FFIC # ~ Si les nuages avaient un nom ~

† Angel or Devil, It's secret

FFIC # ~ Si les nuages avaient un nom ~ 30jsqhk

••.•´¯`•.•• Fanfiction créé par Hime-sama ♥ ( NC-14 ) ••.•´¯`•.••

Type de fanfiction † = Yaoi †

Manga † = Naruto †

Personnages principaux † =

- Naruto

- Sasuke

- Sakura

- Hinata

- Kei

Triangles amoureux /\ =

SASUKE X SAKURA
NARUTO X SASUKE
NARUTO X HINATA
SAKURA X KEI
NARUTO X KEI

~::+History ~::+

Konoha, vaste village où règne la paix et la tranquillité depuis qu'orochimaru ne se manifeste plus ! Naruto, Sasuke et Sakura font face à un cruel changement qui vont les séparer du moins presque pour certain : L’adolescence . Nous sommes en l'an 2012, nos héros ont 17 ans d'âge et sont tous devenus des Chuunin. Sasuke sort avec Sakura depuis plus de 6 mois, Hinata continue d’aimer Naruto en vain, le bonheur grandit, mais dans l'ombre et le secret se trame un triangle amoureux dont on ne peut y connaître la chute mortelle...Comment vont-ils se sortirent de périlleuses situations, qui sont les ennemis des amis ? Amour, Trahison, Gloire, Sexe, Drogue ♫

Un remake << Feux de l'amour >>, << Ile de la tentation >> façon manga, et qui n'attende plus que toi !

† Angel or Devil, It's secret

FFIC # ~ Si les nuages avaient un nom ~ 2zxo7ir

Day 1

Je n’ai jamais cherché à comprendre pourquoi j’existais, ni comment je respirais…Sûrement que je tenais cette malédiction de mes parents dont l’existence me semble que trop lointaine. Avais-je demandé à naître ? Venir au monde pour faire leur bonheur ? Je n’aspirais qu’au malheur et au dégoût de moi-même. On m’appelait « le raté » ou encore « l’imbécile » et je ne pouvais donner que raison à tant de similitudes qui m’étaient proches. Je n’avais pas l’habitude qu’on puisse m’aimer, je n’avais jamais demandé à être aimé pourtant…J’éprouve un besoin de lui dire que je l’aime depuis trop longtemps. Cette personne qui hantait mon cœur et mon esprit se heurtait à un mur dont les palissades hurlaient de douleur. La personne que j’aimais en aimait une autre et il n’y avait rien de plus fort qui pouvait me déchirer. Dusses-je en mourir tout de suite, ma vie n’aurait été que trop longue. Des miracles je n’en avais pas accomplis beaucoup, mais je les réalisais avec performance dans le secret de mon inconscience ! J’avais aidé la personne que j’aimais à pouvoir lui voir avouer ses sentiments profonds pour sa moitié. Innocent, je ne m’en rendais pas compte de mon erreur mais qu’importe puisque son bonheur m’apportait plus que ma piètre existence.

Les rayons faibles qui vinrent se heurter sur mes rideaux, aveuglèrent mes iris dont la forme était de cernes, et sans vie. C’était comme si j’avais perdu mon âme ce jour là et pourtant je ne puisse m’empêcher de raconter cette histoire…L’histoire d’un amour impossible. Au fond d’un tiroir, je prenais un stylo dont la brillance élargissait sa grandeur, et dont la matière métallisée le rendait plus attrayant qu’un simple stylo, puis je sortais le cahier dont la couleur rouge écrin attachée d’une simple petite lanière recèlerait tout mes secrets les plus encrés. Toutes les histoires commencent pareils, rien de nouveau c’était comme un conte de fées qui tournait au cauchemar…

