Konoha : Lycée Daiki
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Konoha : Lycée Daiki


 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-10%
Le deal à ne pas rater :
-30€ sur la nouvelle Tablette tactile Lenovo Tab Plus – 11.5” ...
269.99 € 299.99 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité



Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~] _
MessageSujet: Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~]   Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~] Icon_minitimeMar 2 Mar - 0:07

Nouveau regard sur la ville, que le train atteindrait bientôt. Le soleil, qui la dernière fois s'en allait rayonner au-dessus d'autres horizons, était à présent complètement hors de vue. Tant mieux, dans un sens: aujourd'hui je n'aurais pas à passer au lycée ou à trainer de ci de là en attendant que mes semblables les noctambules ne s'éveillent.

Elle était la deuxième à m'avoir attirée vers elle une nouvelle fois. fait rare dont l'impression étrange me dévorait délicieusement. Car, aussi accueillant que puis paraître un lieu, une poignée seulement m'avaient vue revenir.
Cette poignée contenait Madrid et Konoha.
Sans doute ce besoin incommensurable et incompressible de revenir sur mes pas était-il mêlé à la frustration d'être partie dans en avoir tout vu. Mais après mes égarements jusque dans les écuries de Daiki, des vacances s'imposaient. Étant donné que la plupart des profs ne me connaissaient que sous la forme d'un nom perdu dans une liste, ma disparition ne devait pas trop avoir du les dépayser. Confortée par cette raison, qui était plus une excuse bidon parmi d'autres, libre de tout bagages, pas même ma fidèle guitare, j'étais partie comme un fantôme disparaît derrière un mur de silence.
Libre de tout, sauf d'un certain remords puisque personne, jusqu'à ma féline colocataire Vitanny, n'avait moyen de savoir où j'étais. mais finalement l'insouciance l'emporta d'un haussement d'épaules: moi-même avait du mal à me situer en ce moment, ça n'allait pas plus mal pour autant! Et, le temps d'une sieste, je me retrouvai devant mon bon vieux piano au fin fond de mon arrière-boutique préférée.

A la fin de mes vacances improvisées, lorsque l'heure de quitter à nouveau le nid avait sonné, comme un automatisme mes pas s'étaient tournés vers le Japon et cette ville où il faisait si bon vivre... Ou mourir.

Tout comme les rues de Konoha semblaient plus lugubres encore qu'il y a quelques semaines, moi-même avait subit quelques changements perceptibles en deux mois. Plus ce besoin de coller une chanson à chaque réalité, ne restait que le patchwork sonore obtenu par le mélange des bruits du dehors, et des notes de mon casque, aussi incohérentes que possible de préférence. Ma musique ne devrait plus jamais se régler sur celle du dehors.
Du reste, j'avais l'impression d'éviter de moins en moins la violence qui s'invitait parfois lors de mes vadrouilles nocturnes. Maintenant, il semblait que je sortais en partie pour ça. La fièvre de ces actions qui jusqu'alors m'étaient peu avouables m'aurait-elle gagnée? Remarque, pas très difficile non plus d'y prendre goût, même en trainant si peu de temps dans un lieu comme celui-ci, où chaque coin d'ombre sentait le sang. Et puis, pour finir sur du détail, c'en était fini des deux bonnes vieilles couettes, puisque il semblerait que quelqu'un s'en était occupé de trois coups de ciseaux bien placés. Mes rares derniers amis en avaient peu être marre de me revoir débarquer avec la même tronche, et même moi je me devais d'avouer que tous ces changements, volontaires ou pas, n'étaient pas pour me déplaire. Nouvelle version de moi, le moment était venu de t'élancer à travers ces ombres toujours plus profondes. Comme si tes yeux n'avaient jamais scruté ces ténèbres, comme si ta peau n'avait jamais frissonné sous cet air aux relents de liberté et de mort, comme si ce sourire sur tes lèvres n'était jamais apparu plus éclatant avant ce soir-là.

Au terme d'une longue marche où tout le paysage environnant s'était changé en de vagues formes plaquées au ciel nocturne, lorsque mon cerveau daigna reprendre le contrôle de jambes qui s'enfuyaient à vive allure on ne savait trop où, je n'avais toujours pas atteint le royaume des oiseaux de nuit. Au contraire même, j'étais en train de déambuler sur le territoire des papillons, ces êtres si dépendants de lumière. La lumière éclatante et harmonieuse des larges avenues de Konoha, celles où il est rassurant de marcher, celles où les prédateurs paraissaient rarement, celles où la marche devenait vite monotone et ennuyeuse. Seuls quelques ivrognes égarés éblouis par les néons peuplaient la voie. Il fallait se dépêcher. Vite rallier le domaine des ombres avant de mourir d'ennui. Et de soif, aussi.
Un coin de rue, plus noir que les autres, où un lampadaire agonisant clignotait faiblement. Serait-ce mon entrée? En tout cas, pour le moment, ça serait mon asile. Là où il fait bon de se poser, juste le temps d'allumer une cigarette qui se terrait dans la poche sans vouloir s'en faire sortir, et de réparer un sens de l'orientation complètement absent désormais.

