Beaucoup de témoignages disent que lorsqu’une personne est inconsciente, ce qu’elle ‘rêve’ dépend de la dite personne, certaine verront un couloir comme dans un coma profond, d’autre tout simplement rien, le néant total comme une nuit sans songes, certains font simplement des rêves tout bêtes. Kura’ lui c’était différent, c’était tout simplement un océan sombre dans lequel il flottait, le regard rivé sur un ciel noir et uniforme, le corps indemne il dérivait vers le vide, ses pensées étaient matérialisée par des images floues au dessus de lui. Son père, sa mère, son faux jumeaux, les gens rencontrés ces derniers temps, la crasse que lui attirait son tatouage depuis quelque temps, bref tout et rien à la fois.

Quelque chose de trempé vint éveiller doucement Kuragari, le fait que l’eau soit froide ne changeait rien, il prenait des douches à l’eau glacée depuis des années, le froid ne l’atteignait plus tellement, mais cela avait au moins le mérite de le tirer de sa torpeur. Kura’ essaya d’ouvrir lentement ses paupières mais l’une d’entre elle refusa tout simplement, son œil droit était gonflé, il venait de s’en souvenir, il ouvrit donc tout simplement l’œil gauche. Le grand brun du cligner de l’œil plusieurs fois afin de chasser quelques petites gouttelettes d’eau qui s’était coincée sur ses cils, une fois la vue plus ou moins dégagée, il jeta un lent regard circulaire sur la pièce. Face à lui, un blonde assise en tailleur les yeux clos. L’ainé des Heikichi ne dit rien en tout cas pas tout de suite, il termina de détailler la pièce, sombre sans fenêtre, juste deux trois meuble et une armoire, une porte derrière la jeune fille et c’était tout, probablement un sous-sol, ce qui se trouvait derrière lui Kuragari ne pouvait forcément pas le voir, il essaya de bouger mais sentit que ses poignets et ses chevilles étaient attaché, le bruit métallique des attaches raclant contre la chaise, fit ouvrit les yeux de la demoiselle, bleu profond, comme Vitanny, comme Ishi’, comme Kura’…

Il détailla longuement la blonde demoiselle, puisqu’il s’agissait bien la d’une blonde, et resta muet longtemps, cherchant ce qu’il pouvait dire ou ne justement pas dire. D’abord, analyser la situation, il était attaché solidement dans un sous-sol, une musique bruyante parvenait à ses oreilles sans pour autant le déranger pas besoin d’hausser le ton pour se faire clairement comprendre, donc même si lui criait, personne ne l’entendrait, seul avec une fille inconnue, et totalement à sa merci…soit une salle de torture des Hides, soit une salle d’interrogatoire, quoique parfois l’un ne vas pas sans l’autre. Quoi qu’il arrive Kuragari ne devait pas s’attendre à une aide extérieure, qui viendrait l’aider franchement ? Vitanny ? Pourquoi le ferait-elle ? Les Kuragaris ? Jamais de la vie ! Reira ? Trop lui demander et puis comment ferait elle pour venir à bout des probable garde de l’endroit. Ishi’…Surement pas vu leurs dernière ‘discussion’ à tout les deux, s’il apprenait ce qu’il s’était passé, le Heikichi aux cheveux azur se mettrait surement à rigoler plus qu’autre chose, et puis aussi comment pourraient ils savoir que Kura’ ce trouve ici ? Lui-même ne savait pas ou il était.

-On va faire court…J’sais rien et même si j’savais…j’dirais rien…tu peux m’tu…

Il interrompit sa phrase net, ce qu’il vit dans la main de la blondinette l’interpella, il plissa l’œil gauche pour essayer de mieux voir et sentit la rage bouillir dans ses veines lorsqu’il reconnu les plaques, ses plaques ! Le dernier cadeau de sa mère, inconsciemment il serra les dents et émit un grognement sourd, levant son œil indemne vers sa ‘geôlière’ il croisa volontairement son regard, la toisant d’un air prédateur, même s’il était attacher, un grognement sourd monta de sa gorge et il lâcha d’une voix colérique.

