comme l’eau sous un pont. Il reprit amicalement mais sérieusement.

« Bon, on y va à cette infirmerie ou on attend que tu te vides de ton sang jusqu’à ce que mort s’en suive. Ce qui, vu le débit sang sortant de ta blessure serait peu probable et devrait prendre plusieurs heures et je ne m'sent pas vraiment l’âme d’attendre aussi longtemps. »

Le principal souci de Kusari n’était pas les frères mais bien normalement, que les Hides et Kuragaris se mettent à débarquer, vu que la principauté de ses anciens tyrans était tous des Hides ou le sont devenu, n’avait pas dirigé la récente monter de victoire de Kusari sur eux. Si jamais il aurait su il n’aurait jamais cherché à se défendre. Mais comme Kusari ne supportait de se laissé marcher sur les pieds.

Enfin Kusari se dirigea vers un couloir en faisant signe aux deux frères de le suivre.

L’élève aux cheveux blanc regarda, incrédule, la scène de mini-combat des deux frères, toutefois il lança quand même une petite vanne, que Kuragari ignora, ce n’était pas le moment de chercher misère à d’autres personne, il n’eut cependant pas le loisir d’entendre autre chose, il sentit un violent coup derrière la tête et chuta en avant, voyant le sol se rapprocher rapidement, il bloqua sa chute en posant ses deux main au sol, mais pas le temps de ce reposer sur ses lauriers, l’attaquant pas mystérieux, qui se trouvait avec des cheveux bleu, une sale envie de frapper tout ce qui bouge et même ce qui bouge pas, une faim dévorante, bref Ishimaru, réattaqua avec un bon shoot dans l’estomac, profitant que son frère était à quatre pattes, il se préparait pour une frappe, mais rien ne vint, levant la tête il pu voir que son frère avançait droit sur leur samaritain, ou presque, déposant sa veste fétiche au sol, puis il sembla réalisé quelque chose, ce qui est stupéfiant c’est qu’Ishimaru soit capable de réaliser quelque chose, puis se tourna de nouveau vers son frère. *Et me***.* pensa le pauvre Kura’ qui essayait de se relever rapidement pour faire faces au nouvel assaut de son frère, mais ce dernier sembla de nouveau se souvenir de quelque chose et ramassa sa veste qu’il avait lâchée un peux plus tôt, s’ensuivit un hurlement préhistorique venant des entrailles du corps de frangin bagarreur, il avait vraiment faim en plus ! Pour qu’un estomac gargouille comme ça, et dans le doute ou personne n’aurait compris il cru bon de rajouter qu’il crevait de faim, ça oui on à entendu !

-Ishi’ Baka…

Il parla plus pour lui-même qu’autre chose, mais Ishimaru se tourna de nouveau vers celui qui c’était légèrement payé sa tête et lui dit qu’il ne l’oublierait pas, ce dernier renchérit directement avec une autre vanne, craignant qu’Ishimaru reparte de nouveau a la charge, Kuragari lui attrapa le bras, sans toute fois le frapper, le regarda avec le regard le plus sadique qu’il eut jamais eu et annonça a son frère qu’il aimait tant….

-Si tu provoque une seule bagarre ici maintenant, je te le ferais payer au centuple, tu ne t’imagine même pas !

« Bon, on y va à cette infirmerie ou on attend que tu te vides de ton sang jusqu’à ce que mort s’en suive. Ce qui, vu le débit sang sortant de ta blessure serait peu probable et devrait prendre plusieurs heures et je ne m'sent pas vraiment l’âme d’attendre aussi longtemps. »

Enfin une idée sensée ! Kuragari ne se fit pas prier, ramassant son sac il se mit à suivre son, presque, sauveur, enfin il le libérait plutôt d’une situation assez désagréable, cependant il ignorait toujours le non de ce non-albinos.

-Au fait, je ne sais toujours pas ton nom, la politesse, bien que bafouée aujourd’hui, voudrait qu’on se présente à sont tour lorsqu’une personne ce présente la première.

« Au fait, je ne sais toujours pas ton nom, la politesse, bien que bafouée aujourd’hui, voudrait qu’on se présente à son tour lorsqu’une personne ce présente la première. »

Kusari s’étant fait emboité le pas, par les deux frères, se retrouva avec la réflexion de Kuragari. Kusari restait perplexe quant la question de ce dernier après tout avec le nombre de personne l’ayant défié par le passé juste à cause qu’il avait dit son nom le rendait réfractaire à répondre. D’autant plus que Ishimaru semblait aimé chercher querelles avec les gens un vrai barbare berzerker comme on en voit plus. Néanmoins Kuragari avait raison sur un point la politesse avait été assez bafouée comme cela aujourd’hui. Kusari répondit d’une voix calme, et sur la défensive. En faite il priait pour que les deux autres n’aient aucune rumeur le concernant.

