Bagarre sur le pont... [Pv : Kanori & Ren]

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Un jour comme les autres, ou peut être pas... Même si les jours se ressemble tous, car il y a 24 heure par jour 60 minutes par heure, ainsi que 60 secondes par minutes... On croit que tout va lentement, qu'on a vraiment le temps de vivre de grandir de s'épanouir.. Et être heureux... Foutaise ! Linshen, ne pense pas vraiment que le bonheur existe... Et que en plus sa vie, ne tiens qu'a un fil près, qui fera ou non qu'elle meurt ce jour-même... 17h00 tapante du soir. La cloche à l'église venait de retentir, et Linshen avait pu entendre sans doute les dernier coup sonné de cette église... Elle passa dans beaucoup de rues et ruelle, à soufflé énormément. Son coeur lui bat très lentement, comparé à sa respiration qui est sans doute des plus rapide qu'on ne peut imaginer. Même si avant d'être allée dans le quartier Ouest, elle était en cour et que la journée était passé si lentement, car elle avait presque passé toute sa journée à l'infirmerie... Elle était quand même allée en ville, histoire de se dégourdir les jambes, mais aussi sans doute voir une dernière fois le ciel bleu de printemps, avec ses quelque petits conton blanc qui se nomme "nuage".

Elle s'appuyait soit contre des muret, soit contre les murs des maison pour pouvoir avancé, elle avait d'un coup beaucoup de mal à marcher, enfin d'un coup non, puisqu'elle a du mal à marcher depuis dès qu'elle s'est levée ce matin, puisqu'elle a fait une petite crise d'asthme, mais, elle n'as pas pris de ventoline, car elle est vide... C'est bête hein ? Mais que voulez-vous... Elle est 100 % asthmathique et elle n'y peut rien, un jour ou l'autre, elle va franchir le cap... Ca c'en est une certitude... Et elle faut bien qu'elle prenne beaucoup de bouché de ventoline si elle ne veut pas mourir... Donc la ventoline se vide et c'est cher... Quand enfin elle arriva à atteindre le pont , où elle a même pas pu se soutenir à un mur ou un muret... Elle s'asseya par terre contre la rembarde du pont au dessus de l'eau... Elle mis sa tête sur le rebord du muret, pour regardé l'eau clair qui coule en dessous du pont. Elle prit une petite pierre à côté d'elle même plusieur en les jetant dans l'eau, le temps qu'elle repenne tout de même sa respiration, qui n'était toujours pas revenue régulière... Pour s'occuper en même temps, car elle a du mal à reprendre sa respiration elle prit quelque pétales de fleur d'arbre qui part à cause du vent... elle en mit sur les pierres et les jeta avec. En essayant de faire des ricochet avec les plus fins caillou.

Quelque minutes après, une grosse main lourde se posa sur son épaule, elle se retourna assez surprise, mais en même temps énervé en respirant encore plus vite qu'au début. Car cette main l'avait surprise, elle avait donc sursauté... Il y avait plusieur hommes.. 3 non 5 ... Le premier qui avait posé sa main sur son épaules. La regarda avec un sourire les plus pervers qu'il soit dans ce monde... Il lui fit un sourire charmeur, mais aussi le plus idiot, elle se releva en dégageant son épaule de sa main.. Il avait eu comme un air énervé sur son visage un moment. D'autre se la remenait en disant des "Allez, allez, viens laisse-toi faire, on va s'amuser" ou bien encore "Aller, ramenne-toi idiot, embarque-là quon la viole." Elle mit un coup de pied entre les jambes du premier pour qu'il s'écarte d'elle. Sa respiration était toujours aussi rapide... Elle se tena ensuite à la rembarde pour ne pas tombé et resté debout, elle dit d'une voix essouflé, épuisé et énervé.

-Allez en enfer pauvres enfoiré ! Aller violer des nanas de votre calibis gros lourdos !