-Ces plaques que tu tiens…si les abîmes ou pire…t’es morte...j’aurais pas de répit avant de t’avoir tuée…

Aucune hésitations dans la voix, encore moins dans le regard, il fixait la blonde d’un air assassin, si jamais elle jetait les plaques ou encore les gardaient sur elle, et que l’inconnue ne tuait pas Kuragari, après qu’elle ait fini ce qu’elle avait à faire avec lui, c’est Kura’ qui la tuerait, sans remords.

Parfois, cette question revenait souvent dans la vie d’une personne qui était poursuivie par le malheur : « Pourquoi le destin s’acharne sur moi ? » Kura’ pouvait se poser cette question, après tout, sa vie n’était qu’une succession de mauvais tour que lui jouait la vie. Tout d’abord, un père, qui doit probablement être le pire, s’en suit la mort de sa mère lorsqu’il eu quatre ans, son frère qui devient un haineux de première et qui fait de son faux jumeau sa victime favorite, même s’ils se soutiennent contre les assauts du paternels, le gang des Kuragaris qui finalement ne leurs apportent que des emmerdes, l’assassinat de son propre père avec l’aide d’Ishimaru et pour finir un duel violent avec celui-ci, se soldant par la défaite de l’ainé qui finalement se verra capturer par les Hides, n’ayant pas récupérer de son précédent combat, il fera une proie facile pour cet ado’ qui attaqua par surprise, rien de réjouissant.

Le grand brun se trouvait au sous-sol d’un quelconque bâtiment, attaché solidement à une chaise, de la musique provenait de l’étage au dessus, probablement une discothèque ou quelque chose s’y rapprochant, pas moyen d’appeler à l’aide et le tout sous la surveillance d’une jeune fille qui semblait aussi froide que la glace. Kuragari se mit à lui dire qu’il ne lui servirait à rien, qu’il ne savait rien qui pourrait intéresser la blonde, mais son regard fut attiré par un objet métallique que tenait la fille, les plaques qu’avait reçu l’ado’ de sa mère avant de décédé, tout d’abord plutôt docile, l’Heikichi se mit à grogner et se montrer plus sauvage, menaçant de mort sa geôlière, ce qu’il ferait sans remord s’il y était obliger. La menacée répondit, sans avoir l’air de prendre la menace au sérieux, disant que les Kuragaris ne jurait que par la violence, et ne semblait être capable que de ça, logique aussi, la quasi-totalité des Biohazards à vécu dans la violence. C’est avec un sourire en coin, malgré l’état lamentable de son visage tuméfié, que Kuragari répondit.

-J’avoue, attaqué quelqu’un qui n’a rien demandé et blessé, alors qu’il ne s’y attend pas, c’est vachement mieux…vous les Hides vous croyez mieux…mais en définitive, c’est la même chose.

Kuragari ne savait pas si la blonde l’avait écoutée, elle s’avança vers lui, après avoir quitté la table sur laquelle elle était assise, venant se positionner devant Kura’, la Hide fit balancer les plaques devant ses yeux, croisant volontairement l’œil du grand brun, celui qui n’était pas gonflé. Elle lui fit comprendre que rapidement, la blonde pouvait se débarrasser des plaques, que si elle signifiait quelque chose pour le grand brun, pour la fille, cet objet n’était rien de plus qu’un amas métallique. Son œil s’écarquilla lorsqu’elle désigna la poubelle, sa respiration se bloqua quand la blonde se dirigea vers l’objet désigné, son sang se mit à bouillir et sa rage ne fit qu’augmenter lorsque l’objet le plus précieux pour le biohazard rebelle, se trouvait au dessus des détritus. Des coups à la portes, la blonde qui va voir et se met à converser avec un individu, la porte se ferme et la geôlière qui revenait avec un paquet, elle fouilla dans le colis et jeta ensuite une lettre et ce qui semblait être de la drogue. Reportant son attention sur son interlocutrice, Kura’ vit qu’elle passait les plaques à son cou, le prisonnier lâcha un grognement, fixant le métal qui disparaissait sous le haut de la jeune fille.