Mais, si la chance voletait toujours derrière moi ce soir-là, peut-être que je ne regretterais pas de m'être perdue dans un tel endroit.~
Revenir en haut Aller en bas
Kusari KitaniKusari Kitani
La Chaîne Blanche




Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~] _
MessageSujet: Re: Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~]   Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~] Icon_minitimeSam 27 Mar - 1:59

Le soir était tombé de manière à ce que Kusari ne s’en aperçoive pas tout de suite d’ailleurs il fut surpris de ne pas avoir vu le temps passer étant resté à l’école, une légère amertume lui restait dans le gosier. Son grand-père en déplacement hors de Konoha, Le dojo familial étant vide de toute présence en ce moment Kusari n’aimait pas cette solitude Qui l’avait enfermé depuis si longtemps il aimait la compagnie des gens même si ces gens étaient là pour lui en faire voir de toute les couleurs. Cependant Kusari du se résigner à partir de l’école pour deux raisons : la première rester dans un endroit aussi vide ne ferait que lui rappeler le dojo. La deuxième était que le concierge lui avait demandé de sortir. Kusari décida alors d’aller se promener dans les grandes avenues là ou les gens étaient amassés en nombres. Sa surprise fut douloureuse, car arrivé à destinations seulement quelques badauds étaient présents. Néanmoins Kusari voyait la scène sous cet angle : mieux quelques personnes que pas de personnes du tout. Un regard très optimiste, mais Kusari était devenu assez doué dans ce domaine.

Entreprenant la marche Kusari restait en dehors des rues bien que les ténèbres de son cœur étaient toujours présentes en lui, ses longs démêlés avec les racailles lui avaient appris à ne pas s’aventurer dans les coins sauf si la situation l’y obligeait. Assez peu orthodoxe comme réaction que beaucoup associait à la peur, Mais en faite il en n’était rien. Kusari avait appris à craindre et se méfier mais la peur, il l’avait finit par l’oublier. En faite ce qui dictait généralement sa conduite c’était le bon sens et la raison. Bien que cela le faisait passer soit pour un lâche soit pour un monstre au sang froid. L’un comme l’autre lui allait comme un gant selon ses interlocuteurs. Ces comparaison le faisait bien rire car au fonds Kusari était une personne prêt à tout pour ceux qu’il aime, l’ironie et l’ambivalence de comment on le voyait et qui il était l’amusait. Mais au fonds ses contradictions n’étaient-elles pas ce qui le définissait le mieux ?

Au détour d’une ruelle il aperçut une jolie jeune fille, une fille mince et gigotante. Elle allait de ci ce là cherchant à fuir cet endroit comme si la lumière l’incommodait elle finit par être attirée par une ruelle sombre dans laquelle un petit lampadaire éclairait de manière faible et par à coup de sa lumière tamisée. Comme si les ténèbres engloutissaient cet lueur. Kusari y vit la scène et la métaphore de la dernière lueur d’espoir allant être engloutie. Kusari méfiant s’aventura dans se gouffre d’ombre la jeune fille devait soit être peu recommandable soit ignorante des dangers de l’obscurité. Il finit par l’interpellé avant qu’elle ne décide de s’enfoncer plus profondément dans la ruelle.

- Attends !!!
La jeune se stoppa et Kusari s’approcha d’elle jusqu’à être à ses côtés il reprit la parole sur un ton prévenant.

- Les ténèbres sont fascinantes, n’est-ce pas ? Elles promettent d’innombrables choses qui nous séduisent et nous attire irrémédiablement, mais c’est quand l’on se retrouve piégé au plus profond d’elle qu’on en perçoit seulement l’erreur de notre choix.

Kusari tourna sa tête vers elle et lui dit cette fois sur un ton interrogatif.

- Te crois-tu capable d’en payer le prix ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~] _
MessageSujet: Re: Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~]   Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~] Icon_minitimeMar 30 Mar - 14:02

- Attends !!!