Il lui mis un coup de genou dans le ventre ce qui lui fit tombé d'un coup par terre et lui fit perdre quelque goutte de son sang, car elle venait de se mordre assez fort la langue, mais en même temps, elle avait craché du sang... A cause du coup qui lui fut porté... Elle resta à terre, mais son coeur bat de moins en moins vite... Sa respiration était encore plus rapide, mais elle se força beaucoup car sinon, pas le moins petit passage d'air passerait par ses narines ou sa gorge pour aller jsqu'a ses poumon... Le deuxième homme s'avança vers elle en poussant l'autre. Et pris une bonne tignasse des cheveux de Linshen en la faisant remettre sur pied rien qu'en la tenant par les cheveux... Elle fronça beaucoup ses sourcils, car il lui fait vraiment mal... Il la regarda avec des yeux pervers, avec plein de mauvaise attention dans le regard... Mais elle n'avait tellement plus de force qu'elle ne put même pas, lui mettre un coup entre les jambes pour le rendre stérile... Elle essaya tout de même de se débattre, en lui donnant un coup de poing dans le ventre... Elle pris son rebetta dans sa poche et lui tira dessus en plein coeur, ce qui fit qui la lâcha d'un coup. Elle se retrouva donc par terre... Les autres hommes regardait leur potes bléssé.. Ou plutôt décédé... Ils la regardèrent tous, s'échangeait des regards les plus méchant qu'il soit en s'avançant vers elle énervé... Elle... Elle pointa son arme vers eux en respirant toujours autant vite... Elle espèrais peut être au moins que ces hommes ne parviendrait pas à leur fin avec elle... Jusqu'a la violé...

Kanori avait accepté l’idée de mourir un jour ou l’autre. Elle savait que chaque être humain, chaque plante ainsi que chaque animal mourront un jour ou l’autre. Mourir faisait partie de la vie après tout. Kanori avait passé une année en cours de religion a écouté la prof raconter que la mort n’était qu’un passage, que cela nous permettait de nous rapprocher d’un dieu unique et que l’on continuait à vivre dans le cœur des gens. Kanori n’y avait jamais cru. Elle avait passé ses deux heures de religion par semaine à chipoter dans son plumier ou à dessiner de petits rectangles colorés sur une feuille quadrillée. Heureusement, les garçons de la classe, de vrais fouteurs de merde, avaient vite trouvé un jeu assez amusant pour divertir les 24 élèves. Et ensuite, ils étaient finalement arriver aux documentaires extrêmement ennuyeux sur le Vatican, le Père Damien et l’élision du pape. Ensuite, ça s’était radouci et ils avaient enfin pu voir le film « Gost ». En gros ils n’avaient rien pendant presque un mois. Kanori secoua la tête et shoota dans un caillou, les mains dans les poches de son jeans. En dehors de l’école, Kanori avait vite appris par son médecin traitant que si elle continuait à faire des chutes de tension, elle pouvait très vite mourir. Mais les grosses chutes de tension, comme Kano’ les appelait, ne venaient jamais très souvent. Par contre, il y avait les petites, bien plus courtes que les autres, qui la faisait perdre l’équilibre et la notion des couleurs pendant quelques minutes. Elle voyait pour ensuite revoir en couleur comme si de rien n’était.