-Comment je m’appelle? Tiens toi à ta table, Heikichi Kuragari…pour ne pas te servir.

L’ironie n’était pas forcément ce qu’il y avait de mieux à faire, mais docile n’était pas dans le vocabulaire de Kuragari, sans se cacher il essayait d’ailleurs d’ôter ses entraves, faisant racler à nouveau le métal de ce qui l’attachait, tirant dessus, abimant ses poignets, mais qu’importe. Sans lâcher l’endroit ou se trouvait ses plaques du regard, ce qui pouvait passer pour quelqu’un qui fixait la poitrine d’une fille, mais ce n’était pas ça du tout. Néanmoins, l’Heikichi guettait la réaction de la blonde à l’évocation de son prénom.

-Et je peux savoir qui me tiens prisonnier ?

Kura’ se serait presque sentit flatté lorsque la jeune fille lui révéla être la chef des Hides, après Aiden, il rencontrait Yumi Nara, bien que le nom en lui-même n’avait rien suscité chez le grand brun, son rang lui, évoquait pas mal de question. Pourquoi lui, un simple Kuragari, rebelle de surcroit, se retrouvait enchainé dans un sous-sol, face à la chef d’un des gangs ennemis à celui qu’il avait déserté il y a peu ? C’était quand même à se demander si le destin n’aimait pas se foutre de la gueule de l’Heikichi, mais se lamenter ou autre n’était pas le mot d’ordre actuel, sur l’instant présent, c’était connaitre le moyen de partir d’ici, vivant, et avec ses précieuses plaques, ensuite, retourner au hangar, ou n’importe ou ailleurs, Kura’ se débrouillerait surement pour trouver de quoi subsister.

La blonde regarda son portable et ensuite le paquet qu’elle avait reçu plus tôt, cela ne passa pas inaperçu à l’Heikichi, mais elle n’y toucha pas, et se retourna vers Kuragari. Ainsi les Hides savaient pour la micro-rébellion des deux frères, et aussi qu’ils étaient désormais ennemis d’Aiden, la blonde précisa ensuite qu’il pourrait être utile à la Hide, Yumi lui proposa ensuite de lui venir en aide, contre quelque chose, un bien du choix de Kura’. Il allait sans attendre lui dire de se foutre sa récompense la ou il pensait, mais lorsqu’elle agitât ce qu’elle lui avait prit sous ses yeux, tout de suite, ça devint limpide, ça devenait une histoire de chantage.

La chef des Hides commença une phrase, probablement pour dire qu’elle lui laissait un peu de temps pour réfléchir à la question, même si c’était tout vu, cependant elle ne pu finir sa phrase, des coups à la portes l’interrompirent. Kuragari réfléchit à la question en effet, lui promettre qu’il lui obéirait et à la première occasion, lui briser la nuque, à elle et tous ceux qui voudront la défendre, les déchirer et les pulvériser, reprendre ses plaques. Le grand brun ne prêta pas attention au malaise de la blonde, relevant juste la tête lorsqu’elle conversa avec un type, Yumi enlaça l’arrivant, l’Heikichi plissa son œil non gonflé, si c’était quelqu’un de cher à ses yeux, alors, il le tuerait lentement, juste devant les yeux de la blonde qui avait eu l’audace de s’amuser avec les nerfs du fauve, les chaines ne le retiendrons pas infiniment, et ce jour la…ça sera un bain de sang.

Sa geôlière se retourna ensuite vers lui, le regardant quelque instant avant de retourner vers son ami ? Ou qui qu’il soit, et la, tout arriva très vite, la blonde fut prise d’un malaise et chuta au sol, le Hide présumé la rattrapa de justesses, ils échangèrent quelques mot et la il commença divers mouvements d’ordre médical pour soulager la crise de la jeune fille. Ce genre de crise, ça rappelait à l’Heikichi celles de sa mère lorsqu’il était tout petit, et qu’il devait essayer de s’occuper d’elle, sauf qu’a la différence de la Hide et son subordonné, Kura’ était trop petit pour soulager la douleur de celle qui comptait le plus à ses yeux d’enfant.