« Appel-moi Kusari, c’est tout ce que tu as besoin de connaitre pour l’instant. »

Il est clair que l’attitude froide de Kusari n’était en rien une habitude, mais c’est jour-ci il valait mieux faire profil bas, ou du moins c’efforcer de le faire. Kusari mena les deux frères jusqu’à l’infirmerie, là l’infirmière voyant Kusari pénétrer en premier lui dit gentiment.

« Tiens Chaîne Blanche, je ne pensais pas te voir toi qui plus est tu n’as aucune blessure, serait venu me tenir compagnie? »

La gaffe dans toute sa splendeur si Kusari voulait en dire le moins possible il suffisait d’attendre qu’une personne se charge d’énoncé le reste. Kusari fit de n’avoir rien entendu et de toute façon réagira comme de prime à bord, en répétant aux qu’ils n’ont pas besoins d’en savoir plus. Répondant à l’infirmière, il lui dit sur un ton calme.

« Non je viens au contraire vous donnez un peu de travail »

Il laissa l’infirmière s’occuper des deux frères et se posa contre la porte, il attendait juste que les deux autres en aient terminé pour les mener ensuite au réfectoire. Il ne pouvait décemment pas les laisser seuls après les avoir mené si loin. Il décida de les attendre. Ce qui inquiétait Kusari, c’était que Ishimaru n’avait pas l’air d’avoir oublié semblait vouloir aussi en découdre aussi rapidement que violemment. Mais quitte à choisir Kusari préférait de loin ne pas à avoir à se battre du moins il essaierait de couper court au combat soit en fuyant simplement soit en s’avouant vaincu. C’est d’ailleurs plus déroutant qu’autre chose et cela marche plus souvent que l’on peut le croire. Mais il y en a certains qui ne sont excité que par l’ardeur des combats. Ceux-là ne sont convaincus que par l’affrontement. Ishimaru semblait être malheureusement de cette trempe ce qui ne servirait à rien de le résonner. Hé bien soit, si l’affrontement est la seule issue Kusari n’aurait pas vraiment le choix. Il essaierait bien de calmer le jeu, mais cela lui semblait peine perdue. Heureusement Kuragari pourrait cependant, empêcher son frère de commettre l’irréparable. Même si cet empêchement découlait sur un échange de coups. Essayant de calmer le jeu et surtout pour faire passer la pilule, Kusari demanda sur un ton calme mais néanmoins marquer d’une interrogation.

« Comment vous avez-vous fait ces blessures. Surtout celle d’Ishimaru, l’un comme l’autre ne me semblez pas adepte d’arme ou objet pour combattre ? »

l'infirmière rétorqua presque aussi sec.

« Moi qui croyait que tu en étais la cause. »

Au moins Ishimaru se tenait calme, il suivait son frère, qui lui-même marchait a la suite de l’élève s’étant présenter comme « Kusari t’as pas besoin d’en savoir plus. » IL cachait quoi lui ? Kuragari et son frère était nouveau et ne connaissait rien n’y personne, enfin eux par contre allait ce faire connaitre, génial les arrivée pleine d’hémoglobine, enfin pas grave, Kusari les conduisait donc a l’infirmerie, une fois arrivé au lieu dis, en ayant au préalable laissé quelque traces de leurs passage dans les couloirs, sous forme de gouttelette de sang tombée au sol.
L’infirmière, qui connaissait apparemment bien le samaritain, ne put s’empêcher de faire des grand yeux en les voyant arrivé lui et son frère, mas elle passa vite outre la surprise, ayant l’air habituée a bien pire, ayant surnommer Kusari « la chaine blanche » cela confortait Kura’ dans l’idée qu’il venait souvent ici, pour quelle raison, ça il ne savait pas mais bon, il avait plutôt autre chose en tête que se réfléchir a cela.

L’infirmière s’occupa en premier lieu de Kura, bien que surement moins grièvement blessé que son frangin, lui il était beaucoup plus docile, elle nettoya la plaie, la désinfecta et recousu rapidement le tout, la joue c’est douloureux, en plus sa cicatrise mal, bref après quelque minute ou elle soigna la joue convenablement, Kuragari laissa la place au frangin, Kusari posa cependant une question, sans qu’il le sache, très embarrassante :

« Comment vous avez-vous fait ces blessures. Surtout celle d’Ishimaru, l’un comme l’autre ne me semblez pas adepte d’arme ou objet pour combattre ? »
-Une bande de voyou, l’un d’eux avait une bouteille l’a fracassée sur le crane d’Ishimaru, et moi j’ai pris une droite, mais avec une bague, c’est tout ce que tu a besoin de savoir pour le moment.

Il ignora la remarque de l’infirmière, se dirigea vers Kusari et lui glissa discrètement :

-Si j’étais toi, je m’en irais rapidement, une fois soigner Ishimaru va surement te chercher misère, enfin ce n’est qu’un conseil, bon le samaritain je te laisse j’ai un truc a allez voir.

Kuragari quitta l’infirmerie et s’engouffrant dans les couloirs de l’établissement qu’il ne connaissait pas, il ne cherchait rien il voulait juste être seul.

[HRP]On peux clôturer la je sais plus quoi dire pour ma part XD[HRP]