Kanori continue son chemin, tournant tantôt à droite, tantôt à gauche et déboula sur une avenue. Les chutes de tension n’apportaient souvent que des problèmes, même si elle devait rater un jour d’école pour ça. A sa dernière chute de tension, le médecin lui avait donné des gouttes qu’elle devait prendre trois fois par jour. Elle en avait prit pendant deux ou trois semaines jusqu’à ce que sa mère les lui enlève pour répéter une centaine de fois « Tu risques la hausse de tension Kanori ! ». Elle avait donc arrêté de prendre ses gouttes et continuait néanmoins ses chutes de tension. Kanori tourna à l’angle d’une rue en réprimant un bâillement. Elle était fatiguée et attendait les vacances avec l’impatience d’un gosse. Elle piaffait à l’idée de pouvoir se rouler en boule sous ses couvertures jusqu’à midi et ne rien faire d’autre que se promener. Plus elle remontait dans ses souvenirs et plus elle se laissait guider par ses pas. Elle regardait les bâtiments de la ville et se souvenait des bâtiments de Belgique. Elle se surprit même à regarder le ciel bleu du printemps. Elle déboula bientôt le long d’une rivière qui baladait calmement ses eaux dans son nid. Elle le longea pendant un moment, regardant la limpidité de l’eau et laissant le vent ébouriffer ses mèches rousses.

Au bout d’un moment, Kanori arriva en vue d’un pont passant sur l’eau pour relier la rive droite à la rive gauche. Elle leva la tête et remarqua un peu plus loin des garçons lui rappelant fortement ceux qui lui cherchaient des noises quand elle habitait encore en Belgique. Ils avaient toujours vu en Kanori une jeune fille fragile aux courbes bien dessinées mais ils avaient vite changé d’avis le jour où Kanori avait fait un petit bisou très sanglant au plus vieux de la bande. Il ne fallait jamais médire sur les dents acérées de Kanori. Et le bisou s’était très vite transformé en bain de sang. Kanori n’avait jamais attrapé que quelques hématomes ce jour-là mais les garçons ne l’avaient plus jamais regardé du même œil, elle et ses jolies courbes. Sans s’en rendre compte, elle s’était arrêtée et regardait les garçons gravir le pont pour aller à la rencontre d’une fille accrochée à la barrière du pont. Elle avait l’air d’avoir des difficultés à respirer et les garçons devaient s’en être aperçu également car sur leur visage naissait le même sourire emplit de perversion. Elle les regarda encore s’approcher de la jeune et se mit à marcher à vive allure. Mais marcher ne lui suffisait pas et Kanori eut vite l’impression de marcher sur un tapis de sport. Elle se mit à courir, évitant les passants la regardant bizarrement et tourna sur le pont.

- Hey les bâtards ! J’crois que la SPA c’est là-bas !

Elle leur souriait d’un air plus inconscience qu’autre chose. Ils se retournèrent vers elle, jugeant son physique et sourirent de plus belle. Ils en vinrent aux poings. Poings que Kanori évitait jusqu’à s’en prendre un dans le ventre.
Elle tomba au sol, haletant.

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Cela faisait un moment qu'il fouillait la ville dans ses moindres recoins, dans le simple but de retrouver le Kuragari qui avait tué son grand-père adoptif. La seule personne qu'il tenait encore à coeur dans ce monde... C'était d'ailleurs la seule qui avait fréquenté durant tant d'années l'adolescent. Ce vieil homme était le seul à avoir réussi, à rendre Ren un peu plus heureux. Seul lui, arrivait à le faire rire sincèrement. Il avait été sa seule et unique famille, mais cette famille, lui avait été dérobée en fin de compte... Comme si sa vie n'avait pas été assez pénible comme cela, il fallait en plus que la seule personne qu'il affectionnait encore lui soit volé. Ou tuer plus précisément. Et comme chaque personne plus ou moins normal, il souhaitait le venger et exterminer la personne ayant fait cela. Ce qui ne serait pas chose facile, étant donné qu'il ne connaissait pas du tout le tueur de son grand-père. Un Kuragari... C'était déjà ça, mais encore fallait-il savoir, lequel ! Il y en avait un peu partout dans la ville, alors comment trouver le bon sans remarquer finalement, qu'il s'était trompé ? Devait-il tout simplement se venger de tous les membres de ce gang ? Ce serait une solution, mais serait-il réellement capable de le faire ? Cela restait à prouver... Mais connaissant parfaitement ses propres capacités, il ne serait pas en mesure de se frotter aux plus gros morceaux de ce gang plutôt violent...