Baissant un peu la tête, nostalgique, Kuragari se reprit, regardant la chaise plus attentivement, pendant que l’autre était occupée à mourir, ou presque et que son ami se faisait un sang d’encre. Vieille et de facture pas trop mauvaise, elle était néanmoins vieille et usée, se libérer les mains ne devrait pas être trop dur, après…on avisera, ce n’est pas les mains attachées dans le dos que le Kuragari sera moins dangereux, mais vu son état, il n’opposera pas une grande résistance. Bref, le temps était à l’action, Se reculant au maximum contre le dossier de la chaise, Kura’ appuya ses deux pieds sur la chaise, poussant son dos contre le dossier, ajoutant la force de ses jambes pour l’arracher et libérer ses mains, il n’avait pas trop de temps, si l’autre réagissait et préférait assommer l’Heikichi au lieu de s’occuper de sa chef, ça sentait le roussit.

Dans un craquement sec et sonore, la chaise céda et le Kuragari se retrouva projeter en arrière avec son élan, rapidement il roula en arrière pour passer ses bras sous ses jambes et ainsi les avoir devant lui, mais toujours attacher, toisant les deux Hides de toute sa hauteur, le mètre quatre-vingt-six n’étant pas très répandu au japon, ça pouvait paraitre impressionnant pour les non-habitués. Les sourcils froncés, son regard azuré braqué sur le garçon, celui qui pouvait encore se mettre en travers de sa route, le fixant comme un prédateur fixerait sa proie, mais l’Heikichi ne fit rien, il aurait pu les tuer la, mais non, la crise de la blonde avait rappelé un mauvais souvenir au grand brun et son honneur lui était revenu en tête.

-Un mot de trop, et je te réduis en bouillie, et elle pareil…Je suppose que tu ne veux pas qu’il lui arrive quoi que ce soit, alors tu va rester gentiment à ta place et fermer ta gueule.

Kuragari s’approcha doucement des deux Hides et s’accroupit face à la blonde, légèrement dans les vapes, à distance respectables, souriant, la regardant comme elle le faisait au tout début, c’était elle cette fois-ci qui était à sa merci et pourtant, Kura’ n’en profiterais pas, non ce n’était pas son genre. Il leva son œil vers l’autre, quelque instant pour s’assurer qu’il ne bougeait pas, puis reposa son regard sur la blonde.

-Ok…on va faire le deal…je sais que ce que tu veux…et tu sais que ce que je veux…je t’apporte la tête d'Aiden…et tu me les rends…après, je veux qu’on me fiche la paix…*Il se redressa lentement* Si après cette histoire, les Hides viennent encore me faire chier à cause de mon tatouage…je reviens et ta tête ira rejoindre la sienne…

Il resta la debout, sur de lui, malgré ses blessures récente, et le fait qu’il savait pertinemment que si le garde devant la porte se rameutait, et s’alliait avec l’autre assit par terre, les chances qu’il s’en sortent se verraient réduites à zéro.

(Désolé du retard ><)

La musique de la discothèque avait doubler d’intensité, signifiant que la soirée était en plein essor et donc que l’heure était pas mal avancée, de toute façon l’Heikichi n’avait rien d’autre pour situer l’heure ou le jour, si toutefois il était rester dans les vapes plus d’une journée, bien que le grand brun ne le pensait pas du tout. La situation s’était nettement améliorée pour lui, bien que toujours sous un éventuel danger venant du mec devant la porte ou encore du soupirant de la chef des Hides. Ne jamais sous-estimer un adversaire, c’était comme ça que fonctionnait Kuragari et cela lui avait toujours sauvé la mise, bien que le dernier combat n’ai fait que l’emmener dans la cave d’une discothèque aux mains des Hides, ennemis naturels de l’ancien gang auquel appartenait le jeune garçon.