<< Il était une fois >>

Ce jeune garçon dont l’anecdote d’un poison semblait inévitable. Il ne rendait pas la vie facile, et son orgueil dépassait l’entendement de son espèce. Ce garçon faisait partie d’une lignée impressionnante de grand ninjas, une lignée de purs descendants. Sasuke était son magnifique prénom, il avait des yeux ténébreux qui faisaient fondre tous les regards, des cheveux d’un sombre cendre façon coiffée très classe. Son sourire….Il ne suffit pas d’en parler, il faut le voir pour en donner les caractéristiques précises de la perfection. Il était le garçon que j’aimais, et le garçon que j’aimerais… Sa petite amie Sakura, était une kunoichi toujours incroyablement belle, de longs cheveux roses cerisier comme son nom, des yeux d’un émeraude scintillant, sûrement ce qui avait réussi à le faire fondre. Et moi, j’étais insignifiant, j’étais d’un caractère de solitaire, même si les rêves que je poursuivais m’été réduit à abandonner, je n’étais pas du genre à renoncer…Je m’appelle Naruto, et contrairement à ce que vous aviez pensé, je suis un garçon et j’aime un garçon…L’amour, l’amour ce mot si vaste qui ne peut donner une définition, un sens. Aimer une personne du même sexe que soit n’était pas un crime, n’était pas un tabou…c’était un sentiment voilà tout.

- Naruto encore en train de rêvasser ? Tu ne changeras donc jamais ?

- Oh désolé sakura…

Ces temps ci, je restais beaucoup avec Sakura pour tout type de raisons, en vérité elle avait besoin de mon aide mais moi j’avais du mal à la regarder en face, imaginant l’homme que j’aime sur ses lèvres nacrées de rose, dans ses bras fins et élancés ! La mort me serait moins douloureuse que de regarder ce visage angélique qui rougissait à la vue de son prince charmant, mon prince charmant qu’elle m’avait enlevé ! Je n’étais pas le dragon qui gardait un prisonnier dans un donjon, j’étais moi-même emprisonné de ce sentiment qui m’affabule autant de folie que de désir. Le lieu où nous nous trouvions ne ressemblait à rien d’un endroit romantique, rien d’un restaurant, c’était juste un petit bar du coin ou le saké coulait à volonté ! La paperassa qui s’affichait devant moi, composée de tous les mots qui restèrent explicite à mon égard me donna rapidement la nausée

- Voilà je compte organiser une fête pour ton anniversaire, après tout 17 ans ça se fête, et puis il y aura tout tes amis, et même Sasuke ! dit-elle

Pas la peine de me raconter tout en détail et de faire semblant de ne pas rougir, je voyais trait pour trait la marque de son fard ternir à côté du pourpre de ses joues croquantes ! L’envie de vomir me revenait sans cesse, rien que quand elle parlait de lui ! Pourquoi est ce que mon stupide organe vital battait quand il entendait son nom ! Si j’avais la force de ne plus rien ressentir cela ferait bien longtemps que je me serais tiré une balle dans la tête !

- C’est génial, on va tous s’amuser !

Je préférais cacher tout mes ressentis derrière un sourire faussement joyeux qui me permettait à ce qu’on ne m’interpelle de questions dont les réponses me conduiraient à lui et à personne d’autre, en effet demain c’était mon anniversaire et une grande fête était organisée pour moi ! Seulement avait-on demandé mon avis avant d’en décider ? Et si je n’avais pas envie d’avoir 17 ans ? Tellement de «si » qu’on pourrait se poser, qu’on pourrait imager !

La journée amplement terminée, je regagnais mon studio, préférant m’écrouler sur le canapé que de répondre au téléphone qui sonnait ! Je ne cherchais même pas me dévêtir ou quoi que ce soit d’autre, j’étais vraiment trop dépité de gestes et de paroles ! J’ai lu il y a longtemps dans un livre orné d’une couverture doré, un poème qui m’avait profondément touché

« Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure »

Il signifiait tellement pour moi, il décrivait un peu ce que je ressentait, ce que je vivais…J’avais l’impression qu’il avait été écrit pour moi, et pourtant la réalité choc me donnait un goût d’amertume dans le gosier ! 20h00 tapante, je ne mangeais rien trop souffreteux de ma situation actuelle…Allongé sur mon lit de mort, ce qui pourrait être proche, je maudissais le jour de ma naissance en fermant les yeux, je maudissais tout ce qui était capable de donner un sens à un malheur, je maudissais le jour ou je l’avais vu ! Encore pire que tout, je maudissais le réveil qui annonçait les coups de minuit lors de mon dernier regard avant de sombrer dans la néant en rêvant d’une enfance effacée, une enfance existante mais pourtant éphémère…

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