Ce n'était pas pour rien, que Ren était habituellement du genre à ne pas chercher les problèmes. Il n'aimait pas se battre, ni même devoir se défendre. Les seules solutions pour qu'il attaque, ce serait par esprit de galanterie, ou encore par vengeance comme dernièrement, il était près à le faire. C'était pour une fois, un semblant de belle journée. Et plutôt que de rester dans son canapé à rêvasser encore et encore, le jeune homme décida finalement de se lever et d'aller se rafraichir les idées un bon coup. Habillé de son pantalon trois-quart et de ses chaussures, que l'on nomme aussi "tennis", il ouvrit la porte de sa maison, la fermant derrière lui. Marcher lui ferait certainement du bien, un grand bien même. Ses cheveux noirs, recouverts de son chapeau orange habituelle, flottaient sous une légère brise de vent, qui soufflait sur les quelques mèches qui dépassaient de son couvre-chef. C'était d'ailleurs, avec un visage emplit de tristesse que le jeune homme avançait dans les rues de Konoha, ne sachant pas trop où aller. Frappant si et là dans un cailloux qui se trouvait sur son passage, ou encore qui le dérangeait tout simplement. Au loin, il pouvait voir un pont... Il semblait d'ailleurs qu'il y avait un peu d'action, sur ce pont. Peut-être qu'il verrait quelque chose qui lui fera passer le temps...

En effet, une fois arrivé sur les lieux, il trouva plusieurs personnes. Certains d'entre eux avaient des costumes qui faisaient vaguement penser à des mafieux... Ou quelque chose dans le genre du moins. Les deux autres personnes, ressemblaient de loin à des demoiselles. Du moins, s'il ne se trompait pas. Il accéléra donc le pas, pour finalement voir que les mafieux s'en prenait réellement à des filles. Il fronça légèrement les sourcils, et une fois arrivé derrière l'un d'entre eux, il souri et frappa avec violence dans le dos de celui-ci, pour ensuite arrêter un autre d'attaquer la rousse se trouvant par-terre.

"Oï ! Vous ne savez pas vous en prendre à un mec plutôt qu'à ces deux filles ?..." Dit-il en frappant à nouveau l'un d'entre eux au visage.

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Le soleil commença à se coucher sur Konoha, et Linshen était toujours au pont munis de son arme à feu entres ses mains. Sa respiration était toujours trop rapide, les mains tremblantes, elle n'avait vraiment aucune rancune pour le crime qu'elle venait de faire, tuer un homme... Ce n'était pas sa première fois, donc ça allais... Sa ne la surprenait pas alors de voir le corps de quelqu'un tombé par terre, à cause d'une balle de revolver qui est le sien. Quelques minutes après, elle tourna sa tête vers une fille aux cheveux roux qui était vraiment très jolie elle aussi. Linshen la regarda de ses deux bleu azur, les hommes s'avança vers la rousse après qu'elle leur fut une remarque pas vraiment aimable, mais Linshen en avait pas fait une gentille non plus. Donc cela n'était pas très grave. Elle voulait intervenir quand l'homme mit un coup à la rousse, elle tenta de se relevé pour pouvoir aller aider la demoiselle, mais elle retomba d'un coup par terre car elle avait vraiment trop de mal à respirer...

Alors que les deux filles fut à terre, deux hommes étaient au côté de la rousse et les deux autres, repartit voir Linshen, pendant ce temps un garçon intervenu aussi dans la bagarre il mis des coup au deux hommes avec la rouquine, tellement qu'il leur avait mis un corps bien placé et tellement que eux c'était des femmelettes. Ils furent à terre directement. Tandis que ceux qui était toujours avec Linshen, l'un d'entre eux la reprit par les cheveux, pour qu'elle se relève et la prit pour la mettre au dessus du pont, d'une voix sérieuse et méchante, le deuxième qui ne tenait pas Linshen dit de sa grosse voix, sérieuse mais pathétique.. :

"-Hey, les morveux ! Aller rentrer pleurer au jupes de votre mère, sinon votre copine passe par-dessus bord.. Et en plus la pauvre chérie a du mal à respiré.. Haha ! vous faîtes moins les malins hein ?!"

Linshen tenta de bien se cramponner au pont, même si l'autre lui tenait toujours les cheveux, bien que sa respiration est vraiment inquiètent elle tenta de se retourner vivement, pour pouvoir mettre un coup à l'homme qui la tenait fermement encore par les cheveux, c'est vraiment une obsession de tenir les jeunes filles par les cheveux. Mais ce qu'ils ne savaient pas, c'est qu'elle n'est pas du tout craintive. Elle lui mit son plus gros coup de pied entre les jambes, bien pour le rendre stérile.. Il avait comme sursauté, mais il dut la lâché, et la poussé en même temps... Lui il était écroulé par terre en se roulant comme un cheval dans du sable ou autre animal. Quand a elle, elle est passé par dessus bord, mais tente de se cramponner au rebord avec beaucoup de mal...

Elle essaya de remonter, mais ses tentatives sont vraiment insuffisante pour pouvoir remonter son corps qui est pendue au dessus de l'eau... Elle tenta de se balancé, vraiment pour pouvoir remonté.. L'autre homme avait remarqué le mouvement de Lin, mais il regarda plus qu'autre choses les deux adolescent qui avait posé leur regards sur lui... Lin qui avait toujours son arme à la main tenta de la lancer sur la tête de l'homme. Cela avait déclencher la détente du revolver et la balle fut partie droit dans une cuisse d'un des hommes près des adolescents.. Alors qu'elle était presque au point de lâché, et qu'elle a encore plus du mal a respiré. L'homme tourna sa tête vers elle et s'avança vers elle, en voulant sans doute qu'elle lâche prise...

Le coup avait atteint Kanori en plein dans l’estomac et son cœur fit un bond énorme en sentant l’impact. Elle se releva néanmoins et croisa les yeux d’un jeune homme qui avait l’air du côté des jeunes filles. Elle lui sourit et tourna violemment la tête du côté de la jeune blonde. Elle s’accrochait tant bien que mal à la barre du pont. Kanori s’élança.
Elle esquiva d’un mouvement de hanche un coup maladroit destiné à l’attraper au ventre. Elle se pencha au dessus de la balustrade afin d’aider la blonde. Elle attrapa sa main en répétant qu’elle devait se calmer, respirer calmement et que tout irait bien. Kanori n’en pensait pas un mot… Rien n’irait jamais. Mais elle ignorait encore le tour de dés que le destin s’apprêtait à lui porter. Kanori hissa, autant que ses forces lui permettaient, la jeune blonde au-dessus de la balustrade. Quand elle se retourna, l’autre balourd était derrière elle, près à l’attraper. Kanori le regarda avec des yeux qui voulait « Tu veux un bisou, tu auras un bisou ! ». Elle fonça vers le mafieux et le mordit au coin droit de la lèvre de l’inconnu. Il ne s’attendait pas à ça et Kanori aimait ça, cette sensation de pouvoir qu’elle obtenait rien qu’en effectuant ce « bisou sanglant ».
Elle tira de toutes ses forces. Elle l’avait déjà fait. Une fois dans sa vie. Mais jamais aussi fort.

Une fontaine de sang gicla sur le sol. Dans la bouche de Kanori, il y avait le morceau de peau qu’elle venait d’arracher à son détenteur. Elle n’avait pas d’arme. Mais elle avait appris à faire de son corps une arme encore plus redoutable. Elle tournait, lançait son poing droit dans des visages, cassait des os et brisait des dents. Elle n’aurait jamais cru être si redoutable. Et pourtant, elle aimait la couleur du sang et son odeur. Elle souriait d’un air carnassier en gardant le bout de chair en bouche, telle un fauve. Son sang battait contre ses tempes alors qu’elle achevait son ennemi. Elle regarda le champ de bataille. Deux étaient debout et l’un avait une arme à feu en main, pointée vers le sauveur des deux demoiselles.

- Tu n’as pas intérêt à appuyer sur cette gâchette ! cria Kanori.

Elle n’avait pas crié… Elle avait hurlé. Aussi fort que sa voix puisse porter et aussi fort que ses poumons lui permettait.
Si cela ne dérangeait pas Kanori de tuer quelqu’un, elle ne voulait pas voir quelqu’un qui semblait être de son côté mourir d’une façon aussi lâche. Elle s’était mise à courir pour arrêter le tireur mais elle était tellement inquiète… A cet instant, elle souhaitait voir un nouveau monde, une nouvelle vie, comme si deux cœurs battaient au rythme de la prairie. Un monde où tout commencerait sans jamais se terminer, une terre qui leur ressemble. Un monde où ils seraient toujours ensemble, une même race et un même sourire. Humains.

Est-ce qu’une vie meilleure les attendait dès demain ?
Elle n’y croyait pas et elle savait qu’il fallait faire des choix qui faisaient souvent très peur. La vie était ainsi faite de haut et de bas.
Elle courait mais trop lentement à son goût, l’air commençait à lui manquer. Elle bondit sur l’homme au fusil. Il tira en direction de Kanori. Les larmes commençaient à perler au coin des yeux de Kanori. La rousse les essuya avec rage. Pleurer ne servirait à rien dans ce moment-là. C’était une combattante, pas une pleureuse. Elle avait peut-être accepté de mourir mais pas de cette manière, pas avant d’avoir fait un tas de chose. A cet instant, elle voulait seulement vivre, aller dans un lycée normal, sans guerre, sans mafieux, dans un monde où tout serait bleu, jaune ou rose. Un monde comme ceux que l’on voit dans les yeux d’un enfant. Un monde qui n’existe pas. La balle fusait dans les airs. Kanori ferma les yeux. Elle ne vit pas la suite. Que le noir.

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La mort ne représentait rien à ses yeux. Il avait déjà pris sa décision il y a longtemps : s'il finissait par mourir de la main de quelqu'un, c'était que la réponse à sa question était négative. Et pour être franc, il s'en fichait pas mal de la mort, cela ne lui faisait strictement pas peur. La seule peur qu'il avait depuis le début, c'était de vivre seul. Et depuis la mort de son grand-père, c'était le début, du véritable cauchemar. La seule chose qui le maintenait encore envie, c'était le désir de le venger, après quoi, il se laisserait sans doute également mourir, sans la moindre once d'hésitation. Vivre seul, n'était pas une chose que tout le monde souhaitait. Si certaines personnes aimaient être seule, c'était sans doute dans le cas d'une déprime totale, où des pensées suicidaires. Mais jamais, une personne logique n'aimera vivre seule. C'était une affirmation indiscutable. Alors qu'il était perdu dans ses pensées, il remarqua qu'une jeune fille blonde était en train de "pendouillé" à la balustrade du pont. Il voulu se déplacer, mais il remarqua rapidement que la "rousse" de tout à l'heure s'en chargeait elle-même. Il ne jugea donc pas bon d'intervenir. La suite l'étonna d'ailleurs beaucoup... Voir la rousse faire preuve d'autant de violence, c'était surprenant ! Du sang fusa après que celle-ci eusse mordu le coin de la lèvre de l'un des hommes se trouvant sur ce pont. Il écarquilla, surpris à nouveau, en la voyant continuer ses assauts...

Alors qu'elle venait de terminer son petit carnage personnel, elle se tourna vers Ren, tendis qu'il la regardait perplexe. Soudainement, elle hurla... Une gâchette ? Où ça ? Le jeune adolescent tourna sensiblement la tête pour ensuite voir un pistolet, braqué sur lui. Il fallait croire que sa fin n'était pas loin, en fin de compte... Mais alors qu'il était près à mourir, il vit la demoiselle foncer dans sa direction et l'homme se tourner vers elle... Sans la moindre hésitation, le jeune homme se jeta droit en direction de la rousse, afin de lui barrer la route, jusqu'à finalement, prendre la balle en plein dans l'un de ses poumons... Il tomba ensuite à genoux, crachant son sang par la bouche, ainsi que par l'orifice qui se trouvait au niveau de sa poitrine droite. Il resta ainsi, baissant doucement la tête, affichant un sourire sur son visage.

"Finalement... Ils avaient... Raison..." Dit-il dans un dernier souffle, fermant les yeux pour ensuite tomber le ventre contre le sol, le coeur s'étant arrêté de battre. Il était mort, le sourire aux lèvres, heureux d'avoir trouvé une réponse, à cette question...

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Linshen n'arrivait plus très bien à tenir à la balustrade elle était même en train de perdre prise, quand elle croyait qu'elle allait vraiment lâcher d'une main, la rousse l'attrapa. Linshen fut surprise de l'intervention de la rouquine, elle tenta de son mieux possible à ne pas porter tout le poids de Lin pour la ramené sur le pont elle tenta de s'aider du mur pour remonté vite, quand elle fut enfin ramené sur le pont, elle était saine et sauve.. Enfin, pas vraiment puisque son problème respiratoire lui fais vraiment au niveau de ses poumons et qu'elle a comme si on lui compressait son coeur entre ses mains.

Elle regarda ensuite la rousse s' avancé d'un grand pas vers l'homme armé qui pointai son revolver vers le jeune homme il était près à tirer. La rousse était à moitié en train de sauter sur l'homme que le garçon fut son corps comme bouclier pour protégé la fille, il se prit une balle dans le corps, mais Linshen ne voyait pas très bien, de la place où elle est. De plus que ses forces se vides peu à peu, elle regarda les dernier hommes qu'ils restaient et leur tira dessus pour pas qu'ils attaque la rousse... Linshen s'avança doucement vers le garçon à terre, pour voir si il respire toujours, elle pris le poux du garçon à son cou et à son poignet. Elle le retourna doucement pour qu'il soit sur son dos, elle vit qu'il avait ses yeux fermé et qu'il est gravement blessé. Elle posa vivement sa tête sur son torse, pour voir si son coeur bat toujours dans sa poitrine. Rien, les battement du coeur du jeune homme venait de cesser, elle retira d'un coup vite sa tête de son torse en le regardant avec des yeux effrayé. Elle se releva doucement toute tremblante, elle sentait son coeur battre moins vite aussi du coup, puisque quand elle avait pris la tentions du jeune homme sa respiration n'était plus là...

Sa respiration a elle se stoppa d'un coup aussi, elle s'écroula sur le sol en tentant de respirer, mais elle avait encore plus de mal qu'au début. Pour elle c'est comme si qu'on lui arrachait ses poumons par sa cache toracique . Elle faisait bien une crise, mais pas une petite on dirait, elle est vraiment grande.. Elle a beaucoup beaucoup de mal à respirer.

Sa respiration se coupa net, d'un coup, yeux écarquillé, elle se tenait toujours au sol, donc elle n'était pas encore complètement écroulé. Mais là, elle s' effondra direct, plus de respiration passais dans ses poumons. Elle ferma doucement ses yeux, puis plus rien, son coeur en elle cessa de battre aussi... Elle n'avait pas prévu sa mort comme ça, aussi vite, mais elle était préparé... Sa soeur qu'elle n'as pas pu rencontrer, des personne qui l'ont aidé, mais qu'elle n'en a pas pu s'en faire des amies...
C'était sa fin tout était bel et bien fini...

Etudiant

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