Au début de sa captivité, l’Heikichi était dans de sales draps, enchainé à une chaise, le jeune garçon était totalement soumis à sa geôlière, la leader des Hides, Yumi Nara. Plus tard l’un des amis proche de la jeune fille arriva et cela tomba bien, la blonde fit un malaise cardiaque, comment Kuragari pouvait-il le savoir ? Sa mère était morte de la maladie qui rongeait apparemment la jeune chef de gang, c’était surement pour cela que même après s’être à moitié libéré de ses entrave en faisait céder la chaise l’ex-prisonnier n’avait pas broyer la demoiselle et son ami, quelque chose en lui, disait qu’il ne devait pas s’attaquer à elle, surement le sentiment d’impuissance qui le rongeait depuis que sa mère était morte sous ses yeux malgré ses tentatives désespérées de jeune enfant de 4 ans pour la sauver. Kura’ revoyait ça dans le regard du Hide venu par après, le sentiment que quoi qu’on fasse, la maladie est toujours la malgré nos efforts.

Après son malaise et les menaces de Kuragari, la leader des Hides s’était relevée et sans montrer le moindre signe de peur, annonça que le deal était passé, qu’il avait une durée précise avant d’être mit à terme avec bien entendu la perte des bien du tatoué, ajoutons à cela la promesse de Yumi que si la tête d’Aiden lui était apportée, la tranquillité, vis-à-vis des Hides en tous cas, serait assurée à Kura’. La blonde insista sur le fait que malgré tout, elle n’avait nullement peur de Kuragari et encore moins de ses menaces, ce qui arracha un demi-sourire au grand brun, au moins elle ne manquait pas de cran, l’ex-biohazard appréciait ça, cette petite jeune fille était remplie d’un esprit combatif et d’un désir de ne jamais abandonné, tout ce qui faisait de valeureux adversaire aux yeux de l’Heikichi, enfin à l’œil, vu que le droit était gonflé, bien que moins qu’à l’origine, avec un peu de glace il serait assez dégonflé d’ici ce soir pour que le rebelle puisse user de ses deux yeux aux reflets bleutés.

Après la petite discussion d’affaire, la jeune fille passa à coté de Kuragari, savait-elle qu’elle ne risquait rien à ce moment précis ? En tous cas c’était une belle provocation, mais l’ainé des Heikichi n’était pas du genre à foncer tête baisser, cet acte délibérer ne le fit que sourire de plus belle, l’audace de Yumi lui plaisait énormément. Après avoir prit ses médicament, la jeune fille s’excusa auprès de son amis et toujours dans le même mouvement, se tourna de nouveau vers son ex-prisonnier, se demandant à voix haute ce qu’elle pourrait faire de lui. Sauf que la Kuragari n’était pas du bétails et pour le prouver il se dirigea vers le petit congélateur qui était la, surement pour garder des boissons au frais ou autre, laissant l’autre Hide s’exprimer, l’écoutant d’une oreille pendant qu’il arracha un morceau de glace aux parois du congélateur pour se le plaquer sur l’œil enflé, relevant vivement la tête après que l’autre garçon ait fini de parler, l’Heikichi n’avait rien entendu.

-Je sais pas si vous avez remarquez, mais la j’suis pas vraiment en état de dessoudé un leader de gang réputé pour ses nombreux meurtres de sang froid, encore moins avec sa belle ribambelle de chien de garde. *Il marqua une courte pause pour laisser les deux Hides assimiler, puis reprit* Demain par contre, ça me pose aucun soucis, j’aurais largement récupérer, quant à ce que tu peux faire de moi ma belle, j’suis toujours ton prisonnier je crois, fais ce que tu veux…mais t’attend pas non plus à ce que je sois coopératif à tout ce que tu compte faire.

Il ne sous-entendait rien, mais préférait prévenir, Kuragari s’assit sur le congélateur une fois sa phrase finie, se tenant le glaçon sur son œil qui serait dégonflé d’ici une petite demi-heure, du moins assez pour qu’il puisse rouvrir les yeux sans problème.