Eclat de voix brouillé. Déjà à moitié immergée dans un monde qui m'irait sûrement mieux que celui-ci, baigné d'une lumière trop claire, il poussa mon regard à se détacher de l'hypnotisante fumée qui allait dessiner des formes abstraites dans le ciel d'encre. Il le fit chercher sa source, le maintint fixé sur son propriétaire. Ce dernier, jeune homme aux cheveux blancs auxquels les lueurs du lieu donnaient toutes sortes de nuances étranges, achevait une course légère pour la rejoindre, adoptant la même attitude, en peut-être plus posée quand même, que si j'avais décidé de me jeter d'une falaise. Une idée qui me tira un coin de sourire, une expression indéchiffrable, ou du moins incompréhensible pour quelqu'un qui ne lirait pas dans mes pensées. Mais qu'importe, si ce sourire voulait se trouver là à ce moment-là, je n'allais pas l'en empêcher.

Allant trouver le mur le plus proche pour lui offrir mon dos, une façon de dire que je n'avais pas l'intention de m'envoler, en pleine pause avant de plonger dans l'océan ténébreux des ruelles de Konoha, j'attendais la suite du discours de l'inconnu, le visage rappelant une expression d'interrogation ténue. Cela ne tarda pas à venir, et échangea ma mine attentive contre une moue mi-étonnée mi-moqueuse. Enfin, lorsque la question conclut cette prise de parole, la première réaction à s'imposer fut l'hilarité. Un rire cependant bref, plus lié à la surprise d'entendre un tel avertissement qu'au comique de la situation, bien qu'elle soit risible au possible.
Demandait-on aux Ténébreux s'ils étaient aptes à marcher dans l'ombre?


-Erreur erreur... Tout dépend de ce qu'on vient y chercher.

Deuxième réflexe, ces traîtresses de lèvres qui balançaient la moindre pensée intelligible -ou non- au premier venu, même si ce n'était que le vent. Ici, comme souvent, murmurée, sans doute restée trop proche du statut de réflexion évadée de sa cage de silence, elle avait revêtu le fin tissu d'un habit de malice, qui laissait entrevoir à son travers les formes d'un avertissement. Mais une telle réponse n'était pas admise. Quitte à parler involontairement, autant compléter pour que ça ressemble à quelque chose.

-Eh bah, c'est bien la première qu'on me la fait celle-là. Tu me parles de ces si belles ténèbres comme d'une illusion attirant les petits animaux perdus pour mieux les dévorer...

Courte interruption, bouffée de fumée et coup d'oeil rapide.

-Si c'est parfois vrai, et dans ce cas ces pauvres victimes ne peuvent s'en prendre qu'à elles-même de ne pas avoir su fuir à temps. Mais en général, on entre là-dedans en toute connaissance de cause. Et lorsqu'on s'y perd -regard envieux vers l'entrée de la ruelle-, l'erreur fatale n'est pas obligatoirement en cause.

Erreur. Etait-ce se tromper que d'entrer dans cette bichromie de noir et de rouge? Cette question était d'une importance minime, puisque, qu'on fasse fausse route ou non, les faits restent inchangés. La chance non-négligeable de demeurer à jamais entre les griffes d'un tel monde étaient ce qui m'attirait le plus vers elles, sans encore compter les autres fauves lâchés dans la même arène. Quand au prix.. Il varie selon ce qu'on est venu acheter.
Personnellement, je n'avais pas encore reçu de facture.


-Pour ton prix, tu fais peut-être référence à la mort qui court les quartiers sombres, et qui fauche selon sa capricieuse envie. M'enfin, à bien y réfléchir, une vie là-bas, aussi courte-soit-elle, est des plus intéressantes, et d'autant plus si on ne paye qu'à la sortie.

Le clin d'oeil qui démangeait ma paupière depuis un petit moment eut enfin l'occasion de faire battre mes cils. La cigarette finissant par terre après y avoir tiré une dernière fois, le besoin de s'agiter se fit sentir. A l'argent de la lune, si le rythme était souvent moins soutenu que sous l'or du soleil, il était déconseillé qu'il soit trop mou trop longtemps. Une brève séance d'étirements était de rigueur, avant de mettre fin à une conversation d'après moi hors-contexte. Que cet interlocuteur inopiné s'amuse de distribuer des mises en gardes du genre, pourquoi pas, mais il ne faudrait pas trop prolonger le plaisir, car l'ennui attendait déjà de l'autre côté de la route le bon moment pour traverser.
Revenir en haut Aller en bas
Kusari KitaniKusari Kitani
La Chaîne Blanche




Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~] _
MessageSujet: Re: Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~]   Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~] Icon_minitimeJeu 1 Avr - 0:01

Étonnant et à la fois effrayant. Ces deux qualificatif résonnaient dans l’esprit de Kusari bien qu’au départ il aurait cru trouver une fille totalement ignare et qui s’embarquait dans de véritable ennuis. Mais au lieu de cela, le destin dans son caprice incertain, avait décidé de placer cette jeune fille sur sa route, une fille pour qui l’obscurité semblait être plus qu’une attirance. Mais cela fut bien le cadet de ses soucie en ce moment bien que la fille suscitait un certain intérêt. Ce désir n’avait rien en rapport avec quelconque bouffé d’hormones qui venait titiller l’esprit des jeune hommes quand ils voient une fille en danger et décident de la sauver pour et tirer quelconque récompense charnelle. Kusari succombait tout simplement à son vice le plus persistant et le plus dangereux : La curiosité. Une insatiable soif de recherche de bizarreries à expliquer ou plutôt à comprendre à en assimiler les fondements à savoir le pourquoi de comment. Kusari s’était à mainte reprise laisser guider par ce sentiment et plus d’une fois, cela le conduisit dans les ennuis et les problèmes. Kusari n’était un de ces gentils garçons à qui l’on dit que les ténèbres sont la pire des choses. Il était de ceux qui les affrontent en sachant très bien que chaque combat qu’il y menait l’y replongeait un peu plus et l’y faisait sombrer peu plus. Bien que sont but ultime était le calme et la sérénité, Ni ténèbres ni lumière ne l’a lui apportait chaque côté avait aussi bien ses hauts et ses bas. Une parole perturba Kusari au plus au point cette fit grimper sa curiosité au plus haut point. Paradoxalement cette parole fut la dernière de la jeune fille comme si ce qui avait été dit avant n’avait été que des mises en bouche.

- Pour ton prix, tu fais peut-être référence à la mort qui court les quartiers sombres, et qui fauche selon sa capricieuse envie. M'enfin, à bien y réfléchir, une vie là-bas, aussi courte soit-elle, est des plus intéressantes, et d'autant plus si on ne paye qu'à la sortie.


La fragilité de notre existence ne tient qu’a un fil, et pourtant cette fille y prenait un plaisir à l’a mettre à l’épreuve. Kusari était plus fasciner et bizarrement ne voyait pas cela comme de la folie ou de l’inconscience d’ailleurs il y voyait une petite admiration. Car si lui mettait cette fragilité à l’épreuve également, il y avait toujours une raison, un devoir, une obligation, qui l’y envoyait. Jamais il n’aurait pensée croiser, un jour, une personne qui le ferait simplement par pure plaisir. Ce comportement attisait son vice, si bien qu’il finit par dire sur un ton rieur, voir même amuser les paroles en réponse au clin d’œil de la jeune fille.

- Je vois, c’est vraiment intéressant. Alors il existe aussi ce genre de personnes ? Le destin semble m’offrir un cadeau aujourd’hui autant en profiter.


Kusari ne se moquait de la jeune fille il rigolait et souriait ainsi que dans deux cas seulement : quand il se retrouvait acculé par les ennemis et où la mort semblait danser avec lui et quand sa curiosité avait finalement pris le dessus sur la raison. C’est d’ailleurs à cause de cela qu’il continua sa phrase sur le même ton qu’il employait.

- Dés que tu t’engouffrera dans cette rue je t’y suivrait pour voir quel destin t’y attends, je sens que cette nuit qui allait me sembler tellement triste va me paraitre riche en rebondissements HAHAAHHAHAHAHAHAHHHAHAHAHA…
Revenir en haut Aller en bas
Altaxar HashimotoAltaxar Hashimoto
Etudiant




Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~] _
MessageSujet: Re: Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~]   Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~] Icon_minitimeJeu 20 Mai - 22:50

Pas de réponse ?

Je verrouille What a Face

Si vous voulez continuer, Mp moi Wink
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~] _
MessageSujet: Re: Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~]   Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Dans la lumière~ (Drunk on shadows ♪) [Libre~]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Konoha : Lycée Daiki :: RPG : Konoha :: Quartiers Est. :: Les Grandes Avenues.-
Theme by Lollipop - Do not rip - All rights reserved - ©2010
* Konoha : Lycée Daiki © Copyright 2010. Ce forum a été crée et ouvert par Aellia & Yumi le 29 janvier 2009. L'intégralité de ce forum appartient à ses créatrices; toute copie totale ou partielle est interdite et sera punie. Merci de respecter leur travail.
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit